Né à La Chaux-de-Fonds (Suisse) le 1er septembre 1887, Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser parcourt le monde avant de s'installer à Paris. Mobilisé, il est grièvement blessé pendant l'offensive de Champagne. Reprenant sa vie errante, il se passionne pour le cinéma. Il continue à publier régulièrement jusqu'à sa mort à Paris le 21 janvier 1961.
Moravagine. Suivi de La Fin du monde filmée par l'Ange N.-D. ; L'Eubage
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- Nombre de pages432
- FormatPDF
- ISBN978-2-207-10687-7
- EAN9782207106877
- Date de parution23/05/2012
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille13 Mo
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurDenoël
- AnnotateurJean-Carlo Fluckiger
Résumé
« Un monstre, je te dis... », lance Blaise Cendrars, lorsqu'il annonce à son ami Jean Cocteau, le 1er septembre 1917, qu'il vient de mettre le point final à La Fin du monde. Neuf ans plus tard, le roman paraîtra sous le nom de son inquiétant héros, Moravagine. Enfermé dès sa naissance et réputé incurable, celui-ci s'évade de l'asile psychiatrique grâce à un jeune médecin qui joue l'apprenti sorcier pour le voir à l'ouvre.
Pendant plus de dix ans, ils vont parcourir ensemble le monde entier en se faisant terroristes, chercheurs d'or ou aviateurs tandis que le « grand fauve humain » parsème sa route de cadavres de femmes. Dans cette figure du mal, Cendrars a voulu peindre son double démoniaque. Pour échapper à sa fascination, il a exploré les limites de la folie et du génie créateur. Pendant la Grande Guerre, après son amputation, Cendrars entreprend La Fin du monde, un « roman martien » resté inachevé, dont sont issus le scénario de La Fin du monde filmée par l'Ange N.-D.
(1919) et son livre le plus violent, Moravagine (1926). Réunis ici pour la première fois, ils sont accompagnés de L'Eubage, récit secret de renaissance, qui leur est contemporain.
Pendant plus de dix ans, ils vont parcourir ensemble le monde entier en se faisant terroristes, chercheurs d'or ou aviateurs tandis que le « grand fauve humain » parsème sa route de cadavres de femmes. Dans cette figure du mal, Cendrars a voulu peindre son double démoniaque. Pour échapper à sa fascination, il a exploré les limites de la folie et du génie créateur. Pendant la Grande Guerre, après son amputation, Cendrars entreprend La Fin du monde, un « roman martien » resté inachevé, dont sont issus le scénario de La Fin du monde filmée par l'Ange N.-D.
(1919) et son livre le plus violent, Moravagine (1926). Réunis ici pour la première fois, ils sont accompagnés de L'Eubage, récit secret de renaissance, qui leur est contemporain.
« Un monstre, je te dis... », lance Blaise Cendrars, lorsqu'il annonce à son ami Jean Cocteau, le 1er septembre 1917, qu'il vient de mettre le point final à La Fin du monde. Neuf ans plus tard, le roman paraîtra sous le nom de son inquiétant héros, Moravagine. Enfermé dès sa naissance et réputé incurable, celui-ci s'évade de l'asile psychiatrique grâce à un jeune médecin qui joue l'apprenti sorcier pour le voir à l'ouvre.
Pendant plus de dix ans, ils vont parcourir ensemble le monde entier en se faisant terroristes, chercheurs d'or ou aviateurs tandis que le « grand fauve humain » parsème sa route de cadavres de femmes. Dans cette figure du mal, Cendrars a voulu peindre son double démoniaque. Pour échapper à sa fascination, il a exploré les limites de la folie et du génie créateur. Pendant la Grande Guerre, après son amputation, Cendrars entreprend La Fin du monde, un « roman martien » resté inachevé, dont sont issus le scénario de La Fin du monde filmée par l'Ange N.-D.
(1919) et son livre le plus violent, Moravagine (1926). Réunis ici pour la première fois, ils sont accompagnés de L'Eubage, récit secret de renaissance, qui leur est contemporain.
Pendant plus de dix ans, ils vont parcourir ensemble le monde entier en se faisant terroristes, chercheurs d'or ou aviateurs tandis que le « grand fauve humain » parsème sa route de cadavres de femmes. Dans cette figure du mal, Cendrars a voulu peindre son double démoniaque. Pour échapper à sa fascination, il a exploré les limites de la folie et du génie créateur. Pendant la Grande Guerre, après son amputation, Cendrars entreprend La Fin du monde, un « roman martien » resté inachevé, dont sont issus le scénario de La Fin du monde filmée par l'Ange N.-D.
(1919) et son livre le plus violent, Moravagine (1926). Réunis ici pour la première fois, ils sont accompagnés de L'Eubage, récit secret de renaissance, qui leur est contemporain.