Musique Et Politique. Les Repertoires De L'Identite
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- Nombre de pages324
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-3920-4
- EAN9782753539204
- Date de parution17/07/2015
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
Résumé
Musiciens et chanteurs sont à l'origine de pratiques qui s'insèrent pleinement dans le jeu complexe des rapports sociaux. Aux stades de la création, de la production ou de la consommation, les musiques n'échappent jamais aux enjeux socio-culturels d'un lieu, d'une époque, d'une communauté humaine. Conformes ou dissidentes à l'égard des logiques dominantes, elles demeurent productrices d'émotions esthétiques et porteuses des liens sociaux.
Les musiques sont des enjeux de pouvoir et certaines logiques économiques ou politiques peuvent conduire à leur instrumentalisation. L'histoire est malheureusement riche de ces musiciens annexés par des régimes politiques au destin funeste. Mais les musiques sont aussi porteuses d'identités culturelles voire d'appels à la résistance. Structurant des groupes sociaux, des communautés nationales, elles peuvent contribuer, par leur capacité mobilisatrice, à accentuer ou plus fréquemment à faire tomber les murs du racisme, de l'intolérance ou du totalitarisme.
C'est qu'il n'est de pratique musicale que dans l'échange. C'est bien là toute l'ambiguïté et la richesse de cet objet, à la fois verbe codé, situé, et langage universel, transculturel. Elles méritent donc pleinement que les sociologues, les artistes, les mélomanes et les citoyens que nous sommes tous tentent de franchir ces miroirs du son qui nous renvoient les images parfois brouillées de nos sociétés.
Les musiques sont des enjeux de pouvoir et certaines logiques économiques ou politiques peuvent conduire à leur instrumentalisation. L'histoire est malheureusement riche de ces musiciens annexés par des régimes politiques au destin funeste. Mais les musiques sont aussi porteuses d'identités culturelles voire d'appels à la résistance. Structurant des groupes sociaux, des communautés nationales, elles peuvent contribuer, par leur capacité mobilisatrice, à accentuer ou plus fréquemment à faire tomber les murs du racisme, de l'intolérance ou du totalitarisme.
C'est qu'il n'est de pratique musicale que dans l'échange. C'est bien là toute l'ambiguïté et la richesse de cet objet, à la fois verbe codé, situé, et langage universel, transculturel. Elles méritent donc pleinement que les sociologues, les artistes, les mélomanes et les citoyens que nous sommes tous tentent de franchir ces miroirs du son qui nous renvoient les images parfois brouillées de nos sociétés.
Musiciens et chanteurs sont à l'origine de pratiques qui s'insèrent pleinement dans le jeu complexe des rapports sociaux. Aux stades de la création, de la production ou de la consommation, les musiques n'échappent jamais aux enjeux socio-culturels d'un lieu, d'une époque, d'une communauté humaine. Conformes ou dissidentes à l'égard des logiques dominantes, elles demeurent productrices d'émotions esthétiques et porteuses des liens sociaux.
Les musiques sont des enjeux de pouvoir et certaines logiques économiques ou politiques peuvent conduire à leur instrumentalisation. L'histoire est malheureusement riche de ces musiciens annexés par des régimes politiques au destin funeste. Mais les musiques sont aussi porteuses d'identités culturelles voire d'appels à la résistance. Structurant des groupes sociaux, des communautés nationales, elles peuvent contribuer, par leur capacité mobilisatrice, à accentuer ou plus fréquemment à faire tomber les murs du racisme, de l'intolérance ou du totalitarisme.
C'est qu'il n'est de pratique musicale que dans l'échange. C'est bien là toute l'ambiguïté et la richesse de cet objet, à la fois verbe codé, situé, et langage universel, transculturel. Elles méritent donc pleinement que les sociologues, les artistes, les mélomanes et les citoyens que nous sommes tous tentent de franchir ces miroirs du son qui nous renvoient les images parfois brouillées de nos sociétés.
Les musiques sont des enjeux de pouvoir et certaines logiques économiques ou politiques peuvent conduire à leur instrumentalisation. L'histoire est malheureusement riche de ces musiciens annexés par des régimes politiques au destin funeste. Mais les musiques sont aussi porteuses d'identités culturelles voire d'appels à la résistance. Structurant des groupes sociaux, des communautés nationales, elles peuvent contribuer, par leur capacité mobilisatrice, à accentuer ou plus fréquemment à faire tomber les murs du racisme, de l'intolérance ou du totalitarisme.
C'est qu'il n'est de pratique musicale que dans l'échange. C'est bien là toute l'ambiguïté et la richesse de cet objet, à la fois verbe codé, situé, et langage universel, transculturel. Elles méritent donc pleinement que les sociologues, les artistes, les mélomanes et les citoyens que nous sommes tous tentent de franchir ces miroirs du son qui nous renvoient les images parfois brouillées de nos sociétés.