Ni d'Eve ni d'Adam. Etude sociolinguistique de douze variables du français
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- Nombre de pages256
- FormatPDF
- ISBN2-296-30973-9
- EAN9782296309739
- Date de parution01/02/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les recherches fondatrices en sociolinguistique concluent le plus souvent que l'usage des femmes est plus normé que celui des hommes et lient ce phénomène au conservatisme des femmes ou à leur souci d'afficher leur statut social. Ces recherches, datant des années 60 et 70, ont été largement contestées, tant pour leurs interprétations que sur le plan méthodologique. Qu'en est-il aujourd'hui ? La variation sexolectale existe-t-elle encore dans le monde occidental où les rôles de chacun des sexes se redéfinissent et où l'image des hommes et des femmes se re-fonde ? Y a-t-il un reflet, dans le langage, de l'identité sexuelle ? Si oui, peut-il être lié à des réalités sociales, c'est-à-dire par exemple au fait qu'à emploi équivalent, les femmes ont souvent un niveau d'études supérieur à celui des hommes ?
C'est à ces questions que " Ni d'Ève ni d'Adam " tente de répondre, par le biais d'une vaste recherche en sociolinguistique variationniste portant sur le français, langue très absente dans ce champ d'études.
Il offre ainsi au lecteur une vue large de la variation sociale et sexolectale, et questionne à nouveau la différence sexuelle en constatant avant toute chose son faible impact sur le parler actuel.
Il offre ainsi au lecteur une vue large de la variation sociale et sexolectale, et questionne à nouveau la différence sexuelle en constatant avant toute chose son faible impact sur le parler actuel.
Les recherches fondatrices en sociolinguistique concluent le plus souvent que l'usage des femmes est plus normé que celui des hommes et lient ce phénomène au conservatisme des femmes ou à leur souci d'afficher leur statut social. Ces recherches, datant des années 60 et 70, ont été largement contestées, tant pour leurs interprétations que sur le plan méthodologique. Qu'en est-il aujourd'hui ? La variation sexolectale existe-t-elle encore dans le monde occidental où les rôles de chacun des sexes se redéfinissent et où l'image des hommes et des femmes se re-fonde ? Y a-t-il un reflet, dans le langage, de l'identité sexuelle ? Si oui, peut-il être lié à des réalités sociales, c'est-à-dire par exemple au fait qu'à emploi équivalent, les femmes ont souvent un niveau d'études supérieur à celui des hommes ?
C'est à ces questions que " Ni d'Ève ni d'Adam " tente de répondre, par le biais d'une vaste recherche en sociolinguistique variationniste portant sur le français, langue très absente dans ce champ d'études.
Il offre ainsi au lecteur une vue large de la variation sociale et sexolectale, et questionne à nouveau la différence sexuelle en constatant avant toute chose son faible impact sur le parler actuel.
Il offre ainsi au lecteur une vue large de la variation sociale et sexolectale, et questionne à nouveau la différence sexuelle en constatant avant toute chose son faible impact sur le parler actuel.