Mines et fonderies antiques de la Gaule. Table ronde du CNRS, Université Toulouse - le - Mirail, 21 - 22 novembre 1980
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- Nombre de pages324
- FormatPDF
- ISBN2-271-10127-1
- EAN9782271101273
- Date de parution01/01/1982
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille138 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurCNRS Éditions (réédition numériq...
Résumé
La table ronde dont ce volume constitue les Actes, était la première rencontre des chercheurs qui, quelle que ce soit leur spécialité, s'intéressent au problème des mines et de la production des métaux dans l'ancienne Gaule. Les articles que contient l'ouvrage sont, très souvent, le fruit de la collaboration d'archéologues, géologues, historiens, physiciens. Ils illustrent ainsi la conjonction des services et des techniques qu'exigent l'histoire et l'archéologie minières.
Ils indiquent les directions dans lesquelles, tout en poursuivant une tradition déjà ancienne, s'engage aujourd'hui la recherche en ce domaine. Ils montrent la nécessité des inventaires régionaux et nationaux, à la fois pour mieux savoir où étaient alors produits l'or, l'argent, le plomb, le fer, l'étain, le cuivre et pour pouvoir protéger les sites. Ils invitent à mieux intégrer l'étude de l'activité minière et métallurgique dans celle de la vie et de la culture des sociétés anciennes.
Ils témoignent d'un intérêt grandissant pour tout ce qui touche à la production du fer dans l'Antiquité, pour la connaissance des techniques utilisées avant l'adoption du procédé indirect, pour l'exploration et la conservation de ces gigantesques « ferriers », qu'une telle industrie a laissés sur le sol de la France, mais dont beaucoup ont, hélas, aujourd'hui disparu. Enfin, on n'oubliera pas que les « vieux travaux » miniers sont, souvent, le meilleur des guides pour qui tente de découvrir les richesses métalliques du sous-sol, si bien qu'un tel recueil intéressera aussi bien le mineur et le prospecteur, que les spécialistes de l'antiquité.
Ils indiquent les directions dans lesquelles, tout en poursuivant une tradition déjà ancienne, s'engage aujourd'hui la recherche en ce domaine. Ils montrent la nécessité des inventaires régionaux et nationaux, à la fois pour mieux savoir où étaient alors produits l'or, l'argent, le plomb, le fer, l'étain, le cuivre et pour pouvoir protéger les sites. Ils invitent à mieux intégrer l'étude de l'activité minière et métallurgique dans celle de la vie et de la culture des sociétés anciennes.
Ils témoignent d'un intérêt grandissant pour tout ce qui touche à la production du fer dans l'Antiquité, pour la connaissance des techniques utilisées avant l'adoption du procédé indirect, pour l'exploration et la conservation de ces gigantesques « ferriers », qu'une telle industrie a laissés sur le sol de la France, mais dont beaucoup ont, hélas, aujourd'hui disparu. Enfin, on n'oubliera pas que les « vieux travaux » miniers sont, souvent, le meilleur des guides pour qui tente de découvrir les richesses métalliques du sous-sol, si bien qu'un tel recueil intéressera aussi bien le mineur et le prospecteur, que les spécialistes de l'antiquité.
La table ronde dont ce volume constitue les Actes, était la première rencontre des chercheurs qui, quelle que ce soit leur spécialité, s'intéressent au problème des mines et de la production des métaux dans l'ancienne Gaule. Les articles que contient l'ouvrage sont, très souvent, le fruit de la collaboration d'archéologues, géologues, historiens, physiciens. Ils illustrent ainsi la conjonction des services et des techniques qu'exigent l'histoire et l'archéologie minières.
Ils indiquent les directions dans lesquelles, tout en poursuivant une tradition déjà ancienne, s'engage aujourd'hui la recherche en ce domaine. Ils montrent la nécessité des inventaires régionaux et nationaux, à la fois pour mieux savoir où étaient alors produits l'or, l'argent, le plomb, le fer, l'étain, le cuivre et pour pouvoir protéger les sites. Ils invitent à mieux intégrer l'étude de l'activité minière et métallurgique dans celle de la vie et de la culture des sociétés anciennes.
Ils témoignent d'un intérêt grandissant pour tout ce qui touche à la production du fer dans l'Antiquité, pour la connaissance des techniques utilisées avant l'adoption du procédé indirect, pour l'exploration et la conservation de ces gigantesques « ferriers », qu'une telle industrie a laissés sur le sol de la France, mais dont beaucoup ont, hélas, aujourd'hui disparu. Enfin, on n'oubliera pas que les « vieux travaux » miniers sont, souvent, le meilleur des guides pour qui tente de découvrir les richesses métalliques du sous-sol, si bien qu'un tel recueil intéressera aussi bien le mineur et le prospecteur, que les spécialistes de l'antiquité.
Ils indiquent les directions dans lesquelles, tout en poursuivant une tradition déjà ancienne, s'engage aujourd'hui la recherche en ce domaine. Ils montrent la nécessité des inventaires régionaux et nationaux, à la fois pour mieux savoir où étaient alors produits l'or, l'argent, le plomb, le fer, l'étain, le cuivre et pour pouvoir protéger les sites. Ils invitent à mieux intégrer l'étude de l'activité minière et métallurgique dans celle de la vie et de la culture des sociétés anciennes.
Ils témoignent d'un intérêt grandissant pour tout ce qui touche à la production du fer dans l'Antiquité, pour la connaissance des techniques utilisées avant l'adoption du procédé indirect, pour l'exploration et la conservation de ces gigantesques « ferriers », qu'une telle industrie a laissés sur le sol de la France, mais dont beaucoup ont, hélas, aujourd'hui disparu. Enfin, on n'oubliera pas que les « vieux travaux » miniers sont, souvent, le meilleur des guides pour qui tente de découvrir les richesses métalliques du sous-sol, si bien qu'un tel recueil intéressera aussi bien le mineur et le prospecteur, que les spécialistes de l'antiquité.