Moi, Stéphanie, fille distilbène
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- Nombre de pages176
- FormatePub
- ISBN978-2-7540-2183-8
- EAN9782754021838
- Date de parution28/10/2010
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurFirst
Résumé
Ne pas avoir ses règles à 15 ans, c’est gênant. À 17, c’est pesant. À 19, c’est inquiétant. C’est pourquoi Stéphanie décide un jour de consulter pour comprendre et presser un peu cette puberté tardive. Mais le diagnostic est sans appel : elle souffre d’une grave malformation de l’utérus. Le col ne s’est jamais formé.Pourrais-je avoir des enfants ?On n’ose pas lui répondre que non. Ce sera difficile, lui dit-on. Pendant dix ans, Stéphanie fait tout ce qui est en son pouvoir, consultant de grands professeurs et subissant toutes les opérations nécessaires, même les plus douloureuses.
Lorsqu’elle épouse Damien, le couple redouble d’efforts : piqûres, traitements, fécondationsin vitro, procréations médicalement assistées, inséminations artificielles à répétition. En vain. Stéphanie continue pourtant de penser qu’il n’y a pas de raison qu’elle ne devienne pas mère. C’est en feuilletant un magazine féminin que la vérité lui est dévoilée. Son désespoir prend la forme d’un article consacré aux ravages du Distilbène.
Stéphanie n’a jamais entendu parler de cette hormone de synthèse prescrite aux femmes enceintes de 1950 à 1977 permettant de limiter les fausses couches, molécule qui aurait rendu toute une génération d’hommes et de femmes stériles. Pourtant, sa mère en a pris, sans connaître les risques du traitement. Se résigner ? Certainement pas ! Stéphanie fait des recherches et découvre que, si la question est taboue, 160 000 personnes seraient concernées.
Elle décide alors de créer une association et s’étonne de voir rapidement les membres affluer. Le combat ne fait que commencer…
Lorsqu’elle épouse Damien, le couple redouble d’efforts : piqûres, traitements, fécondationsin vitro, procréations médicalement assistées, inséminations artificielles à répétition. En vain. Stéphanie continue pourtant de penser qu’il n’y a pas de raison qu’elle ne devienne pas mère. C’est en feuilletant un magazine féminin que la vérité lui est dévoilée. Son désespoir prend la forme d’un article consacré aux ravages du Distilbène.
Stéphanie n’a jamais entendu parler de cette hormone de synthèse prescrite aux femmes enceintes de 1950 à 1977 permettant de limiter les fausses couches, molécule qui aurait rendu toute une génération d’hommes et de femmes stériles. Pourtant, sa mère en a pris, sans connaître les risques du traitement. Se résigner ? Certainement pas ! Stéphanie fait des recherches et découvre que, si la question est taboue, 160 000 personnes seraient concernées.
Elle décide alors de créer une association et s’étonne de voir rapidement les membres affluer. Le combat ne fait que commencer…
Ne pas avoir ses règles à 15 ans, c’est gênant. À 17, c’est pesant. À 19, c’est inquiétant. C’est pourquoi Stéphanie décide un jour de consulter pour comprendre et presser un peu cette puberté tardive. Mais le diagnostic est sans appel : elle souffre d’une grave malformation de l’utérus. Le col ne s’est jamais formé.Pourrais-je avoir des enfants ?On n’ose pas lui répondre que non. Ce sera difficile, lui dit-on. Pendant dix ans, Stéphanie fait tout ce qui est en son pouvoir, consultant de grands professeurs et subissant toutes les opérations nécessaires, même les plus douloureuses.
Lorsqu’elle épouse Damien, le couple redouble d’efforts : piqûres, traitements, fécondationsin vitro, procréations médicalement assistées, inséminations artificielles à répétition. En vain. Stéphanie continue pourtant de penser qu’il n’y a pas de raison qu’elle ne devienne pas mère. C’est en feuilletant un magazine féminin que la vérité lui est dévoilée. Son désespoir prend la forme d’un article consacré aux ravages du Distilbène.
Stéphanie n’a jamais entendu parler de cette hormone de synthèse prescrite aux femmes enceintes de 1950 à 1977 permettant de limiter les fausses couches, molécule qui aurait rendu toute une génération d’hommes et de femmes stériles. Pourtant, sa mère en a pris, sans connaître les risques du traitement. Se résigner ? Certainement pas ! Stéphanie fait des recherches et découvre que, si la question est taboue, 160 000 personnes seraient concernées.
Elle décide alors de créer une association et s’étonne de voir rapidement les membres affluer. Le combat ne fait que commencer…
Lorsqu’elle épouse Damien, le couple redouble d’efforts : piqûres, traitements, fécondationsin vitro, procréations médicalement assistées, inséminations artificielles à répétition. En vain. Stéphanie continue pourtant de penser qu’il n’y a pas de raison qu’elle ne devienne pas mère. C’est en feuilletant un magazine féminin que la vérité lui est dévoilée. Son désespoir prend la forme d’un article consacré aux ravages du Distilbène.
Stéphanie n’a jamais entendu parler de cette hormone de synthèse prescrite aux femmes enceintes de 1950 à 1977 permettant de limiter les fausses couches, molécule qui aurait rendu toute une génération d’hommes et de femmes stériles. Pourtant, sa mère en a pris, sans connaître les risques du traitement. Se résigner ? Certainement pas ! Stéphanie fait des recherches et découvre que, si la question est taboue, 160 000 personnes seraient concernées.
Elle décide alors de créer une association et s’étonne de voir rapidement les membres affluer. Le combat ne fait que commencer…