Né le 6 mai 1856 en Autriche et mort le 23 septembre 1939 à Londres, nous connaissons Sigmund Freud pour ses nombreux travaux sur la psychanalyse. Après un diplôme de médecine en 1881, il porte un grand intérêt à la neurologie. En 1885, il étudie à Paris en compagnie du professeur Jean-Martin Charcot, célèbre neurologue français. Intrigué par l'hystérie, son premier cas, à son retour à Vienne, est celui d'une jeune femme : Annah O. C'est cette patiente qui donnera à Freud l'occasion de découvrir les bases de sa pensée : la sexualité et le refoulement. En 1897, il débute ses travaux sur les rêves, le fantasme et le célèbre complexe d'œdipe. En 1920, il met à jour les trois instances de l'appareil psychique : le ça, le moi et le surmoi caractérisant chaque individu. Opposé à la pensée de Carl Gustav Jung, il forme des disciples tout au long de sa vie. Encore aujourd'hui, ses œuvres dont Le Malaise dans la civilisation et Introduction à la psychanalyse sont caractérisées comme des ouvrages fondateurs de la discipline psychanalytique. Apprenez-en plus sur ce sujet passionnant et plongez dans les tréfonds de nos âmes. Parmi les auteurs contemporains fascinés par la psychologie humaine ou s'inspirant de la pensée freudienne, nous vous conseillons Boris Cyrulnik avec Sauve-toi, la vie t'appelle ou Michel Onfray et Traité d'athéologie - Physique de la métaphysique. Disponible en plusieurs formats, profitez de notre garantie satisfait ou remboursé pour vous précipiter dans ces lectures captivantes.
« Notre coeur tend vers le Sud ». Correspondance de voyage, 1895 - 1923
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- Nombre de pages428
- FormatePub
- ISBN978-2-213-71343-4
- EAN9782213713434
- Date de parution23/07/2018
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille34 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
« Pourquoi, donc, quittons-nous ce lieu idéalement beau et calme et riche en champignons ? » s?interroge Freud, alors qu?il séjourne, en compagnie de sa belle-soeur Minna, dans une petite ville du Tyrol du Sud en septembre 1900. « Simplement parce qu?il ne nous reste qu?une semaine à peine, et que notre coeur, comme nous l?avons constaté, tend vers le Sud, vers les figues, les châtaignes, le laurier, les cyprès, les maisons ornées de balcons, les marchands d?antiquités
»
Le Sud ? Ce sera d?abord l?Italie.
Rome, bien sûr, ses entrailles et ses ruines. Mais bientôt, plus au sud encore, la route de toutes les splendeurs, celle de Naples, de Pompéi, de Ravello, de Positano, de la Costiera amalfitana, de Palerme et d?Agrigente. Prodigieux territoires que Freud découvre la quarantaine venue, lorsque sa situation matérielle l?autorise enfin à voyager. S?instaure alors le rituel : chaque année, fin août ou début septembre, lorsque sa femme et ses six enfants ont pris leur quartier d?été, il s?échappe quelques semaines à l?étranger.
De cette passion pour le voyage témoignent les 189 cartes postales et les 56 lettres ici réunies en un volume splendide, vibrant de découvertes fastueuses, de la beauté des sites, de l?émotion au quotidien. Freud observe, note, décrit, s?enthousiasme et raconte à son interlocuteur les surprises du jour. Le plus souvent, c?est à sa femme ou à l?un de ses enfants qu?il s?adresse. Son Baedeker à la main, il arpente les chemins de Sicile, déambule dans Rome, goûte aux plaisirs de la bouche et de l?âme.
Viendra bientôt le tour d?Athènes. Mais il y aura aussi l?Angleterre et les Etats-Unis. Car si le coeur de Freud tend vers le Sud, sa raison le ramène inexorablement au Nord En septembre 1923, c?est avec sa fille Anna qu?il se rend à Rome pour la septième fois. Voyage emprunt de nostalgie, visites haletantes des musées. Freud souffre déjà du cancer qui l?emportera, loin du Sud, à Londres, chassé par le nazisme, alors que le monde d?hier a bel et bien vécu.
Et ce voyage à Rome, sûrement le sent-il, est pour lui le dernier. Avec 152 reproductions in-texte. Traduit de l?allemand par Jean-Claude Capèle. Présentation de Christfried Tögel, avec la collaboration de Michael Molnar. Préface d?Elisabeth Roudinesco.
Rome, bien sûr, ses entrailles et ses ruines. Mais bientôt, plus au sud encore, la route de toutes les splendeurs, celle de Naples, de Pompéi, de Ravello, de Positano, de la Costiera amalfitana, de Palerme et d?Agrigente. Prodigieux territoires que Freud découvre la quarantaine venue, lorsque sa situation matérielle l?autorise enfin à voyager. S?instaure alors le rituel : chaque année, fin août ou début septembre, lorsque sa femme et ses six enfants ont pris leur quartier d?été, il s?échappe quelques semaines à l?étranger.
De cette passion pour le voyage témoignent les 189 cartes postales et les 56 lettres ici réunies en un volume splendide, vibrant de découvertes fastueuses, de la beauté des sites, de l?émotion au quotidien. Freud observe, note, décrit, s?enthousiasme et raconte à son interlocuteur les surprises du jour. Le plus souvent, c?est à sa femme ou à l?un de ses enfants qu?il s?adresse. Son Baedeker à la main, il arpente les chemins de Sicile, déambule dans Rome, goûte aux plaisirs de la bouche et de l?âme.
Viendra bientôt le tour d?Athènes. Mais il y aura aussi l?Angleterre et les Etats-Unis. Car si le coeur de Freud tend vers le Sud, sa raison le ramène inexorablement au Nord En septembre 1923, c?est avec sa fille Anna qu?il se rend à Rome pour la septième fois. Voyage emprunt de nostalgie, visites haletantes des musées. Freud souffre déjà du cancer qui l?emportera, loin du Sud, à Londres, chassé par le nazisme, alors que le monde d?hier a bel et bien vécu.
Et ce voyage à Rome, sûrement le sent-il, est pour lui le dernier. Avec 152 reproductions in-texte. Traduit de l?allemand par Jean-Claude Capèle. Présentation de Christfried Tögel, avec la collaboration de Michael Molnar. Préface d?Elisabeth Roudinesco.
« Pourquoi, donc, quittons-nous ce lieu idéalement beau et calme et riche en champignons ? » s?interroge Freud, alors qu?il séjourne, en compagnie de sa belle-soeur Minna, dans une petite ville du Tyrol du Sud en septembre 1900. « Simplement parce qu?il ne nous reste qu?une semaine à peine, et que notre coeur, comme nous l?avons constaté, tend vers le Sud, vers les figues, les châtaignes, le laurier, les cyprès, les maisons ornées de balcons, les marchands d?antiquités
»
Le Sud ? Ce sera d?abord l?Italie.
Rome, bien sûr, ses entrailles et ses ruines. Mais bientôt, plus au sud encore, la route de toutes les splendeurs, celle de Naples, de Pompéi, de Ravello, de Positano, de la Costiera amalfitana, de Palerme et d?Agrigente. Prodigieux territoires que Freud découvre la quarantaine venue, lorsque sa situation matérielle l?autorise enfin à voyager. S?instaure alors le rituel : chaque année, fin août ou début septembre, lorsque sa femme et ses six enfants ont pris leur quartier d?été, il s?échappe quelques semaines à l?étranger.
De cette passion pour le voyage témoignent les 189 cartes postales et les 56 lettres ici réunies en un volume splendide, vibrant de découvertes fastueuses, de la beauté des sites, de l?émotion au quotidien. Freud observe, note, décrit, s?enthousiasme et raconte à son interlocuteur les surprises du jour. Le plus souvent, c?est à sa femme ou à l?un de ses enfants qu?il s?adresse. Son Baedeker à la main, il arpente les chemins de Sicile, déambule dans Rome, goûte aux plaisirs de la bouche et de l?âme.
Viendra bientôt le tour d?Athènes. Mais il y aura aussi l?Angleterre et les Etats-Unis. Car si le coeur de Freud tend vers le Sud, sa raison le ramène inexorablement au Nord En septembre 1923, c?est avec sa fille Anna qu?il se rend à Rome pour la septième fois. Voyage emprunt de nostalgie, visites haletantes des musées. Freud souffre déjà du cancer qui l?emportera, loin du Sud, à Londres, chassé par le nazisme, alors que le monde d?hier a bel et bien vécu.
Et ce voyage à Rome, sûrement le sent-il, est pour lui le dernier. Avec 152 reproductions in-texte. Traduit de l?allemand par Jean-Claude Capèle. Présentation de Christfried Tögel, avec la collaboration de Michael Molnar. Préface d?Elisabeth Roudinesco.
Rome, bien sûr, ses entrailles et ses ruines. Mais bientôt, plus au sud encore, la route de toutes les splendeurs, celle de Naples, de Pompéi, de Ravello, de Positano, de la Costiera amalfitana, de Palerme et d?Agrigente. Prodigieux territoires que Freud découvre la quarantaine venue, lorsque sa situation matérielle l?autorise enfin à voyager. S?instaure alors le rituel : chaque année, fin août ou début septembre, lorsque sa femme et ses six enfants ont pris leur quartier d?été, il s?échappe quelques semaines à l?étranger.
De cette passion pour le voyage témoignent les 189 cartes postales et les 56 lettres ici réunies en un volume splendide, vibrant de découvertes fastueuses, de la beauté des sites, de l?émotion au quotidien. Freud observe, note, décrit, s?enthousiasme et raconte à son interlocuteur les surprises du jour. Le plus souvent, c?est à sa femme ou à l?un de ses enfants qu?il s?adresse. Son Baedeker à la main, il arpente les chemins de Sicile, déambule dans Rome, goûte aux plaisirs de la bouche et de l?âme.
Viendra bientôt le tour d?Athènes. Mais il y aura aussi l?Angleterre et les Etats-Unis. Car si le coeur de Freud tend vers le Sud, sa raison le ramène inexorablement au Nord En septembre 1923, c?est avec sa fille Anna qu?il se rend à Rome pour la septième fois. Voyage emprunt de nostalgie, visites haletantes des musées. Freud souffre déjà du cancer qui l?emportera, loin du Sud, à Londres, chassé par le nazisme, alors que le monde d?hier a bel et bien vécu.
Et ce voyage à Rome, sûrement le sent-il, est pour lui le dernier. Avec 152 reproductions in-texte. Traduit de l?allemand par Jean-Claude Capèle. Présentation de Christfried Tögel, avec la collaboration de Michael Molnar. Préface d?Elisabeth Roudinesco.