Comme souvent dans les romans d'Anne Tyler, les portes d'une maison s'ouvrent au lecteur. Il pénètre ainsi dans l'intimité d'une famille sur trois générations, entre 1959 et aujourd'hui. Les points de vue sont inconstants, l'autrice offrant ainsi une vue d'ensemble gagnant peu à peu en netteté, n'en déplaise à Mercy, la matriarche, qui aime le flou artistique. Douceur et amertume se mêlent alors que Tyler décrypte les tensions, les attentions aimantes et les tendres cruautés qui ont cours au sein d'une famille (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/05/09/nos-tendres-cruautes-anne-tyler/)
Comme souvent dans les romans d'Anne Tyler, les portes d'une maison s'ouvrent au lecteur. Il pénètre ainsi dans l'intimité d'une famille sur trois générations, entre 1959 et aujourd'hui. Les points de vue sont inconstants, l'autrice offrant ainsi une vue d'ensemble gagnant peu à peu en netteté, n'en déplaise à Mercy, la matriarche, qui aime le flou artistique. Douceur et amertume se mêlent alors que Tyler décrypte les tensions, les attentions aimantes et les tendres cruautés qui ont cours au sein d'une famille (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/05/09/nos-tendres-cruautes-anne-tyler/)