Moins !. La décroissance est une philosophie

Par : Kohei Saito, Jean-Christophe Helary, Florent Cheippe
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  • FormatMP3
  • ISBN978-2-487064-36-2
  • EAN9782487064362
  • Date de parution20/09/2024
  • Protection num.pas de protection
  • Taille670 Mo
  • ÉditeurCascades

Résumé

En s'appuyant sur les carnets tardifs inédits de Marx et en voyant dans le pacte vert le nouvel opium des masses, Kohei Saito constate le désastre social et écologique du capitalisme, dénonce le mode de vie des pays développés fondé sur l'expropriation des ressources et de l'énergie du Sud global et prône une société basée sur les communs. Il associe deux termes apparemment incompatibles, la décroissance et le communisme, pour proposer une solution politique et civilisationnelle : le communisme décroissant.
Il redéfinit ainsi le communisme comme une forme d'association, très différent de la révolution prolétarienne, et met en lumière de nouveaux aspects de la pensée de Marx, en sommeil depuis plus de 150 ans. Marx soulignait en effet que le capitalisme invisibilisait ses propres contradictions en les déplaçant ailleurs, mais que ces tentatives de déplacement (techniques, géographiques et temporels) étaient vouées à l'échec.
Kohei Saito aspire à un post-capitalisme, à la démarchandisation progressive, à une démocratie au-delà des murs législatifs et dans le domaine de la production, et surtout à l'expansion graduelle des communs pour multiplier les espaces de liberté anticapitalistes. S'éloigner de la force organisatrice du capital pour éviter la fin de l'histoire et choisir le chemin de l'autolimitation sont pour lui des actes révolutionnaires.
En plus d'être l'auteur d'un best-seller international, vendu à 500 000 exemplaires au bout de quelques mois, Kohei Saito est un jeune philosophe convaincant et un chercheur qui assume sa responsabilité sociale. Il écrit à la première personne et croit en ses lecteurs.« Le capital vise une multiplication infinie de la valeur, mais la Terre est un espace fini. »
En s'appuyant sur les carnets tardifs inédits de Marx et en voyant dans le pacte vert le nouvel opium des masses, Kohei Saito constate le désastre social et écologique du capitalisme, dénonce le mode de vie des pays développés fondé sur l'expropriation des ressources et de l'énergie du Sud global et prône une société basée sur les communs. Il associe deux termes apparemment incompatibles, la décroissance et le communisme, pour proposer une solution politique et civilisationnelle : le communisme décroissant.
Il redéfinit ainsi le communisme comme une forme d'association, très différent de la révolution prolétarienne, et met en lumière de nouveaux aspects de la pensée de Marx, en sommeil depuis plus de 150 ans. Marx soulignait en effet que le capitalisme invisibilisait ses propres contradictions en les déplaçant ailleurs, mais que ces tentatives de déplacement (techniques, géographiques et temporels) étaient vouées à l'échec.
Kohei Saito aspire à un post-capitalisme, à la démarchandisation progressive, à une démocratie au-delà des murs législatifs et dans le domaine de la production, et surtout à l'expansion graduelle des communs pour multiplier les espaces de liberté anticapitalistes. S'éloigner de la force organisatrice du capital pour éviter la fin de l'histoire et choisir le chemin de l'autolimitation sont pour lui des actes révolutionnaires.
En plus d'être l'auteur d'un best-seller international, vendu à 500 000 exemplaires au bout de quelques mois, Kohei Saito est un jeune philosophe convaincant et un chercheur qui assume sa responsabilité sociale. Il écrit à la première personne et croit en ses lecteurs.« Le capital vise une multiplication infinie de la valeur, mais la Terre est un espace fini. »