Cannes, c'était hier
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Nice, c'était hier. Chronique du temps passé à travers les cartes postales
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- Nombre de pages115
- FormatPDF
- ISBN2-307-45856-5
- EAN9782307458562
- Date de parution01/01/1979
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille52 Mo
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (ALP'...
Résumé
Nice : un nom magique. Évocateur de soleil, de fleurs, de ciel bleu, de mer incomparablement calme. Nice : une cité au carrefour du grand tourisme international. En même temps, tournée vers son avenir et son passé. Un passé d'une extrême richesse. Un passé que la Belle Époque a marqué de sa griffe inoubliable. À Nice, les grands écrivains, les grands musiciens, les grands peintres sont venus chercher l'inspiration ou vivre une passion.
Berlioz y composa le « Roi Lear », et y donna sa célèbre « Damnation ». Lamartine a, quant à lui, dit en vers son regret de ne pouvoir venir y goûter cette douceur d'aimer. Dufy, Matisse et Rodin ont ici trouvé le temps de créer. Les grands de ce monde ne furent pas les derniers à se faire une place au soleil niçois. La Reine Victoria, par exemple qui, démocratiquement, se mêla aux Niçois lors des fêtes locales, comme celle des Cougourdons ou des Mais.
Délaissant les habituelles routes historiques et romancières, Bernard Vadon a préféré emprunter les sentiers poétiques. En compagnie de « l'homme qui cherche Nice », l'auteur invite à une promenade originale au pays du passé. Par moments, au détour d'une page, une image fixe le souvenir ; Bernard Vadon a choisi à cet effet plus de 130 cartes postales et documents anciens, pour nous aider à refaire ce long et passionnant chemin à contre-courant.
Berlioz y composa le « Roi Lear », et y donna sa célèbre « Damnation ». Lamartine a, quant à lui, dit en vers son regret de ne pouvoir venir y goûter cette douceur d'aimer. Dufy, Matisse et Rodin ont ici trouvé le temps de créer. Les grands de ce monde ne furent pas les derniers à se faire une place au soleil niçois. La Reine Victoria, par exemple qui, démocratiquement, se mêla aux Niçois lors des fêtes locales, comme celle des Cougourdons ou des Mais.
Délaissant les habituelles routes historiques et romancières, Bernard Vadon a préféré emprunter les sentiers poétiques. En compagnie de « l'homme qui cherche Nice », l'auteur invite à une promenade originale au pays du passé. Par moments, au détour d'une page, une image fixe le souvenir ; Bernard Vadon a choisi à cet effet plus de 130 cartes postales et documents anciens, pour nous aider à refaire ce long et passionnant chemin à contre-courant.
Nice : un nom magique. Évocateur de soleil, de fleurs, de ciel bleu, de mer incomparablement calme. Nice : une cité au carrefour du grand tourisme international. En même temps, tournée vers son avenir et son passé. Un passé d'une extrême richesse. Un passé que la Belle Époque a marqué de sa griffe inoubliable. À Nice, les grands écrivains, les grands musiciens, les grands peintres sont venus chercher l'inspiration ou vivre une passion.
Berlioz y composa le « Roi Lear », et y donna sa célèbre « Damnation ». Lamartine a, quant à lui, dit en vers son regret de ne pouvoir venir y goûter cette douceur d'aimer. Dufy, Matisse et Rodin ont ici trouvé le temps de créer. Les grands de ce monde ne furent pas les derniers à se faire une place au soleil niçois. La Reine Victoria, par exemple qui, démocratiquement, se mêla aux Niçois lors des fêtes locales, comme celle des Cougourdons ou des Mais.
Délaissant les habituelles routes historiques et romancières, Bernard Vadon a préféré emprunter les sentiers poétiques. En compagnie de « l'homme qui cherche Nice », l'auteur invite à une promenade originale au pays du passé. Par moments, au détour d'une page, une image fixe le souvenir ; Bernard Vadon a choisi à cet effet plus de 130 cartes postales et documents anciens, pour nous aider à refaire ce long et passionnant chemin à contre-courant.
Berlioz y composa le « Roi Lear », et y donna sa célèbre « Damnation ». Lamartine a, quant à lui, dit en vers son regret de ne pouvoir venir y goûter cette douceur d'aimer. Dufy, Matisse et Rodin ont ici trouvé le temps de créer. Les grands de ce monde ne furent pas les derniers à se faire une place au soleil niçois. La Reine Victoria, par exemple qui, démocratiquement, se mêla aux Niçois lors des fêtes locales, comme celle des Cougourdons ou des Mais.
Délaissant les habituelles routes historiques et romancières, Bernard Vadon a préféré emprunter les sentiers poétiques. En compagnie de « l'homme qui cherche Nice », l'auteur invite à une promenade originale au pays du passé. Par moments, au détour d'une page, une image fixe le souvenir ; Bernard Vadon a choisi à cet effet plus de 130 cartes postales et documents anciens, pour nous aider à refaire ce long et passionnant chemin à contre-courant.
