Niklos Koda Tome 7 - E-book - Epub fixed layout

Magie blanche

Note moyenne 
A Paris, par le seul pouvoir de sa voix, une inconnue a transformé un brave homme en assassin. L'enquête conduit Niklos Koda sur la piste d'un illusionniste... Lire la suite
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Résumé

A Paris, par le seul pouvoir de sa voix, une inconnue a transformé un brave homme en assassin. L'enquête conduit Niklos Koda sur la piste d'un illusionniste dénommé Kandar et aboutit au Caire, dans un festival de magie... Au Caire, Niklos Koda a été averti par le vieil Ahmad qui l'a initié aux arts mystiques : Kandar n'est pas un simple illusionniste. Depuis longtemps, il se fait assister par Irum, un esprit malfaisant.
En faisant de Kandar, la star du festival de magie qu'il a organisé, le prince Fahd compte profiter des pouvoirs d'Irum. La fastueuse réception d'ouverture a rassemblé tout le gotha de la magie, dont l'Anglais Torrens... Pour Torrens, les choses se présentent bien : Melle Zia, la superbe comparse de Kandar, a succombé à son charme. Au cours de leur « nuit d'amour », l'Anglais est cependant épouvanté par un cauchemar...
Avis aux amateurs d'éditions spéciales ! Il existe un coffret contenant Magie blanche, un emplacement pour insérer Magie noire et quatre cartes de tarot Niklos Koda (13 ? - GENCOD: 3600121010864). Nouveaux fonds d'écran

Caractéristiques

  • Date de parution
    12/07/2013
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-8036-3996-0
  • EAN
    9782803639960
  • Format
    Epub fixed layout
  • Nb. de pages
    54 pages
  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Pages
      54
    • Taille
      43 725 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Jean Dufaux est l'auteur d'une oeuvre importante comprenant près de 200 titres, une oeuvre originale, à l'écart des modes, plus complexe qu'il n'y paraît : "Complainte des landes perdues, Double masque, Murena, Rapaces, Djinn, Croisades, Barracuda, Sortilèges, Loup de Pluie, Le Bois des vierges, Conquistador, ..." Le monde de Jean Dufaux s'orchestre autour de quelques thèmes récurrents qui structurent ses récits : le pouvoir et la folie, la solitude et ses miroirs, les égarements du temps, les blessures du passé.
Cette mosaïque immense qui ne refuse ni les jubilations du roman-feuilleton ni les ellipses cinématographiques se veut avant tout une oeuvre de plaisir, d'enchantement, au sens féerique et occulte du terme. Ces albums, vendus à des millions d'exemplaires, couronnés par de nombreux prix et récompenses, diffusés dans une douzaine de pays (Europe, Japon, Etats-Unis), elle déploient leurs charmes, se parant du graphisme des meilleurs européens et s'appuyant un art du dialogue qui épouse et repousse l'image dans un même mouvement.
Parmi les nombreux prix, dont certains pour son oeuvre complète, qui qu'a reçus Jean Dufaux, citons : Le prix Calibre 38, (prix du meilleur polar) pour HAMMETT, aux éditions Glénat, en 1996. Le prix de la Société des gens de lettres pour MURENA, aux editions Dargaud, en 2007. Le prix Cheverny (meilleur roman graphique "Histoire") pour MURENA en 2011. Jean Dufaux est, par ailleurs, président du jury des prix Diagonale qui, en Belgique, récompensent chaque année des artistes de la bande dessinée.
En 2009, son oeuvre est exposée lors des « Regards croisés de la bande dessinée belge » dans les musées royaux des Beaux-Arts de Belgique. Jean Dufaux a été nommé chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres en 2009. Né le 27 mai 1962 à Charleroi. C'est à 10 ans que Olivier a su qu'il ferait de la BD. C'est « Lucky Luke », « Tintin » et le journal « Spirou » qui le mèneront à suivre les cours de Vittorio Leonardo entre 14 et 17 ans. Après des humanités scientifiques, il étudie le cinéma d'animation à L'école de recherche graphique de Bruxelles.
Le soir, il rejoint l'atelier d'Eddy Paape, cours de Bande Dessinée où il rencontre notamment Wurm, Lumer, Cayman, Durieux... Il s'attaque déjà à ses propres projets et publie sous l'impulsion de Paape « Aldose et Glucose » dans le journal Tintin de 1984 à 1986. Ces histoires courtes de SF humoristique seront suivies des premiers récits réalistes et fantastiques publiés en 1987 et 1988. Des projets d'albums suivront, les refus s'enchaîneront. Véritable boulimique, Grenson cumule les fonctions, il enseigne le dessin puis la Bande Dessinée et la narration à l'ERG, école supérieure artistique de Bruxelles et anime pendant six ans (de 1989 à 1995) la rubrique BD pour l'émission « Clip Clap » sur RTL-TVI. Après une adaptation avortée de « Malvira » en BD et deux histoires courtes de « Jack et Lola » avec Patrick Chaboud, pour le journal Circus, Olivier Grenson rencontre Claude Lefrancq et Michel Oleffe.
C'est le début des aventures de « Carland Cross »... Le premier album « Le Golem » reçoit le prix avenir 1991 par le CBBD (Centre belge de la Bande Dessinée). « La Goule de Shadwell », sixième opus, reçoit le prix du meilleur dessin en 1996 par le CBBD. La série s'arrête en 1998 avec « Les Pendus de Manhattan ». Le succès de « Carland Cross » a valu à Olivier l'adaptation de son personnage en une série de 26 épisodes de 26 minutes dessins animés (RTBF, TF1, Canal+...). C'est en 1999 que naît, de l'association Dufaux et Grenson, « Niklos Koda », au Lombard (7 titres et 4 tirages de tête) dans la collection Troisième Vague Lombard.
Les albums « Magie Noire » et « Magie Blanche » constituent le dernier diptyque en date. Photo © Imag'in You - E. Charneux

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