Moi qui suis né trop tard

Par : Marcel Schneider
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages306
  • FormatePub
  • ISBN2-246-71579-2
  • EAN9782246715795
  • Date de parution11/10/2006
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille535 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurGrasset

Résumé

Dans ce recueil d?essais et de réflexions, Marcel Schneider revient sur un certain nombre de thèmes qui lui sont chers. ?« J?ai toujours su, écrit-il, que je ne trouverai pas ma place dans ce qu?on appelle le monde réel, parce que pour y tenir une place, si humble soit-elle, il faut y croire. Je n?y crois pas. Je fais semblant d?y croire, je porte un masque pour me rendre pareil à mes concitoyens.
J?ai été professeur, chroniqueur musical, journaliste littéraire et écrivain. Cela me tient lieu de pièces d?identité, mais cela n?a rien à voir avec la vérité de mon être. La mondanité m?a servi d?écran protecteur. » Cet autoportrait dit en quelques mots la vérité d?une âme. ?Viennent ensuite, dans un désordre qui n?est qu?apparent, des souvenirs sur le prince Pierre de Monaco ou sur Marie-Laure de Noailles, Malaparte à Royaumont, Liliane de Rotschild, mais aussi de courts essais et méditations, sur la musique, Racine, Schubert, le fantastique, la Foi, la peinture des Vanités, la mort et le memento mori.
Le tout est tissé d?anecdotes, de traits tantôt plaisants et tantôt graves. Dans le registre plaisant, le mot de la grand-mère de Marie-Laure de Noailles, la comtesse de Chevigné, qui n?aimait pas l?auteur de la Recherche, sur « les dindonnades de Proust » - elle se servait de ses lettres pour estimer la température de son fer à friser. Il y a même, dans ces pages, mai 68, ce qui nous vaut l?habituel numéro du cher Marcel, réactionnaire et fier de l?être : « N?oubliez pas que je suis d?Ancien régime.
» ?On voit aussi passer la silhouette d?Yves Berger évoquant dans les jardins de la Villa Médicis l?âge des pins parasols. Marcel Schneider termine par une méditation sur « la mort inéluctable », qui débouche sur cette prière et sur une inquiétude déjà démentie par le courage qu?elle recèle : « Pourvu que je ne tremble pas trop, que les affres de l?agonie ne tirent pas de moi plus de râles et de cris qu?il est permis ! » ? ?
Dans ce recueil d?essais et de réflexions, Marcel Schneider revient sur un certain nombre de thèmes qui lui sont chers. ?« J?ai toujours su, écrit-il, que je ne trouverai pas ma place dans ce qu?on appelle le monde réel, parce que pour y tenir une place, si humble soit-elle, il faut y croire. Je n?y crois pas. Je fais semblant d?y croire, je porte un masque pour me rendre pareil à mes concitoyens.
J?ai été professeur, chroniqueur musical, journaliste littéraire et écrivain. Cela me tient lieu de pièces d?identité, mais cela n?a rien à voir avec la vérité de mon être. La mondanité m?a servi d?écran protecteur. » Cet autoportrait dit en quelques mots la vérité d?une âme. ?Viennent ensuite, dans un désordre qui n?est qu?apparent, des souvenirs sur le prince Pierre de Monaco ou sur Marie-Laure de Noailles, Malaparte à Royaumont, Liliane de Rotschild, mais aussi de courts essais et méditations, sur la musique, Racine, Schubert, le fantastique, la Foi, la peinture des Vanités, la mort et le memento mori.
Le tout est tissé d?anecdotes, de traits tantôt plaisants et tantôt graves. Dans le registre plaisant, le mot de la grand-mère de Marie-Laure de Noailles, la comtesse de Chevigné, qui n?aimait pas l?auteur de la Recherche, sur « les dindonnades de Proust » - elle se servait de ses lettres pour estimer la température de son fer à friser. Il y a même, dans ces pages, mai 68, ce qui nous vaut l?habituel numéro du cher Marcel, réactionnaire et fier de l?être : « N?oubliez pas que je suis d?Ancien régime.
» ?On voit aussi passer la silhouette d?Yves Berger évoquant dans les jardins de la Villa Médicis l?âge des pins parasols. Marcel Schneider termine par une méditation sur « la mort inéluctable », qui débouche sur cette prière et sur une inquiétude déjà démentie par le courage qu?elle recèle : « Pourvu que je ne tremble pas trop, que les affres de l?agonie ne tirent pas de moi plus de râles et de cris qu?il est permis ! » ? ?
Le Prince de la terre
Marcel Schneider
E-book
5,49 €
Un été sur le lac
Marcel Schneider
E-book
9,99 €
L'éternité fragile T01
Marcel Schneider
E-book
9,99 €
Divinités du Styx
Marcel Schneider
E-book
5,99 €
Le jeu de l'oie
Marcel Schneider
E-book
5,99 €
Déjà la neige
Marcel Schneider
E-book
7,49 €
La fin du carnaval
Marcel Schneider
E-book
9,99 €
Opéra-massacre
Marcel Schneider
E-book
4,49 €
Sur une étoile
Marcel Schneider
E-book
4,49 €
La lumière du Nord
Marcel Schneider
E-book
6,49 €
Mère merveille
Marcel Schneider
E-book
7,99 €
Histoires à mourir debout
Marcel Schneider
E-book
8,49 €
Les colonnes du temple
Marcel Schneider
E-book
7,49 €
Le lieutenant perdu
Marcel Schneider
E-book
4,49 €
Entre deux vanités
Marcel Schneider
E-book
7,49 €
La sibylle de Cumes
Marcel Schneider
E-book
4,49 €