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  • FormatePub
  • ISBN979-10-307-0392-4
  • EAN9791030703924
  • Date de parution01/10/2020
  • Protection num.pas de protection
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAu Diable Vauvert
  • TraducteurLaurent Queyssi

Résumé

Case est le meilleur cow-boy des interfaces, un hacker lâché sur les autoroutes du cyberespace, le seul qui ait jamais traversé la matrice avant de rencontrer les mauvaises personnes au mauvais moment. Première grande dystopie sociale aux côtés du Blade Runner de Philip K. Dick, un chef d'oeuvre prémonitoire, fondateur de la SF moderne. « Kaléidoscopique, picaresque, flashy, décadent. une incroyable performance, virtuose.
» Washington Post « L'un des plus fameux bouquins du corpus SF dans son ensemble. » Olivier Girard, Bifrost « S'inspirant des contre-cultures, Gibson signe des romans de science-fiction visionnaires. » Le Monde
Case est le meilleur cow-boy des interfaces, un hacker lâché sur les autoroutes du cyberespace, le seul qui ait jamais traversé la matrice avant de rencontrer les mauvaises personnes au mauvais moment. Première grande dystopie sociale aux côtés du Blade Runner de Philip K. Dick, un chef d'oeuvre prémonitoire, fondateur de la SF moderne. « Kaléidoscopique, picaresque, flashy, décadent. une incroyable performance, virtuose.
» Washington Post « L'un des plus fameux bouquins du corpus SF dans son ensemble. » Olivier Girard, Bifrost « S'inspirant des contre-cultures, Gibson signe des romans de science-fiction visionnaires. » Le Monde

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Morgan CDecitre Ecully
5/5
Voyage cyber-psychédélique
1983 fut décidemment une splendide année. Tandis que la radio fait déferler le hit "Billie Jean" de Micheal Jackson et que Le Retour du Jedi signe la conclusion de la première trilogie Star Wars, les fans de littérature SF découvrent l'apôtre d'un nouveau genre : William Gibson, le maître du cyberpunk, avec son roman Neuromancer. Pourtant, les thématiques liées au cyberpunk (ou tout du moins ce que l'on rallie au genre) sont loin d’être inédites. Dans le milieu de la littérature de SF, on parle depuis les années 60 des inquiétudes face à la puissance des corporations privées, ainsi que d’un espace cyber dans lequel on voguerait, entourés d’un immense amas de données invisibles. Après tout, rappelons que si l'internet devient public en 1989, l'idée germait dans l'esprit de chercheurs depuis les années 50. Ironiquement, l’auteur a toujours détesté que son roman soit rattaché à ce terme, y voyant surtout un emballement marketing autour d’un simple mot valise dans lequel y sont rangés pêle-mêle les peurs de l’avenir, l’emballement technologique et des mégapoles nippones à l’esthétique néon. Pourtant, Neuromancien a bel et bien fait figure d’innovation dans un paysage littéraire gorgé d’optimisme et d’une foi sans commune mesure en l’avenir. Synthétisant des idées et peurs communes face à un futur technophile, Neuromancien est LE roman qui deviendra malgré lui porte-étendard d’un genre et d’idées multiples grâce à la plume sans pareille de son auteur et à sa façon si poétique de dépeindre un avenir pourtant peu lumineux. Mais si ce roman majeur de l’histoire de la littérature a su captiver les foules américaines, il en a été tout autre en France, la faute à une traduction française ayant grandement accentuée l’aura cryptique de la plume de Gibson, la rendant par moments illisible. Bon nombre de lecteurs auront d’ailleurs très certainement arrêté leur lecture passé les 50 premières pages. Fort heureusement pour nous, depuis 2020, les éditions Au Diable Vauvert ont remanié entièrement la traduction du Neuromancien, opérée cette fois-ci par Laurent Queyssi. Les étendues numériques n’attendent désormais plus que vous, et cette fois, vous pourrez aisément aller jusqu’au bout de cette aventure. Le roman nous parle de Case, un ancien cowboy du cyberespace ayant arpenté sans peurs les horizons numériques, mais condamné par ses anciens employeurs à ne plus jamais pouvoir y retourner… jusqu’au jour où il rencontre Molly, une jeune mercenaire ayant pour yeux des plaques d'acier, et un mystérieux homme nommé Armitage. Ce duo lui propose l'opportunité d'une vie : replonger dans le cyberespace à l'occasion d'un braquage. C’est le début d’une mission aux multiples tournures qui nous emmènera à la découverte d'un monde ultra connecté. La puissance de Neuromancien nous frappe dès son incipit : Le ciel au-dessus du port avait la couleur d’une télé allumée sur une chaîne défunte. De manière générale, Gibson fait partie de ces auteurs uniques capables d’aligner des phrases cinglantes et brillamment tournées qui ne vous laissent pas indemnes. Poétique à souhait, le bonhomme nous immerge dans ces constellations d’informations, au cœur de mégapoles nippones à l’esthétique néon, où la pluie martèle sans cesse l’asphalte des rues. Au plus près des personnages, Gibson nous les présente torturés et tiraillés entre leur passé et leur avenir, comme avec Case et sa volonté d'autodestruction. Mais au-dessus de la population s’élève aussi des méga corporations, ou zaibatsu, comme les appelle Gibson. Entités semblables aux hydres mythologiques, l’auteur les compare ici à des dieux vivants immortels incapables d’être destitués de leur trône. Le mot zaibatsu n’est pas le seul terme qu’utilise Gibson pour construire son vaste monde, entre simstim, reconstruction, G.L.A.C.E et autres… C’est dans cette richesse linguistique et dans cette plume riche que Neuromancien trouve toute sa beauté, et son propos, quant à lui, n’a pas pris une ride. Bien sûr, le roman reste dense et parfois complexe à suivre, n'hésitant pas à transiter du numérique à la réalité en une seule phrase. Mais c'est justement la porosité de la réalité qui rend la lecture de Neuromancien si jubilatoire et palpitante. A la recherche d'une réalité à laquelle s'accrocher, nous sommes tels Case : des cowboys du cyberespace.
1983 fut décidemment une splendide année. Tandis que la radio fait déferler le hit "Billie Jean" de Micheal Jackson et que Le Retour du Jedi signe la conclusion de la première trilogie Star Wars, les fans de littérature SF découvrent l'apôtre d'un nouveau genre : William Gibson, le maître du cyberpunk, avec son roman Neuromancer. Pourtant, les thématiques liées au cyberpunk (ou tout du moins ce que l'on rallie au genre) sont loin d’être inédites. Dans le milieu de la littérature de SF, on parle depuis les années 60 des inquiétudes face à la puissance des corporations privées, ainsi que d’un espace cyber dans lequel on voguerait, entourés d’un immense amas de données invisibles. Après tout, rappelons que si l'internet devient public en 1989, l'idée germait dans l'esprit de chercheurs depuis les années 50. Ironiquement, l’auteur a toujours détesté que son roman soit rattaché à ce terme, y voyant surtout un emballement marketing autour d’un simple mot valise dans lequel y sont rangés pêle-mêle les peurs de l’avenir, l’emballement technologique et des mégapoles nippones à l’esthétique néon. Pourtant, Neuromancien a bel et bien fait figure d’innovation dans un paysage littéraire gorgé d’optimisme et d’une foi sans commune mesure en l’avenir. Synthétisant des idées et peurs communes face à un futur technophile, Neuromancien est LE roman qui deviendra malgré lui porte-étendard d’un genre et d’idées multiples grâce à la plume sans pareille de son auteur et à sa façon si poétique de dépeindre un avenir pourtant peu lumineux. Mais si ce roman majeur de l’histoire de la littérature a su captiver les foules américaines, il en a été tout autre en France, la faute à une traduction française ayant grandement accentuée l’aura cryptique de la plume de Gibson, la rendant par moments illisible. Bon nombre de lecteurs auront d’ailleurs très certainement arrêté leur lecture passé les 50 premières pages. Fort heureusement pour nous, depuis 2020, les éditions Au Diable Vauvert ont remanié entièrement la traduction du Neuromancien, opérée cette fois-ci par Laurent Queyssi. Les étendues numériques n’attendent désormais plus que vous, et cette fois, vous pourrez aisément aller jusqu’au bout de cette aventure. Le roman nous parle de Case, un ancien cowboy du cyberespace ayant arpenté sans peurs les horizons numériques, mais condamné par ses anciens employeurs à ne plus jamais pouvoir y retourner… jusqu’au jour où il rencontre Molly, une jeune mercenaire ayant pour yeux des plaques d'acier, et un mystérieux homme nommé Armitage. Ce duo lui propose l'opportunité d'une vie : replonger dans le cyberespace à l'occasion d'un braquage. C’est le début d’une mission aux multiples tournures qui nous emmènera à la découverte d'un monde ultra connecté. La puissance de Neuromancien nous frappe dès son incipit : Le ciel au-dessus du port avait la couleur d’une télé allumée sur une chaîne défunte. De manière générale, Gibson fait partie de ces auteurs uniques capables d’aligner des phrases cinglantes et brillamment tournées qui ne vous laissent pas indemnes. Poétique à souhait, le bonhomme nous immerge dans ces constellations d’informations, au cœur de mégapoles nippones à l’esthétique néon, où la pluie martèle sans cesse l’asphalte des rues. Au plus près des personnages, Gibson nous les présente torturés et tiraillés entre leur passé et leur avenir, comme avec Case et sa volonté d'autodestruction. Mais au-dessus de la population s’élève aussi des méga corporations, ou zaibatsu, comme les appelle Gibson. Entités semblables aux hydres mythologiques, l’auteur les compare ici à des dieux vivants immortels incapables d’être destitués de leur trône. Le mot zaibatsu n’est pas le seul terme qu’utilise Gibson pour construire son vaste monde, entre simstim, reconstruction, G.L.A.C.E et autres… C’est dans cette richesse linguistique et dans cette plume riche que Neuromancien trouve toute sa beauté, et son propos, quant à lui, n’a pas pris une ride. Bien sûr, le roman reste dense et parfois complexe à suivre, n'hésitant pas à transiter du numérique à la réalité en une seule phrase. Mais c'est justement la porosité de la réalité qui rend la lecture de Neuromancien si jubilatoire et palpitante. A la recherche d'une réalité à laquelle s'accrocher, nous sommes tels Case : des cowboys du cyberespace.
Thomas R. - 2Decitre Bellecour
5/5
Bienvenue dans la matrice
En ouvrant le livre on branche son cerveau à la matrice et puis c’est le plongeon ! Direction le « cyberespace ». A sa sortie initiale dans les années 1984, ce roman rappelle Orwell, fonde les débuts du mouvement cyberpunk et influencera plus tard la trilogie Matrix. Introuvable depuis des années, ce livre fait aujourd’hui sa réapparition !! Oubliez le monde réel et ses limites. Je vous souhaite un inoubliable voyage dans le futur dystopique de Gibson en compagnie de Case, un hacker en perdition… … dans un endroit où le capitalisme est maître, les nouvelles technologies et l’intelligence artificielle omniprésentes et où les drogues de synthèses circulent en masse. Un livre hors normes qui m’a complètement scotché et qui ne demande qu’à être relu !
En ouvrant le livre on branche son cerveau à la matrice et puis c’est le plongeon ! Direction le « cyberespace ». A sa sortie initiale dans les années 1984, ce roman rappelle Orwell, fonde les débuts du mouvement cyberpunk et influencera plus tard la trilogie Matrix. Introuvable depuis des années, ce livre fait aujourd’hui sa réapparition !! Oubliez le monde réel et ses limites. Je vous souhaite un inoubliable voyage dans le futur dystopique de Gibson en compagnie de Case, un hacker en perdition… … dans un endroit où le capitalisme est maître, les nouvelles technologies et l’intelligence artificielle omniprésentes et où les drogues de synthèses circulent en masse. Un livre hors normes qui m’a complètement scotché et qui ne demande qu’à être relu !
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