Nouvelle donne du système mondial de l'information et redéfinition du développement en Afrique. Y a-t-il déjà équilibre de flux d'information entre le centre et la périphérie ?
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- Nombre de pages297
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17166-4
- EAN9782296171664
- Date de parution01/05/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans les années 1980, le système de l'information mondial laissait voir un déséquilibre d'information entre le Nord et le Sud, étant entendu que les médias internationaux de l'époque étaient basés au Nord et diffusaient des
informations pour le Nord. La revendication du nouvel ordre mondial de l'information et de la communication était donc valable et recommandait un équilibre de la diffusion de l'information internationale dans tous les quatre coins du monde.
Aujourd'hui, avec l'arrivée d'Internet qui est un multimédia permettant de diffuser l'information partout au même moment, les flux et reflux d'informations entre le Sud et le Nord réorientent ce débat sur l'équilibre de l'information. En réalité, les revendications de l'UNESCO supposaient que le rétablissement de l'équilibre du flux d'informations entre le Nord et le Sud était un viatique pour le développement du Sud.
Ainsi, comme cet équilibre d'informations semble être établi par Internet, il y a un avantage à utiliser cet outil pour développer les pays encore pauvres. Mais, pourquoi le développement n'a pas suivi cet équilibre informationnel avec Internet en Afrique ? La réponse est simple. Il y a une défaillance dans l'utilisation et la gestion de cet outil par les entreprises et les États africains. Mais, si les États et les entreprises en Afrique résorbent cette défaillance, comment pourraient-ils utiliser Internet pour se développer ? Internet véhicule l'information commerciale et industrielle.
Il incite les activités de production et de commercialisation. Dans ce contexte, le développement en Afrique doit être préconisé par l'activité productive des entreprises et des États soutenue par la bonne gouvernance qui est favorisée par Internet.
Aujourd'hui, avec l'arrivée d'Internet qui est un multimédia permettant de diffuser l'information partout au même moment, les flux et reflux d'informations entre le Sud et le Nord réorientent ce débat sur l'équilibre de l'information. En réalité, les revendications de l'UNESCO supposaient que le rétablissement de l'équilibre du flux d'informations entre le Nord et le Sud était un viatique pour le développement du Sud.
Ainsi, comme cet équilibre d'informations semble être établi par Internet, il y a un avantage à utiliser cet outil pour développer les pays encore pauvres. Mais, pourquoi le développement n'a pas suivi cet équilibre informationnel avec Internet en Afrique ? La réponse est simple. Il y a une défaillance dans l'utilisation et la gestion de cet outil par les entreprises et les États africains. Mais, si les États et les entreprises en Afrique résorbent cette défaillance, comment pourraient-ils utiliser Internet pour se développer ? Internet véhicule l'information commerciale et industrielle.
Il incite les activités de production et de commercialisation. Dans ce contexte, le développement en Afrique doit être préconisé par l'activité productive des entreprises et des États soutenue par la bonne gouvernance qui est favorisée par Internet.
Dans les années 1980, le système de l'information mondial laissait voir un déséquilibre d'information entre le Nord et le Sud, étant entendu que les médias internationaux de l'époque étaient basés au Nord et diffusaient des
informations pour le Nord. La revendication du nouvel ordre mondial de l'information et de la communication était donc valable et recommandait un équilibre de la diffusion de l'information internationale dans tous les quatre coins du monde.
Aujourd'hui, avec l'arrivée d'Internet qui est un multimédia permettant de diffuser l'information partout au même moment, les flux et reflux d'informations entre le Sud et le Nord réorientent ce débat sur l'équilibre de l'information. En réalité, les revendications de l'UNESCO supposaient que le rétablissement de l'équilibre du flux d'informations entre le Nord et le Sud était un viatique pour le développement du Sud.
Ainsi, comme cet équilibre d'informations semble être établi par Internet, il y a un avantage à utiliser cet outil pour développer les pays encore pauvres. Mais, pourquoi le développement n'a pas suivi cet équilibre informationnel avec Internet en Afrique ? La réponse est simple. Il y a une défaillance dans l'utilisation et la gestion de cet outil par les entreprises et les États africains. Mais, si les États et les entreprises en Afrique résorbent cette défaillance, comment pourraient-ils utiliser Internet pour se développer ? Internet véhicule l'information commerciale et industrielle.
Il incite les activités de production et de commercialisation. Dans ce contexte, le développement en Afrique doit être préconisé par l'activité productive des entreprises et des États soutenue par la bonne gouvernance qui est favorisée par Internet.
Aujourd'hui, avec l'arrivée d'Internet qui est un multimédia permettant de diffuser l'information partout au même moment, les flux et reflux d'informations entre le Sud et le Nord réorientent ce débat sur l'équilibre de l'information. En réalité, les revendications de l'UNESCO supposaient que le rétablissement de l'équilibre du flux d'informations entre le Nord et le Sud était un viatique pour le développement du Sud.
Ainsi, comme cet équilibre d'informations semble être établi par Internet, il y a un avantage à utiliser cet outil pour développer les pays encore pauvres. Mais, pourquoi le développement n'a pas suivi cet équilibre informationnel avec Internet en Afrique ? La réponse est simple. Il y a une défaillance dans l'utilisation et la gestion de cet outil par les entreprises et les États africains. Mais, si les États et les entreprises en Afrique résorbent cette défaillance, comment pourraient-ils utiliser Internet pour se développer ? Internet véhicule l'information commerciale et industrielle.
Il incite les activités de production et de commercialisation. Dans ce contexte, le développement en Afrique doit être préconisé par l'activité productive des entreprises et des États soutenue par la bonne gouvernance qui est favorisée par Internet.