Nos villages à l'heure ancienne. La vie rurale d'autrefois et son évolution
Par : , ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages228
- FormatPDF
- ISBN2-307-56242-7
- EAN9782307562429
- Date de parution01/01/1984
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille68 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Henr...
Résumé
« Les curieux d'éthologie et les simples amateurs d'histoire locale prendront un grand plaisir à la lecture des détails multiples fournis sur "un peuple de rudes paysans et artisans". "Un peuple de lutteurs obstinés, dit encore Henri Boré, évoquant les combats des "Chouans", courageux, indomptables, audacieux." Ces qualificatifs forcent la curiosité du lecteur. Elle ne sera pas déçue au cours des pages, tant est grande la variété des petits faits quotidiens chez les habitants "autour du clocher".
Les mille renseignements contenus dans ce livre, aux uns rappellent le passé, aux autres l'enseignent. Devant les écoliers admiratifs, le marteau du forgeron chante gaiement dans le village, au milieu des étincelles jaillies sur l'enclume, tandis que la voix de bronze du clocher s'essaime sur les toits et les prairies. On voit le temps et les travaux passer avec les saisons, comme on voit les enfants grandir, travailler tôt près du bétail et sur les champs, "se débrouiller" avec adresse et astuce pour fabriquer finement leurs jouets, pour piéger le gibier.
Certaines de ces occupations nous font, irrésistiblement, évoquer les souvenirs de Marcel Pagnol, gamin, posant avec ruses et précautions, ses pièges dans sa garrigue provençale. De même, en Anjou, à l'imitation de leurs pères, les gamins piègent en cachette lièvres et cailles, capturent anguilles et poissons. Dans tout ce livre, comme dans les deux précédents, le grand air circule, sur les champs et dans les idées.
Henri Boré l'explique avec les mots qui conviennent, quand il parle du "cadre restreint" de son enfance et "des ressources variées de la nature dans laquelle il était constamment plongé". Cette atmosphère, cette nature, qui savent inspirer - à des cultivateurs - de si beaux poèmes, une si belle prose, et faire, d'un petit paysan laborieux et adroit, un écrivain qui s'exprime aussi clairement que le fait Henri Boré, permettent tous les espoirs. » Hélène Revaut, présidente du Comité d'Anjou de l'Association des écrivains de l'ouest.
Les mille renseignements contenus dans ce livre, aux uns rappellent le passé, aux autres l'enseignent. Devant les écoliers admiratifs, le marteau du forgeron chante gaiement dans le village, au milieu des étincelles jaillies sur l'enclume, tandis que la voix de bronze du clocher s'essaime sur les toits et les prairies. On voit le temps et les travaux passer avec les saisons, comme on voit les enfants grandir, travailler tôt près du bétail et sur les champs, "se débrouiller" avec adresse et astuce pour fabriquer finement leurs jouets, pour piéger le gibier.
Certaines de ces occupations nous font, irrésistiblement, évoquer les souvenirs de Marcel Pagnol, gamin, posant avec ruses et précautions, ses pièges dans sa garrigue provençale. De même, en Anjou, à l'imitation de leurs pères, les gamins piègent en cachette lièvres et cailles, capturent anguilles et poissons. Dans tout ce livre, comme dans les deux précédents, le grand air circule, sur les champs et dans les idées.
Henri Boré l'explique avec les mots qui conviennent, quand il parle du "cadre restreint" de son enfance et "des ressources variées de la nature dans laquelle il était constamment plongé". Cette atmosphère, cette nature, qui savent inspirer - à des cultivateurs - de si beaux poèmes, une si belle prose, et faire, d'un petit paysan laborieux et adroit, un écrivain qui s'exprime aussi clairement que le fait Henri Boré, permettent tous les espoirs. » Hélène Revaut, présidente du Comité d'Anjou de l'Association des écrivains de l'ouest.
« Les curieux d'éthologie et les simples amateurs d'histoire locale prendront un grand plaisir à la lecture des détails multiples fournis sur "un peuple de rudes paysans et artisans". "Un peuple de lutteurs obstinés, dit encore Henri Boré, évoquant les combats des "Chouans", courageux, indomptables, audacieux." Ces qualificatifs forcent la curiosité du lecteur. Elle ne sera pas déçue au cours des pages, tant est grande la variété des petits faits quotidiens chez les habitants "autour du clocher".
Les mille renseignements contenus dans ce livre, aux uns rappellent le passé, aux autres l'enseignent. Devant les écoliers admiratifs, le marteau du forgeron chante gaiement dans le village, au milieu des étincelles jaillies sur l'enclume, tandis que la voix de bronze du clocher s'essaime sur les toits et les prairies. On voit le temps et les travaux passer avec les saisons, comme on voit les enfants grandir, travailler tôt près du bétail et sur les champs, "se débrouiller" avec adresse et astuce pour fabriquer finement leurs jouets, pour piéger le gibier.
Certaines de ces occupations nous font, irrésistiblement, évoquer les souvenirs de Marcel Pagnol, gamin, posant avec ruses et précautions, ses pièges dans sa garrigue provençale. De même, en Anjou, à l'imitation de leurs pères, les gamins piègent en cachette lièvres et cailles, capturent anguilles et poissons. Dans tout ce livre, comme dans les deux précédents, le grand air circule, sur les champs et dans les idées.
Henri Boré l'explique avec les mots qui conviennent, quand il parle du "cadre restreint" de son enfance et "des ressources variées de la nature dans laquelle il était constamment plongé". Cette atmosphère, cette nature, qui savent inspirer - à des cultivateurs - de si beaux poèmes, une si belle prose, et faire, d'un petit paysan laborieux et adroit, un écrivain qui s'exprime aussi clairement que le fait Henri Boré, permettent tous les espoirs. » Hélène Revaut, présidente du Comité d'Anjou de l'Association des écrivains de l'ouest.
Les mille renseignements contenus dans ce livre, aux uns rappellent le passé, aux autres l'enseignent. Devant les écoliers admiratifs, le marteau du forgeron chante gaiement dans le village, au milieu des étincelles jaillies sur l'enclume, tandis que la voix de bronze du clocher s'essaime sur les toits et les prairies. On voit le temps et les travaux passer avec les saisons, comme on voit les enfants grandir, travailler tôt près du bétail et sur les champs, "se débrouiller" avec adresse et astuce pour fabriquer finement leurs jouets, pour piéger le gibier.
Certaines de ces occupations nous font, irrésistiblement, évoquer les souvenirs de Marcel Pagnol, gamin, posant avec ruses et précautions, ses pièges dans sa garrigue provençale. De même, en Anjou, à l'imitation de leurs pères, les gamins piègent en cachette lièvres et cailles, capturent anguilles et poissons. Dans tout ce livre, comme dans les deux précédents, le grand air circule, sur les champs et dans les idées.
Henri Boré l'explique avec les mots qui conviennent, quand il parle du "cadre restreint" de son enfance et "des ressources variées de la nature dans laquelle il était constamment plongé". Cette atmosphère, cette nature, qui savent inspirer - à des cultivateurs - de si beaux poèmes, une si belle prose, et faire, d'un petit paysan laborieux et adroit, un écrivain qui s'exprime aussi clairement que le fait Henri Boré, permettent tous les espoirs. » Hélène Revaut, présidente du Comité d'Anjou de l'Association des écrivains de l'ouest.