Nous regardions la mort en face !. 1959-1960, un sous-lieutenant appelé dans la guerre d'Algérie
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- Nombre de pages168
- FormatePub
- ISBN978-2-322-00431-7
- EAN9782322004317
- Date de parution24/03/2012
- Protection num.Adobe DRM
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Plus encore qu'un témoignage, ce livre est un hommage au près de deux millions de garçons qu'une république imprévoyante a impliqués dans un combat douteux pour une cause perdue, dans ce qu'on considérait encore comme un ensemble de départements français, et particulièrement aux 15 000 d'entre eux qu'un sort tragique conduisit à une mort qu'ils étaient censés regarder en face, ces « marsouins » que ce jeune sous-Lieutenant appelé de 21 ans a eu à commander.
Sorti en 1958 de l'EMI de Cherchell, après huit mois comme instructeur en Allemagne, J.
Langard a tutoyé la mort dans son régiment d'Infanterie de Marine, des bois de l'Ouarsenis aux confins algéro-marocains, de piton en piton, dans les taillis ou parmi les touffes d'alfa, dans le vent glacé ou sous le soleil accablant, chasseur chassé sous la menace de l'invisible fellagha... sans pour autant se livrer aux exactions qu'on a pu reprocher à certains éléments de l'armée française alors chargée du « maintien de l'ordre ». Au moment de commémorer le cinquantenaire de la fin du conflit, ce qui est relaté dans ce livre méritait d'être rappelé.
Langard a tutoyé la mort dans son régiment d'Infanterie de Marine, des bois de l'Ouarsenis aux confins algéro-marocains, de piton en piton, dans les taillis ou parmi les touffes d'alfa, dans le vent glacé ou sous le soleil accablant, chasseur chassé sous la menace de l'invisible fellagha... sans pour autant se livrer aux exactions qu'on a pu reprocher à certains éléments de l'armée française alors chargée du « maintien de l'ordre ». Au moment de commémorer le cinquantenaire de la fin du conflit, ce qui est relaté dans ce livre méritait d'être rappelé.
Plus encore qu'un témoignage, ce livre est un hommage au près de deux millions de garçons qu'une république imprévoyante a impliqués dans un combat douteux pour une cause perdue, dans ce qu'on considérait encore comme un ensemble de départements français, et particulièrement aux 15 000 d'entre eux qu'un sort tragique conduisit à une mort qu'ils étaient censés regarder en face, ces « marsouins » que ce jeune sous-Lieutenant appelé de 21 ans a eu à commander.
Sorti en 1958 de l'EMI de Cherchell, après huit mois comme instructeur en Allemagne, J.
Langard a tutoyé la mort dans son régiment d'Infanterie de Marine, des bois de l'Ouarsenis aux confins algéro-marocains, de piton en piton, dans les taillis ou parmi les touffes d'alfa, dans le vent glacé ou sous le soleil accablant, chasseur chassé sous la menace de l'invisible fellagha... sans pour autant se livrer aux exactions qu'on a pu reprocher à certains éléments de l'armée française alors chargée du « maintien de l'ordre ». Au moment de commémorer le cinquantenaire de la fin du conflit, ce qui est relaté dans ce livre méritait d'être rappelé.
Langard a tutoyé la mort dans son régiment d'Infanterie de Marine, des bois de l'Ouarsenis aux confins algéro-marocains, de piton en piton, dans les taillis ou parmi les touffes d'alfa, dans le vent glacé ou sous le soleil accablant, chasseur chassé sous la menace de l'invisible fellagha... sans pour autant se livrer aux exactions qu'on a pu reprocher à certains éléments de l'armée française alors chargée du « maintien de l'ordre ». Au moment de commémorer le cinquantenaire de la fin du conflit, ce qui est relaté dans ce livre méritait d'être rappelé.