Nous et les autres. L'identité sans fantasmes
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- Nombre de pages240
- FormatePub
- ISBN978-2-268-10872-8
- EAN9782268108728
- Date de parution08/02/2023
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille977 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions du Rocher
Résumé
Depuis plus de quinze ans, l'identité a fait une entrée en force dans le discours politique. L'omniprésence de cette thématique identitaire s'explique avant tout par la perte des repères dans un monde où les grands récits collectifs ont disparu, où les frontières et les limites s'effacent, où les liens sociaux se sont distendus. De telle sorte que, faute de boussole, on ne sait plus qui l'on est. Dans la situation de crise actuelle, les uns s'affirment bruyamment « identitaires », tandis que d'autres alertent sur les dangers du « repli identitaire ».
Les premiers pensent que leur culture est menacée, les autres qu'il faut en revenir aux principes de l'« universalisme républicain » qui tient pour négligeables les différences entre les cultures. Pour tout compliquer, on assiste aujourd'hui, dans la mouvance des théories « indigénistes » et « décoloniales », au surgissement d'un identitarisme d'un type nouveau. Comment en est-on arrivés là ? Et de quoi parle-t-on au juste ? (Ceux qui s'empoignent sur le sujet sont bien souvent embarrassés pour dire ce qu'est l'identité, qu'elle soit individuelle ou collective.) Peut-on avoir une identité si l'on est tout seul ? Qu'est-ce qu'une identité dialogique ? L'identité définit-elle ce qui ne change jamais ? ou ce qui nous permet de changer tout en restant nous-mêmes ? À ces questions, comme à bien d'autres, ce livre cherche à donner une réponse sans tomber dans d'inutiles polémiques.
L'identité est une affaire trop importante pour être abandonnée aux fantasmes. Alain de Benoist, écrivain et philosophe, fondateur des revues Nouvelle École et Krisis, est aussi l'éditorialiste du magazine Éléments. Il a reçu en 1978 le Grand Prix de l'essai de l'Académie française. Il est l'auteur d'une centaine de livres, principalement consacrés à la philosophie politique et à l'histoire des idées.
Aux éditions du Rocher, il a déjà publié Ce que penser veut dire (2017) et Contre le libéralisme. La société n'est pas un marché (2019).
Les premiers pensent que leur culture est menacée, les autres qu'il faut en revenir aux principes de l'« universalisme républicain » qui tient pour négligeables les différences entre les cultures. Pour tout compliquer, on assiste aujourd'hui, dans la mouvance des théories « indigénistes » et « décoloniales », au surgissement d'un identitarisme d'un type nouveau. Comment en est-on arrivés là ? Et de quoi parle-t-on au juste ? (Ceux qui s'empoignent sur le sujet sont bien souvent embarrassés pour dire ce qu'est l'identité, qu'elle soit individuelle ou collective.) Peut-on avoir une identité si l'on est tout seul ? Qu'est-ce qu'une identité dialogique ? L'identité définit-elle ce qui ne change jamais ? ou ce qui nous permet de changer tout en restant nous-mêmes ? À ces questions, comme à bien d'autres, ce livre cherche à donner une réponse sans tomber dans d'inutiles polémiques.
L'identité est une affaire trop importante pour être abandonnée aux fantasmes. Alain de Benoist, écrivain et philosophe, fondateur des revues Nouvelle École et Krisis, est aussi l'éditorialiste du magazine Éléments. Il a reçu en 1978 le Grand Prix de l'essai de l'Académie française. Il est l'auteur d'une centaine de livres, principalement consacrés à la philosophie politique et à l'histoire des idées.
Aux éditions du Rocher, il a déjà publié Ce que penser veut dire (2017) et Contre le libéralisme. La société n'est pas un marché (2019).
Depuis plus de quinze ans, l'identité a fait une entrée en force dans le discours politique. L'omniprésence de cette thématique identitaire s'explique avant tout par la perte des repères dans un monde où les grands récits collectifs ont disparu, où les frontières et les limites s'effacent, où les liens sociaux se sont distendus. De telle sorte que, faute de boussole, on ne sait plus qui l'on est. Dans la situation de crise actuelle, les uns s'affirment bruyamment « identitaires », tandis que d'autres alertent sur les dangers du « repli identitaire ».
Les premiers pensent que leur culture est menacée, les autres qu'il faut en revenir aux principes de l'« universalisme républicain » qui tient pour négligeables les différences entre les cultures. Pour tout compliquer, on assiste aujourd'hui, dans la mouvance des théories « indigénistes » et « décoloniales », au surgissement d'un identitarisme d'un type nouveau. Comment en est-on arrivés là ? Et de quoi parle-t-on au juste ? (Ceux qui s'empoignent sur le sujet sont bien souvent embarrassés pour dire ce qu'est l'identité, qu'elle soit individuelle ou collective.) Peut-on avoir une identité si l'on est tout seul ? Qu'est-ce qu'une identité dialogique ? L'identité définit-elle ce qui ne change jamais ? ou ce qui nous permet de changer tout en restant nous-mêmes ? À ces questions, comme à bien d'autres, ce livre cherche à donner une réponse sans tomber dans d'inutiles polémiques.
L'identité est une affaire trop importante pour être abandonnée aux fantasmes. Alain de Benoist, écrivain et philosophe, fondateur des revues Nouvelle École et Krisis, est aussi l'éditorialiste du magazine Éléments. Il a reçu en 1978 le Grand Prix de l'essai de l'Académie française. Il est l'auteur d'une centaine de livres, principalement consacrés à la philosophie politique et à l'histoire des idées.
Aux éditions du Rocher, il a déjà publié Ce que penser veut dire (2017) et Contre le libéralisme. La société n'est pas un marché (2019).
Les premiers pensent que leur culture est menacée, les autres qu'il faut en revenir aux principes de l'« universalisme républicain » qui tient pour négligeables les différences entre les cultures. Pour tout compliquer, on assiste aujourd'hui, dans la mouvance des théories « indigénistes » et « décoloniales », au surgissement d'un identitarisme d'un type nouveau. Comment en est-on arrivés là ? Et de quoi parle-t-on au juste ? (Ceux qui s'empoignent sur le sujet sont bien souvent embarrassés pour dire ce qu'est l'identité, qu'elle soit individuelle ou collective.) Peut-on avoir une identité si l'on est tout seul ? Qu'est-ce qu'une identité dialogique ? L'identité définit-elle ce qui ne change jamais ? ou ce qui nous permet de changer tout en restant nous-mêmes ? À ces questions, comme à bien d'autres, ce livre cherche à donner une réponse sans tomber dans d'inutiles polémiques.
L'identité est une affaire trop importante pour être abandonnée aux fantasmes. Alain de Benoist, écrivain et philosophe, fondateur des revues Nouvelle École et Krisis, est aussi l'éditorialiste du magazine Éléments. Il a reçu en 1978 le Grand Prix de l'essai de l'Académie française. Il est l'auteur d'une centaine de livres, principalement consacrés à la philosophie politique et à l'histoire des idées.
Aux éditions du Rocher, il a déjà publié Ce que penser veut dire (2017) et Contre le libéralisme. La société n'est pas un marché (2019).







