Mon pays au passé simple
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- Nombre de pages196
- FormatePub
- ISBN2-213-70847-9
- EAN9782213708478
- Date de parution01/01/1992
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille758 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard (réédition numérique Feni...
Résumé
Tous mes livres sont consacrés aux enfants de mon pays et, par eux, à toute enfance saccagée par les guerres, la faim, la misère, l'absence de tendresse. J'ai écrit tout naturellement pour eux ce Pays au passé simple qu'ils n'ont pas connu ; ce pays dont la fraîcheur est si vivante en nos mémoires, si chantante en nos cours, que quinze ans de guerre n'ont pu altérer notre joie de vivre. Je leur raconte, à travers des anecdotes de chez nous, à travers des dialogues bien plus que par une narration descriptive, la tendre insouciance de nos pères et de nos mères qui donnait tant de saveur à la profondeur de leurs sentiments, le « raisonnement » en apparence simpliste de nos montagnards, pourtant si pleins d'humour, de bon sens et de sagesse.
Dans tous mes livres, j'ai dit combien la tendresse était souveraine dans nos familles, combien elle régissait les liens entre frères, amis, voisins. Je le redis ici, d'une autre manière, tel que cela se racontait autrefois, autour des poêles crépitants, les soirs d'hiver, ou sous la voûte étoilée de nos nuits d'été. Ce Liban d'avant la guerre est poème dans notre souvenir. Je voudrais tant qu'il chante aussi dans les cours de nos enfants.
M. L.
Dans tous mes livres, j'ai dit combien la tendresse était souveraine dans nos familles, combien elle régissait les liens entre frères, amis, voisins. Je le redis ici, d'une autre manière, tel que cela se racontait autrefois, autour des poêles crépitants, les soirs d'hiver, ou sous la voûte étoilée de nos nuits d'été. Ce Liban d'avant la guerre est poème dans notre souvenir. Je voudrais tant qu'il chante aussi dans les cours de nos enfants.
M. L.
Tous mes livres sont consacrés aux enfants de mon pays et, par eux, à toute enfance saccagée par les guerres, la faim, la misère, l'absence de tendresse. J'ai écrit tout naturellement pour eux ce Pays au passé simple qu'ils n'ont pas connu ; ce pays dont la fraîcheur est si vivante en nos mémoires, si chantante en nos cours, que quinze ans de guerre n'ont pu altérer notre joie de vivre. Je leur raconte, à travers des anecdotes de chez nous, à travers des dialogues bien plus que par une narration descriptive, la tendre insouciance de nos pères et de nos mères qui donnait tant de saveur à la profondeur de leurs sentiments, le « raisonnement » en apparence simpliste de nos montagnards, pourtant si pleins d'humour, de bon sens et de sagesse.
Dans tous mes livres, j'ai dit combien la tendresse était souveraine dans nos familles, combien elle régissait les liens entre frères, amis, voisins. Je le redis ici, d'une autre manière, tel que cela se racontait autrefois, autour des poêles crépitants, les soirs d'hiver, ou sous la voûte étoilée de nos nuits d'été. Ce Liban d'avant la guerre est poème dans notre souvenir. Je voudrais tant qu'il chante aussi dans les cours de nos enfants.
M. L.
Dans tous mes livres, j'ai dit combien la tendresse était souveraine dans nos familles, combien elle régissait les liens entre frères, amis, voisins. Je le redis ici, d'une autre manière, tel que cela se racontait autrefois, autour des poêles crépitants, les soirs d'hiver, ou sous la voûte étoilée de nos nuits d'été. Ce Liban d'avant la guerre est poème dans notre souvenir. Je voudrais tant qu'il chante aussi dans les cours de nos enfants.
M. L.