Niarami, une armure replacée avec amour invite à une véritable plongée dans la
trajectoire émotionnelle d'une narratrice immigrante de deuxième génération. L'histoire se tisse dans un territoire où tout est à conquérir. L'exil devient un acte de création, une réinvention perpétuelle de soi. En accueillant ses racines, la narratrice puise une force nouvelle. Les poèmes entremêlent langues et récits pour créer un souffle porteur, empreint d'espoir.
Le métissage de l'autrice se reflète dans la forme même de ses poèmes, qui mélangent ses deux langues maternelles : le mandingue et le français. En associant l'oralité mandingue à l'écriture française, Madioula Kébé-Kamara inscrit la richesse de sa mixité tout en rendant hommage aux communautés Mandingues, Bambaras, Malinkés et Dioulas d'Afrique de l'Ouest. La voix de la poète s'élève depuis les échos de celles qui l'ont précédée.
À travers son corps, la narratrice devient l'incarnation d'un nouvel espace, d'une mémoire vivante.
Niarami, une armure replacée avec amour invite à une véritable plongée dans la
trajectoire émotionnelle d'une narratrice immigrante de deuxième génération. L'histoire se tisse dans un territoire où tout est à conquérir. L'exil devient un acte de création, une réinvention perpétuelle de soi. En accueillant ses racines, la narratrice puise une force nouvelle. Les poèmes entremêlent langues et récits pour créer un souffle porteur, empreint d'espoir.
Le métissage de l'autrice se reflète dans la forme même de ses poèmes, qui mélangent ses deux langues maternelles : le mandingue et le français. En associant l'oralité mandingue à l'écriture française, Madioula Kébé-Kamara inscrit la richesse de sa mixité tout en rendant hommage aux communautés Mandingues, Bambaras, Malinkés et Dioulas d'Afrique de l'Ouest. La voix de la poète s'élève depuis les échos de celles qui l'ont précédée.
À travers son corps, la narratrice devient l'incarnation d'un nouvel espace, d'une mémoire vivante.