Normes, institutions et régulation publique
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- Nombre de pages332
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-2068-0
- EAN9791037020680
- Date de parution15/05/2015
- Protection num.Adobe DRM
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
- PréfacierJean-François Kervégan
Résumé
Très présente dans le débat politique depuis le début de la crise financière, la notion de régulation demande à être éclaircie. Issue des sciences de la vie et des systèmes mécaniques, son application au droit et à la société est loin d'aller de soi. Qu'est-ce au juste qui devrait être régulé, par qui, et comment ? La diversité des dimensions du problème et la polysémie de la notion demandent un éclairage pluridisciplinaire, de la philosophie au droit public en passant par la sociologie politique.
Mais, au-delà même de l'aspect de la question, ses enjeux sont bien d'ordre politique, et invitent à élucider les normes et les institutions qui organisent la vie commune. Comment les normes sociales se traduisent-elles dans les institutions gouvernementales ? Et par là, quelle forme peut encore prendre la démocratie dans l'idéal d'un tel gouvernement automatique de la société par elle-même ? Caterina Gabrielli prépare une thèse au sein de l'équipe Nosophi du laboratoire Philosophies contemporaines (PhiCo) de Paris 1, en cotutelle avec l'Università degli Studi di Salerno.
Elle travaille sur la théorie des opérations à procédure proposée par Maurice Hauriou dans le cadre de sa réflexion sur les institutions.
Mais, au-delà même de l'aspect de la question, ses enjeux sont bien d'ordre politique, et invitent à élucider les normes et les institutions qui organisent la vie commune. Comment les normes sociales se traduisent-elles dans les institutions gouvernementales ? Et par là, quelle forme peut encore prendre la démocratie dans l'idéal d'un tel gouvernement automatique de la société par elle-même ? Caterina Gabrielli prépare une thèse au sein de l'équipe Nosophi du laboratoire Philosophies contemporaines (PhiCo) de Paris 1, en cotutelle avec l'Università degli Studi di Salerno.
Elle travaille sur la théorie des opérations à procédure proposée par Maurice Hauriou dans le cadre de sa réflexion sur les institutions.
Très présente dans le débat politique depuis le début de la crise financière, la notion de régulation demande à être éclaircie. Issue des sciences de la vie et des systèmes mécaniques, son application au droit et à la société est loin d'aller de soi. Qu'est-ce au juste qui devrait être régulé, par qui, et comment ? La diversité des dimensions du problème et la polysémie de la notion demandent un éclairage pluridisciplinaire, de la philosophie au droit public en passant par la sociologie politique.
Mais, au-delà même de l'aspect de la question, ses enjeux sont bien d'ordre politique, et invitent à élucider les normes et les institutions qui organisent la vie commune. Comment les normes sociales se traduisent-elles dans les institutions gouvernementales ? Et par là, quelle forme peut encore prendre la démocratie dans l'idéal d'un tel gouvernement automatique de la société par elle-même ? Caterina Gabrielli prépare une thèse au sein de l'équipe Nosophi du laboratoire Philosophies contemporaines (PhiCo) de Paris 1, en cotutelle avec l'Università degli Studi di Salerno.
Elle travaille sur la théorie des opérations à procédure proposée par Maurice Hauriou dans le cadre de sa réflexion sur les institutions.
Mais, au-delà même de l'aspect de la question, ses enjeux sont bien d'ordre politique, et invitent à élucider les normes et les institutions qui organisent la vie commune. Comment les normes sociales se traduisent-elles dans les institutions gouvernementales ? Et par là, quelle forme peut encore prendre la démocratie dans l'idéal d'un tel gouvernement automatique de la société par elle-même ? Caterina Gabrielli prépare une thèse au sein de l'équipe Nosophi du laboratoire Philosophies contemporaines (PhiCo) de Paris 1, en cotutelle avec l'Università degli Studi di Salerno.
Elle travaille sur la théorie des opérations à procédure proposée par Maurice Hauriou dans le cadre de sa réflexion sur les institutions.