Notre histoire mérite une fin heureuse. Journal de prison. Afrique du Sud, 1963

Par : Albie Sachs
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  • Nombre de pages301
  • FormatePub
  • ISBN978-2-85061-303-6
  • EAN9782850613036
  • Date de parution28/08/2025
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurPremier Parallèle
  • TraducteurCécile Dutheil de La Rochère

Résumé

Albie Sachs n'a pas trente ans lorsqu'en 1963, jeune avocat et militant contre l'apartheid, il est emprisonné de longues semaines à l'isolement dans une prison du Cap. Il rédige alors un texte d'une extraordinaire force littéraire et morale. " Notre histoire mérite d'avoir une fin heureuse ", écrit-il dans sa cellule, au soir de sa deuxième journée de détention. Ces mots augurent déjà du destin exceptionnel qui sera le sien : combattant infatigable de la liberté, victime d'un attentat à la voiture piégée commandité par le gouvernement sud-africain qui lui coûtera son bras droit et l'usage d'un oil, juge nommé par Mandela à la Cour constitutionnelle d'Afrique du Sud, dont il contribue à écrire la Constitution, figure de la réconciliation post-apartheid, immense figure de ce pays meurtri vers lequel ses parents, juifs lituaniens, avaient fui dans les années vingt. Sous la plume d'Albie Sachs, le moindre détail, qu'il ait trait à la description des lieux et de ses interlocuteurs ou de ses plus fragiles émotions devient le matériau d'une réflexion fascinante, vibrante et espiègle, sur l'engagement et la condition d'être humain.
Interdit en Afrique du Sud au moment de sa parution, ce journal de prison, qui s'est imposé comme un grand livre de littérature carcérale, a largement circulé hors des frontières du pays et à contribué, à sa mesure, à l'affaiblissement et à la chute du régime.
Albie Sachs n'a pas trente ans lorsqu'en 1963, jeune avocat et militant contre l'apartheid, il est emprisonné de longues semaines à l'isolement dans une prison du Cap. Il rédige alors un texte d'une extraordinaire force littéraire et morale. " Notre histoire mérite d'avoir une fin heureuse ", écrit-il dans sa cellule, au soir de sa deuxième journée de détention. Ces mots augurent déjà du destin exceptionnel qui sera le sien : combattant infatigable de la liberté, victime d'un attentat à la voiture piégée commandité par le gouvernement sud-africain qui lui coûtera son bras droit et l'usage d'un oil, juge nommé par Mandela à la Cour constitutionnelle d'Afrique du Sud, dont il contribue à écrire la Constitution, figure de la réconciliation post-apartheid, immense figure de ce pays meurtri vers lequel ses parents, juifs lituaniens, avaient fui dans les années vingt. Sous la plume d'Albie Sachs, le moindre détail, qu'il ait trait à la description des lieux et de ses interlocuteurs ou de ses plus fragiles émotions devient le matériau d'une réflexion fascinante, vibrante et espiègle, sur l'engagement et la condition d'être humain.
Interdit en Afrique du Sud au moment de sa parution, ce journal de prison, qui s'est imposé comme un grand livre de littérature carcérale, a largement circulé hors des frontières du pays et à contribué, à sa mesure, à l'affaiblissement et à la chute du régime.