Gaspard Koenig dirige le think-tank Génération Libre. Il est l'auteur de romans et d'essais.
Notre vagabonde liberté. A cheval sur les traces de Montaigne
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- Nombre de pages576
- FormatePub
- ISBN979-10-329-0020-8
- EAN9791032900208
- Date de parution01/09/2021
- Protection num.Adobe DRM
- Taille11 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions de l'Observatoire
Résumé
"Je sais bien ce que je fuis, mais non pas ce que je cherche", expliquait Montaigne à propos de la longue chevauchée qu'il fit à travers l'Europe en 1580. Gaspard Konig aussi sait ce qu'il fuit : les injonctions permanentes des gouvernements et des algorithmes. Il s'est donc lancé sur les traces de Montaigne, en suivant le même itinéraire, avec le même moyen de transport : un cheval, ou plutôt une jument, Destinada.
Pour rejoindre Rome, le cavalier et sa monture ont parcouru 2 500 kilomètres pendant cinq mois, passant par le Périgord, la Champagne, les Vosges, la Bavière, la Toscane. Toquant aux portes pour trouver gîte et couvert, parcourant les campagnes mais aussi les zones commerciales et les centres-villes, l'écrivain a eu tout le loisir de "frotter et limer sa cervelle contre celle d'autrui", comme le recommandait Montaigne.
Dans cette plongée au cour des territoires, la générosité et l'hospitalité sont presque toujours au rendez-vous. Au rythme du pas, notre modernité révèle ses vertus et ses travers. L'occasion pour l'auteur de renouer avec certains thèmes chers à Montaigne : la relation entre l'homme et l'animal, l'art du dépouillement, les conflits religieux, la diversité des cultures ou les leçons de la nature. Au fond, que Gaspard Konig pouvait-il bien chercher dans un tel vagabondage, sinon la liberté ? La sienne, celle que l'on cultive dans cette "arrière-boutique" où se réfugiait Montaigne.
Mais aussi la nôtre, exigence politique plus contemporaine que jamais.
Pour rejoindre Rome, le cavalier et sa monture ont parcouru 2 500 kilomètres pendant cinq mois, passant par le Périgord, la Champagne, les Vosges, la Bavière, la Toscane. Toquant aux portes pour trouver gîte et couvert, parcourant les campagnes mais aussi les zones commerciales et les centres-villes, l'écrivain a eu tout le loisir de "frotter et limer sa cervelle contre celle d'autrui", comme le recommandait Montaigne.
Dans cette plongée au cour des territoires, la générosité et l'hospitalité sont presque toujours au rendez-vous. Au rythme du pas, notre modernité révèle ses vertus et ses travers. L'occasion pour l'auteur de renouer avec certains thèmes chers à Montaigne : la relation entre l'homme et l'animal, l'art du dépouillement, les conflits religieux, la diversité des cultures ou les leçons de la nature. Au fond, que Gaspard Konig pouvait-il bien chercher dans un tel vagabondage, sinon la liberté ? La sienne, celle que l'on cultive dans cette "arrière-boutique" où se réfugiait Montaigne.
Mais aussi la nôtre, exigence politique plus contemporaine que jamais.
"Je sais bien ce que je fuis, mais non pas ce que je cherche", expliquait Montaigne à propos de la longue chevauchée qu'il fit à travers l'Europe en 1580. Gaspard Konig aussi sait ce qu'il fuit : les injonctions permanentes des gouvernements et des algorithmes. Il s'est donc lancé sur les traces de Montaigne, en suivant le même itinéraire, avec le même moyen de transport : un cheval, ou plutôt une jument, Destinada.
Pour rejoindre Rome, le cavalier et sa monture ont parcouru 2 500 kilomètres pendant cinq mois, passant par le Périgord, la Champagne, les Vosges, la Bavière, la Toscane. Toquant aux portes pour trouver gîte et couvert, parcourant les campagnes mais aussi les zones commerciales et les centres-villes, l'écrivain a eu tout le loisir de "frotter et limer sa cervelle contre celle d'autrui", comme le recommandait Montaigne.
Dans cette plongée au cour des territoires, la générosité et l'hospitalité sont presque toujours au rendez-vous. Au rythme du pas, notre modernité révèle ses vertus et ses travers. L'occasion pour l'auteur de renouer avec certains thèmes chers à Montaigne : la relation entre l'homme et l'animal, l'art du dépouillement, les conflits religieux, la diversité des cultures ou les leçons de la nature. Au fond, que Gaspard Konig pouvait-il bien chercher dans un tel vagabondage, sinon la liberté ? La sienne, celle que l'on cultive dans cette "arrière-boutique" où se réfugiait Montaigne.
Mais aussi la nôtre, exigence politique plus contemporaine que jamais.
Pour rejoindre Rome, le cavalier et sa monture ont parcouru 2 500 kilomètres pendant cinq mois, passant par le Périgord, la Champagne, les Vosges, la Bavière, la Toscane. Toquant aux portes pour trouver gîte et couvert, parcourant les campagnes mais aussi les zones commerciales et les centres-villes, l'écrivain a eu tout le loisir de "frotter et limer sa cervelle contre celle d'autrui", comme le recommandait Montaigne.
Dans cette plongée au cour des territoires, la générosité et l'hospitalité sont presque toujours au rendez-vous. Au rythme du pas, notre modernité révèle ses vertus et ses travers. L'occasion pour l'auteur de renouer avec certains thèmes chers à Montaigne : la relation entre l'homme et l'animal, l'art du dépouillement, les conflits religieux, la diversité des cultures ou les leçons de la nature. Au fond, que Gaspard Konig pouvait-il bien chercher dans un tel vagabondage, sinon la liberté ? La sienne, celle que l'on cultive dans cette "arrière-boutique" où se réfugiait Montaigne.
Mais aussi la nôtre, exigence politique plus contemporaine que jamais.