Les questions d'Aurélien 2
Néron, et si c'était un brave type ? - roman

Par : Catherine Hague, Bernard Fripiat

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  • Nombre de pages250
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-36682-016-4
  • EAN9782366820164
  • Date de parution27/06/2013
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurEditions Gunten

Résumé

Depuis la nuit des temps, Néron est considéré comme le monstre absolu, mais est-ce vrai ? Voilà la question que se pose le livre 2 des questions d'Aurélien "Néron ? Et si c'était un brave type ?" . Historien du 22ème siècle (capable de voyager dans le temps), Aurélien essaye de savoir si, devant un jury américain qui mettrait systématiquement en cause la crédibilité des témoins à charge, Néron irait jusqu'au procès pour crime.
Lui et ses amis vont découvrir la vie romaine. Voici quelques extraits... Mort de Britannicus. - Utiliser deux fois de suite la même technique d'assassinat, observe le défenseur de Néron, ils manquent d'imagination. Ton Suétone ignore-t-il que les nobles utilisent des goûteurs ? - Tacite a anticipé ton argument. Selon lui, le poison se trouvait dans l'eau utilisée afin de rafraîchir la soupe brûlante.
Il crédibilise la version de Suétone. - Crédibilise ! s'exclame Fanfan. On contrôle la soupe de crainte qu'elle ne soit empoisonnée, mais personne ne songe à vérifier l'eau. - D'un autre côté, la mort subite est rare à 13 ans. - Hormis une morsure de serpent, précise Fanfan, aucun poison ne peut provoquer une mort si rapide. - Sauf le cyanure qui ôte la vie deux ou trois minutes après son absorption, répond le futur agrégé. -Je n'en ai jamais entendu parler, objecte le jeune Romain. - Normal, sourit Patrick, le cyanure à dose mortelle rapi- de a été découvert en 1782, 2535 ans après la fondation de Rome. - As-tu le nom des consuls ? plaisante Brune. - Louis XVI et Marie-Antoinette.
Mais c'est une autre histoire. Cette plaisanterie n'est pas du goût d'Aurélien. - Il doit bien exister d'autres poisons, grommelle-t-il. Le chef de l'expédition consulte sa tablette. - Le curare injecté par voie veineuse tue en cinq ou dix minutes. Il est inoffensif par voie buccale - Les dieux possèdent parfaitement l'art d'administrer la mort, constate Fanfan. Votre cyanure éviterait à ceux qui se suicident de s'ouvrir les veines avec un couteau.
Même si on s'entoure d'eau chaude, la douleur est terrible. - Comment Socrate s'est-il suicidé ? questionne le futur historien. - Il a avalé de la ciguë, reconnaît le jeune Romain. Dix heures de souffrance avant de mourir.
Depuis la nuit des temps, Néron est considéré comme le monstre absolu, mais est-ce vrai ? Voilà la question que se pose le livre 2 des questions d'Aurélien "Néron ? Et si c'était un brave type ?" . Historien du 22ème siècle (capable de voyager dans le temps), Aurélien essaye de savoir si, devant un jury américain qui mettrait systématiquement en cause la crédibilité des témoins à charge, Néron irait jusqu'au procès pour crime.
Lui et ses amis vont découvrir la vie romaine. Voici quelques extraits... Mort de Britannicus. - Utiliser deux fois de suite la même technique d'assassinat, observe le défenseur de Néron, ils manquent d'imagination. Ton Suétone ignore-t-il que les nobles utilisent des goûteurs ? - Tacite a anticipé ton argument. Selon lui, le poison se trouvait dans l'eau utilisée afin de rafraîchir la soupe brûlante.
Il crédibilise la version de Suétone. - Crédibilise ! s'exclame Fanfan. On contrôle la soupe de crainte qu'elle ne soit empoisonnée, mais personne ne songe à vérifier l'eau. - D'un autre côté, la mort subite est rare à 13 ans. - Hormis une morsure de serpent, précise Fanfan, aucun poison ne peut provoquer une mort si rapide. - Sauf le cyanure qui ôte la vie deux ou trois minutes après son absorption, répond le futur agrégé. -Je n'en ai jamais entendu parler, objecte le jeune Romain. - Normal, sourit Patrick, le cyanure à dose mortelle rapi- de a été découvert en 1782, 2535 ans après la fondation de Rome. - As-tu le nom des consuls ? plaisante Brune. - Louis XVI et Marie-Antoinette.
Mais c'est une autre histoire. Cette plaisanterie n'est pas du goût d'Aurélien. - Il doit bien exister d'autres poisons, grommelle-t-il. Le chef de l'expédition consulte sa tablette. - Le curare injecté par voie veineuse tue en cinq ou dix minutes. Il est inoffensif par voie buccale - Les dieux possèdent parfaitement l'art d'administrer la mort, constate Fanfan. Votre cyanure éviterait à ceux qui se suicident de s'ouvrir les veines avec un couteau.
Même si on s'entoure d'eau chaude, la douleur est terrible. - Comment Socrate s'est-il suicidé ? questionne le futur historien. - Il a avalé de la ciguë, reconnaît le jeune Romain. Dix heures de souffrance avant de mourir.