Noblesse oblige Tome 1
Le Duc mis à nu

Par : Sally MacKenzie

Disponible d'occasion :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages360
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-8205-0576-7
  • EAN9782820505767
  • Date de parution20/06/2012
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurBragelonne
  • TraducteurVincent Basset

Résumé

La chance ne sourit décidément pas à Miss Sarah Hamilton, fraîchement débarquée de Philadelphie. Son père lui a fait promettre sur son lit de mort de se rendre en Angleterre chez son oncle, le comte de Westbrooke, mais des marins maladroits ont fait tomber sa malle dans le port de Liverpool. Démunie et un peu perdue, Sarah se voit réserver un accueil pour le moins étrange dans l'auberge où elle compte passer la nuit.
À son réveil : stupeur ! Un homme nu partage son lit ! La voici compromise, et mêlée aux dangereuses affaires de famille du très séduisant duc d'Alvord.
La chance ne sourit décidément pas à Miss Sarah Hamilton, fraîchement débarquée de Philadelphie. Son père lui a fait promettre sur son lit de mort de se rendre en Angleterre chez son oncle, le comte de Westbrooke, mais des marins maladroits ont fait tomber sa malle dans le port de Liverpool. Démunie et un peu perdue, Sarah se voit réserver un accueil pour le moins étrange dans l'auberge où elle compte passer la nuit.
À son réveil : stupeur ! Un homme nu partage son lit ! La voici compromise, et mêlée aux dangereuses affaires de famille du très séduisant duc d'Alvord.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.3/5
sur 3 notes dont 2 avis lecteurs
Le duc mis à nu
Que faire lorsque vous n'avez pas le moral, goût à rien, pas envie de vous prendre la tête ? Lire une niaiserie. Parce que, avouons-le tout de go, ce livre en est une, sorte de Barbara Cartland un peu plus osé (m'enfin n'en attendez pas trop tout de même) et avec quelques touches d'humour. Il en faut car la fin tire en longueur et en guimauve. La jeune Sarah est un mélange de modernité et d'innocence assez confondant. Son défunt père, américain, l'a élevée dans les valeurs du Nouveau Monde si éloignées des traditions de la noblesse britannique dont il est pourtant issu. Et bien que médecin, il ne l'a absolument pas éduquée sur ce que sont un homme et une femme. Cela va provoquer d'énormes quiproquos lorsque, pour honorer la promesse qu'elle lui a faite sur son lit de mort, elle se retrouve dans celui du duc d'Alvord. L'humour viendra surtout de la confrontation de ce si séduisant duc et de sa si naïve promise qui, bien que très tentée par les charmes de ce noble pair du royaume, n'est pas prête à sacrifier aux règles de bienséance qui voudraient lui imposer le mariage avec un homme qu'elle considère comme dépravé, alors qu'elle ne le connait même pas encore. Le duc est obligé de se lancer dans une course effrénée. Connaissant son petit secret au bout de quelques pages, le lecteur se demandera d'ailleurs comment il sait spontanément aussi bien si prendre. La rencontre de ces deux protagonistes est un passage savoureux. Vous le voyez, ce n'est guère profond, ni très fouillé comme histoire.On lève les yeux au ciel devant la nigauderie de Sarah qui, bien que rafraichissante au début, devient vite agaçante. Si James est crédible dans le rôle du séducteur, il ne l'est plus du tout une fois le "secret" connu. Enfin, la fin, comme beaucoup, m'a fait bondir. Sans spoiler, le drame que vit la demoiselle ne devrait pas lui permettre de se précipiter dans les bras de son duc aussi vite. En bref une lecture pas très crédible mais divertissante pour qui cherche à reposer ses neurones un jour de grande canicule. Il paraîtrait que le deuxième tome est mieux. Ce sera pour un autre jour de canicule. En attendant, je vais remettre mon cerveau en état de marche. http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2012/08/le-duc-mis-nu-sally-mackenzie.html
Que faire lorsque vous n'avez pas le moral, goût à rien, pas envie de vous prendre la tête ? Lire une niaiserie. Parce que, avouons-le tout de go, ce livre en est une, sorte de Barbara Cartland un peu plus osé (m'enfin n'en attendez pas trop tout de même) et avec quelques touches d'humour. Il en faut car la fin tire en longueur et en guimauve. La jeune Sarah est un mélange de modernité et d'innocence assez confondant. Son défunt père, américain, l'a élevée dans les valeurs du Nouveau Monde si éloignées des traditions de la noblesse britannique dont il est pourtant issu. Et bien que médecin, il ne l'a absolument pas éduquée sur ce que sont un homme et une femme. Cela va provoquer d'énormes quiproquos lorsque, pour honorer la promesse qu'elle lui a faite sur son lit de mort, elle se retrouve dans celui du duc d'Alvord. L'humour viendra surtout de la confrontation de ce si séduisant duc et de sa si naïve promise qui, bien que très tentée par les charmes de ce noble pair du royaume, n'est pas prête à sacrifier aux règles de bienséance qui voudraient lui imposer le mariage avec un homme qu'elle considère comme dépravé, alors qu'elle ne le connait même pas encore. Le duc est obligé de se lancer dans une course effrénée. Connaissant son petit secret au bout de quelques pages, le lecteur se demandera d'ailleurs comment il sait spontanément aussi bien si prendre. La rencontre de ces deux protagonistes est un passage savoureux. Vous le voyez, ce n'est guère profond, ni très fouillé comme histoire.On lève les yeux au ciel devant la nigauderie de Sarah qui, bien que rafraichissante au début, devient vite agaçante. Si James est crédible dans le rôle du séducteur, il ne l'est plus du tout une fois le "secret" connu. Enfin, la fin, comme beaucoup, m'a fait bondir. Sans spoiler, le drame que vit la demoiselle ne devrait pas lui permettre de se précipiter dans les bras de son duc aussi vite. En bref une lecture pas très crédible mais divertissante pour qui cherche à reposer ses neurones un jour de grande canicule. Il paraîtrait que le deuxième tome est mieux. Ce sera pour un autre jour de canicule. En attendant, je vais remettre mon cerveau en état de marche. http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2012/08/le-duc-mis-nu-sally-mackenzie.html
Léger et drôle
Au programme : des quiproquo en veux-tu en voilà, des affaires louches, des vilains-méchants bandits et une histoire d’amour… ou pas. Dans l’ensemble, j’ai apprécié cette lecture fraîche et légère. Jusqu’au deux-tiers, je me suis nettement bien marrée malgré le fait que la Miss Sarah et moi ça ne va pas être possible. Sa gaucherie qui aurait pu être touchante m’a exaspérée, je ne me suis absolument pas attachée à elle ! Par contre, le Duc d’Alvord est un personnage bien plus savoureux, si je puis me permettre ; il est plus crédible et beaucoup mieux « construit » psychologiquement. Un style littéraire qui n’échappe malheureusement pas aux clichés, on adhère ou pas. Une romance sur fond historique, qui a réussi – en partie – la seule chose que j’apprécie dans la chick-lit, à savoir la petite pointe d’humeur sans en avoir l’aspect superficiel.
Au programme : des quiproquo en veux-tu en voilà, des affaires louches, des vilains-méchants bandits et une histoire d’amour… ou pas. Dans l’ensemble, j’ai apprécié cette lecture fraîche et légère. Jusqu’au deux-tiers, je me suis nettement bien marrée malgré le fait que la Miss Sarah et moi ça ne va pas être possible. Sa gaucherie qui aurait pu être touchante m’a exaspérée, je ne me suis absolument pas attachée à elle ! Par contre, le Duc d’Alvord est un personnage bien plus savoureux, si je puis me permettre ; il est plus crédible et beaucoup mieux « construit » psychologiquement. Un style littéraire qui n’échappe malheureusement pas aux clichés, on adhère ou pas. Une romance sur fond historique, qui a réussi – en partie – la seule chose que j’apprécie dans la chick-lit, à savoir la petite pointe d’humeur sans en avoir l’aspect superficiel.
  • Drôle