Nelida. préface et notes de Charles F. Dupêchez

Par : Marie d' Agoult

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  • Nombre de pages320
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7021-4955-3
  • EAN9782702149553
  • Date de parution18/08/2010
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille307 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurCalmann-Lévy
  • Préfacier

Résumé

Nélida est le roman, fort autobiographique, que Marie de Flavigny, comtesse d'Agoult, publie sous le pseudonyme de Daniel Stern, en 1846, dans lequel elle raconte sa liaison féconde et tumultueuse avec le compositeur Franz Liszt. Elle y paraît sous les traits de Nélida, mariée très tôt à un homme qu'elle n'aime pas ; lui devient le peintre Guermann Régnier qui découvre en elle une égérie. Dans ce roman dont, à l'époque, tout le monde perçut les clés, Daniel Stern, plutôt que de relater des faits, ausculte l'âme d'une jeune femme blessée au plus profond de son être pour avoir trop cru à l'amour.
Encore aujourd'hui, l'analyse de la passion, le vertige qui prépare l'abandon, la finesse des notations psychologiques frappent le lecteur avec une force inaltérée. Et, comme dans les ouvres de George Sand, l'authenticité des accents dépasse largement du cadre convenu des romans qu'écrivaient alors les femmes du monde.
Nélida est le roman, fort autobiographique, que Marie de Flavigny, comtesse d'Agoult, publie sous le pseudonyme de Daniel Stern, en 1846, dans lequel elle raconte sa liaison féconde et tumultueuse avec le compositeur Franz Liszt. Elle y paraît sous les traits de Nélida, mariée très tôt à un homme qu'elle n'aime pas ; lui devient le peintre Guermann Régnier qui découvre en elle une égérie. Dans ce roman dont, à l'époque, tout le monde perçut les clés, Daniel Stern, plutôt que de relater des faits, ausculte l'âme d'une jeune femme blessée au plus profond de son être pour avoir trop cru à l'amour.
Encore aujourd'hui, l'analyse de la passion, le vertige qui prépare l'abandon, la finesse des notations psychologiques frappent le lecteur avec une force inaltérée. Et, comme dans les ouvres de George Sand, l'authenticité des accents dépasse largement du cadre convenu des romans qu'écrivaient alors les femmes du monde.