No sex. Avoir envie de ne pas faire l'amour
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- Nombre de pages111
- FormatePub
- ISBN2-36490-203-7
- EAN9782364902039
- Date de parution02/07/2006
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille233 Ko
- ÉditeurLa Musardine
Résumé
Si, depuis la révolution sexuelle, tout le monde peut faire ce qu'il veut de son cul, quel danger y aurait-il à ne rien en faire du tout ?
Il y a encore peu de temps, la disette sexuelle n'était pas jugée négativement. Au contraire : haro sur les fornicateurs, les masturbateurs, sur tous ceux qui séparaient, sexe et procration. Si la révolution sexuelle peut avoir quelques ratés, son influence ne fait aucun doute sur un point précis : désormais, c'est une libido faible, voire inexistante, que l'on montre du doigt.
Manifester un goût peu prononcé pour la chose prend des allures de tare à soigner. Au centre du soupçon, une poignée d'individus se revendiquant asexuels et qui, autour du site internetasexuality.org, conquiert peu peu une visibilité sociale et médiatique. Pour quelles raisons peut-on être dépourvu de libido ? L'asexualité est-elle une autre de ces modes made in USA ou l'expression d'une profonde mutation de notre société ? Faut-il obligatoirement avoir envie de faire l'amour ? C'est ici que commence la passionnante enquête historique, sociologique et scientifique que Peggy Sastre a choisi de mener.
Avec un unique préjugé : l'asexualité n'a rien d'une maladie.
Manifester un goût peu prononcé pour la chose prend des allures de tare à soigner. Au centre du soupçon, une poignée d'individus se revendiquant asexuels et qui, autour du site internetasexuality.org, conquiert peu peu une visibilité sociale et médiatique. Pour quelles raisons peut-on être dépourvu de libido ? L'asexualité est-elle une autre de ces modes made in USA ou l'expression d'une profonde mutation de notre société ? Faut-il obligatoirement avoir envie de faire l'amour ? C'est ici que commence la passionnante enquête historique, sociologique et scientifique que Peggy Sastre a choisi de mener.
Avec un unique préjugé : l'asexualité n'a rien d'une maladie.
Si, depuis la révolution sexuelle, tout le monde peut faire ce qu'il veut de son cul, quel danger y aurait-il à ne rien en faire du tout ?
Il y a encore peu de temps, la disette sexuelle n'était pas jugée négativement. Au contraire : haro sur les fornicateurs, les masturbateurs, sur tous ceux qui séparaient, sexe et procration. Si la révolution sexuelle peut avoir quelques ratés, son influence ne fait aucun doute sur un point précis : désormais, c'est une libido faible, voire inexistante, que l'on montre du doigt.
Manifester un goût peu prononcé pour la chose prend des allures de tare à soigner. Au centre du soupçon, une poignée d'individus se revendiquant asexuels et qui, autour du site internetasexuality.org, conquiert peu peu une visibilité sociale et médiatique. Pour quelles raisons peut-on être dépourvu de libido ? L'asexualité est-elle une autre de ces modes made in USA ou l'expression d'une profonde mutation de notre société ? Faut-il obligatoirement avoir envie de faire l'amour ? C'est ici que commence la passionnante enquête historique, sociologique et scientifique que Peggy Sastre a choisi de mener.
Avec un unique préjugé : l'asexualité n'a rien d'une maladie.
Manifester un goût peu prononcé pour la chose prend des allures de tare à soigner. Au centre du soupçon, une poignée d'individus se revendiquant asexuels et qui, autour du site internetasexuality.org, conquiert peu peu une visibilité sociale et médiatique. Pour quelles raisons peut-on être dépourvu de libido ? L'asexualité est-elle une autre de ces modes made in USA ou l'expression d'une profonde mutation de notre société ? Faut-il obligatoirement avoir envie de faire l'amour ? C'est ici que commence la passionnante enquête historique, sociologique et scientifique que Peggy Sastre a choisi de mener.
Avec un unique préjugé : l'asexualité n'a rien d'une maladie.