No future. Une histoire du punk 1974-2017

Par : Caroline de Kergariou
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  • Nombre de pages766
  • FormatePub
  • ISBN978-2-262-07244-5
  • EAN9782262072445
  • Date de parution01/06/2017
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille18 Mo
  • ÉditeurPerrin

Résumé

La première synthèse globale sur le mouvement Punk, de la musique londonienne aux écoles d'art new-yorkaises et au graphisme parisien. Plus personne aujourd'hui ne remet en cause l'importance de Mai 68 en tant que fracture sociale, culturelle et politique. Le mouvement punk, pris pour une énième agitation adolescente, incompréhensible car chantant la laideur, représente en réalité une fracture toute aussi profonde. Bien masqué derrière son amour de la provocation, le punk est beaucoup plus sérieux qu'il n'y paraît : il constitue la réponse d'une génération à un monde usé, dont le modèle économique s'est fracassé sur le choc pétrolier de 1974.
C'est la Blank Generation, la génération vide, celle qui a toujours connu la télévision, la prospérité et l'abondance, mais une abondance que l'on découvre quelque peu frelatée, à l'instar des colorants chimiques cancérigènes ou du " poulet aux hormones ". Et si le mot punk évoque en tout premier lieu la musique, il nourrit d'autres formes artistiques, comme le graphisme, et se conjugue en art de vivre, esthétique, philosophie et politique.
Des mots qui auraient paru pompeux aux adultes qui découvrirent en 1977 des jeunes gens hargneux aux vêtements lacérés et aux cheveux verts ou rouges hérissés sur la tête. Quatre décennies plus tard, il est possible de revenir sur cette époque de manière dépassionnée et de suivre jusqu'à aujourd'hui les riches prolongements d'un mouvement fascinant. .
La première synthèse globale sur le mouvement Punk, de la musique londonienne aux écoles d'art new-yorkaises et au graphisme parisien. Plus personne aujourd'hui ne remet en cause l'importance de Mai 68 en tant que fracture sociale, culturelle et politique. Le mouvement punk, pris pour une énième agitation adolescente, incompréhensible car chantant la laideur, représente en réalité une fracture toute aussi profonde. Bien masqué derrière son amour de la provocation, le punk est beaucoup plus sérieux qu'il n'y paraît : il constitue la réponse d'une génération à un monde usé, dont le modèle économique s'est fracassé sur le choc pétrolier de 1974.
C'est la Blank Generation, la génération vide, celle qui a toujours connu la télévision, la prospérité et l'abondance, mais une abondance que l'on découvre quelque peu frelatée, à l'instar des colorants chimiques cancérigènes ou du " poulet aux hormones ". Et si le mot punk évoque en tout premier lieu la musique, il nourrit d'autres formes artistiques, comme le graphisme, et se conjugue en art de vivre, esthétique, philosophie et politique.
Des mots qui auraient paru pompeux aux adultes qui découvrirent en 1977 des jeunes gens hargneux aux vêtements lacérés et aux cheveux verts ou rouges hérissés sur la tête. Quatre décennies plus tard, il est possible de revenir sur cette époque de manière dépassionnée et de suivre jusqu'à aujourd'hui les riches prolongements d'un mouvement fascinant. .