Nouveauté
Mil neuf cent quatre-vingt-dix
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- Nombre de pages56
- FormatePub
- ISBN978-2-37918-748-3
- EAN9782379187483
- Date de parution23/05/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille287 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurNENA
Résumé
Oui, la poésie d'Henri Michel Yéré est de l'audace et de la toison des textes accomplis, cette poésie qui possède la verve et le front des mythes fondateurs, cette poésie qui « déroule sa langue en tapis vers l'éternité. » Il y a ici cette calme assurance de la mémoire, ce dire contenu du temps qui se sait à l'abri de la précarité et de l'angoisse. Se noue alors le jeu de pôles contraires qui, justement, se jaugent, se toisent et s'étreignent dans le silence alors dompté de leur antinomie : le caillou, dit le poète « qui défie le soleil » et le « long fleuve en crue » portant la marche des combattants de la liberté (.).
Dans les Afriques qui voient naître la démocratie, les Afriques et les mondes de Mil Neuf Cent Quatre-Vingt- Dix, les suppliciés ne manquent pas. Et si les causes différent, la mort est partout la même. Abrupte. Abjecte. Oublieuse. Contre elle, Henri Michel Yéré - poète de la conscience mémorielle - élève la stèle d'un chant qui refuse le silence de la pierre tombale. Au temps qui meurt, Yéré oppose la parole qui demeure (.).
Mil Neuf Cent Quatre-Vingt-Dix est d'abord saillie souveraine d'une parole qui s'affirme sauve de toute subordination.
Dans les Afriques qui voient naître la démocratie, les Afriques et les mondes de Mil Neuf Cent Quatre-Vingt- Dix, les suppliciés ne manquent pas. Et si les causes différent, la mort est partout la même. Abrupte. Abjecte. Oublieuse. Contre elle, Henri Michel Yéré - poète de la conscience mémorielle - élève la stèle d'un chant qui refuse le silence de la pierre tombale. Au temps qui meurt, Yéré oppose la parole qui demeure (.).
Mil Neuf Cent Quatre-Vingt-Dix est d'abord saillie souveraine d'une parole qui s'affirme sauve de toute subordination.
Oui, la poésie d'Henri Michel Yéré est de l'audace et de la toison des textes accomplis, cette poésie qui possède la verve et le front des mythes fondateurs, cette poésie qui « déroule sa langue en tapis vers l'éternité. » Il y a ici cette calme assurance de la mémoire, ce dire contenu du temps qui se sait à l'abri de la précarité et de l'angoisse. Se noue alors le jeu de pôles contraires qui, justement, se jaugent, se toisent et s'étreignent dans le silence alors dompté de leur antinomie : le caillou, dit le poète « qui défie le soleil » et le « long fleuve en crue » portant la marche des combattants de la liberté (.).
Dans les Afriques qui voient naître la démocratie, les Afriques et les mondes de Mil Neuf Cent Quatre-Vingt- Dix, les suppliciés ne manquent pas. Et si les causes différent, la mort est partout la même. Abrupte. Abjecte. Oublieuse. Contre elle, Henri Michel Yéré - poète de la conscience mémorielle - élève la stèle d'un chant qui refuse le silence de la pierre tombale. Au temps qui meurt, Yéré oppose la parole qui demeure (.).
Mil Neuf Cent Quatre-Vingt-Dix est d'abord saillie souveraine d'une parole qui s'affirme sauve de toute subordination.
Dans les Afriques qui voient naître la démocratie, les Afriques et les mondes de Mil Neuf Cent Quatre-Vingt- Dix, les suppliciés ne manquent pas. Et si les causes différent, la mort est partout la même. Abrupte. Abjecte. Oublieuse. Contre elle, Henri Michel Yéré - poète de la conscience mémorielle - élève la stèle d'un chant qui refuse le silence de la pierre tombale. Au temps qui meurt, Yéré oppose la parole qui demeure (.).
Mil Neuf Cent Quatre-Vingt-Dix est d'abord saillie souveraine d'une parole qui s'affirme sauve de toute subordination.