Minus. La petite enfance en Grèce et à Rome

Par : Charles Senard, Louise de Courcel
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  • Nombre de pages394
  • FormatePub
  • ISBN978-2-251-91062-8
  • EAN9782251910628
  • Date de parution11/01/2019
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLes Belles Lettres
  • Personne interviewéeDiane Drory

Résumé

Précédé d'un entretien avec Diane Drory Petit, mignon, rieur, pendu au cou de ses parents attendris, avide de câlins et de baisers, absorbé dans des jeux infinis. Le petit enfant, qu'évoquent les cent soixante textes de poètes, médecins, historiens et philosophes grecs et latins ici recueillis, nous rend l'Antiquité singulièrement proche et attachante. Tout n'était pas toujours facile pour autant : « les enfants donnent bien du mal », comme le constatait Homère.
Après les mois d'attente d'une grossesse parfois inconfortable et avant l'entrée à l'école du jeune enfant, il aura fallu tant de fois l'allaiter, lui donner des bains (tièdes), l'emmailloter, le changer et laver ses langes, apaiser ses pleurs et ses colères ; puis lui apprendre à parler, bientôt à lire et à écrire, tout cela sous la menace constante de maladies mal comprises et de divinités dont il convenait de se concilier les bonnes grâces.
Précédé d'un entretien avec Diane Drory Petit, mignon, rieur, pendu au cou de ses parents attendris, avide de câlins et de baisers, absorbé dans des jeux infinis. Le petit enfant, qu'évoquent les cent soixante textes de poètes, médecins, historiens et philosophes grecs et latins ici recueillis, nous rend l'Antiquité singulièrement proche et attachante. Tout n'était pas toujours facile pour autant : « les enfants donnent bien du mal », comme le constatait Homère.
Après les mois d'attente d'une grossesse parfois inconfortable et avant l'entrée à l'école du jeune enfant, il aura fallu tant de fois l'allaiter, lui donner des bains (tièdes), l'emmailloter, le changer et laver ses langes, apaiser ses pleurs et ses colères ; puis lui apprendre à parler, bientôt à lire et à écrire, tout cela sous la menace constante de maladies mal comprises et de divinités dont il convenait de se concilier les bonnes grâces.