Mondialisation et citoyenneté. [colloque, "Mondialisation, institutions, citoyenneté", avril 1999, Parlement européen, Bruxelles]

Par : Jean-Pierre Michiels, Collectif, Dimitri Uzunidis
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages240
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-38832-9
  • EAN9782296388321
  • Date de parution01/05/1999
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille8 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La mondialisation n'est autre que l'expansion planétaire de l'économie capitaliste et de ses règles de fonctionnement. L'entreprise s'affiche comme entité globale ; la finance gangrène la production de richesses ; les conditions de travail et de vie quotidienne sont calquées sur les fluctuations brutales des indices boursiers ; l'environnement se dégrade inexorablement. Le démantèlement de l'Etat-providence et les assauts contre le pouvoir populaire, la défaillance du citoyen, facilitent le libre mouvement du capital.
L'Etat devient l'outil de formation d'un espace géoéconomique mondial pour la réalisation inconditionnelle de profits. Mais tous les états ne se valent pas. Le libéralisme américain donne le " la " à l'organisation mondiale de l'activité économique. Les institutions internationales, sous l'emprise de la première puissance du monde, tentent de réglementer la conquête de l'Ouest, de l'Est, du Nord et du Sud.
Observant que la mondialisation est source de ségrégation sociale, d'incertitude économique et de conflits militaires effectifs ou latents, les auteurs (universitaires, politiques, syndicalistes) s'intéressent aux effets sociaux du néo-impérialisme et discutent des formes de résistance et des alternatives politiques pour une mondialisation citoyenne.
La mondialisation n'est autre que l'expansion planétaire de l'économie capitaliste et de ses règles de fonctionnement. L'entreprise s'affiche comme entité globale ; la finance gangrène la production de richesses ; les conditions de travail et de vie quotidienne sont calquées sur les fluctuations brutales des indices boursiers ; l'environnement se dégrade inexorablement. Le démantèlement de l'Etat-providence et les assauts contre le pouvoir populaire, la défaillance du citoyen, facilitent le libre mouvement du capital.
L'Etat devient l'outil de formation d'un espace géoéconomique mondial pour la réalisation inconditionnelle de profits. Mais tous les états ne se valent pas. Le libéralisme américain donne le " la " à l'organisation mondiale de l'activité économique. Les institutions internationales, sous l'emprise de la première puissance du monde, tentent de réglementer la conquête de l'Ouest, de l'Est, du Nord et du Sud.
Observant que la mondialisation est source de ségrégation sociale, d'incertitude économique et de conflits militaires effectifs ou latents, les auteurs (universitaires, politiques, syndicalistes) s'intéressent aux effets sociaux du néo-impérialisme et discutent des formes de résistance et des alternatives politiques pour une mondialisation citoyenne.