Mihailovic entre révolution et restauration. Yougoslavie 1941-1946
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- Nombre de pages282
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-21948-9
- EAN9782296219489
- Date de parution01/04/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
« La Deuxième Guerre mondiale en Yougoslavie est une des matrices dans lesquelles on peut cerner bon nombre d'enjeux qui réapparaîtront un demi-siècle plus tard (...) L'étude que propose Roland Vasic n'entend pas éclairer l'ensemble de cette problématique, mais un de ses aspects importants concernant essentiellement le volet serbe de l'histoire. », - estime Bernard Lory dans sa préface. Dragoljub - dit Draa - Mihailovic et l'organisation qu'il fonde, en mai 1941, sont d'abord vantés à Londres et aux Etats-Unis, mais aussi à Moscou, comme exemplaires d'une résistance active et ouverte à la domination hitlérienne.
On a pu parler, en prenant en compte les insurrections populaires de diverses régions yougoslaves, à l'été et l'automne 1941, de première guérilla de résistance en Europe occupée. Mihailovic est notamment élu « homme de l'année » par le magazine américain Time, en décembre 1942. On sait que c'est le mouvement communiste et Tito qui prennent les rênes du pouvoir en Yougoslavie au sortir de la guerre.
Que se passe-t-il entre-temps ? Qu'est-ce qui soutient la volonté initiale de Mihailovic de poursuivre la guerre ? La « question politique » s'est-elle effacée quand il s'est agi de s'opposer à l'occupation du pays puis d'oeuvrer à sa libération ? « Unité nationale ou non, Grande Serbie ou nouvelle Yougoslavie, indépendance ou alignement à l'égard des Puissances, restauration ou révolution », autant de dilemmes et de choix auxquels est confronté ce colonel francophile, qui refuse tout d'abord la capitulation de son pays.
On a pu parler, en prenant en compte les insurrections populaires de diverses régions yougoslaves, à l'été et l'automne 1941, de première guérilla de résistance en Europe occupée. Mihailovic est notamment élu « homme de l'année » par le magazine américain Time, en décembre 1942. On sait que c'est le mouvement communiste et Tito qui prennent les rênes du pouvoir en Yougoslavie au sortir de la guerre.
Que se passe-t-il entre-temps ? Qu'est-ce qui soutient la volonté initiale de Mihailovic de poursuivre la guerre ? La « question politique » s'est-elle effacée quand il s'est agi de s'opposer à l'occupation du pays puis d'oeuvrer à sa libération ? « Unité nationale ou non, Grande Serbie ou nouvelle Yougoslavie, indépendance ou alignement à l'égard des Puissances, restauration ou révolution », autant de dilemmes et de choix auxquels est confronté ce colonel francophile, qui refuse tout d'abord la capitulation de son pays.
« La Deuxième Guerre mondiale en Yougoslavie est une des matrices dans lesquelles on peut cerner bon nombre d'enjeux qui réapparaîtront un demi-siècle plus tard (...) L'étude que propose Roland Vasic n'entend pas éclairer l'ensemble de cette problématique, mais un de ses aspects importants concernant essentiellement le volet serbe de l'histoire. », - estime Bernard Lory dans sa préface. Dragoljub - dit Draa - Mihailovic et l'organisation qu'il fonde, en mai 1941, sont d'abord vantés à Londres et aux Etats-Unis, mais aussi à Moscou, comme exemplaires d'une résistance active et ouverte à la domination hitlérienne.
On a pu parler, en prenant en compte les insurrections populaires de diverses régions yougoslaves, à l'été et l'automne 1941, de première guérilla de résistance en Europe occupée. Mihailovic est notamment élu « homme de l'année » par le magazine américain Time, en décembre 1942. On sait que c'est le mouvement communiste et Tito qui prennent les rênes du pouvoir en Yougoslavie au sortir de la guerre.
Que se passe-t-il entre-temps ? Qu'est-ce qui soutient la volonté initiale de Mihailovic de poursuivre la guerre ? La « question politique » s'est-elle effacée quand il s'est agi de s'opposer à l'occupation du pays puis d'oeuvrer à sa libération ? « Unité nationale ou non, Grande Serbie ou nouvelle Yougoslavie, indépendance ou alignement à l'égard des Puissances, restauration ou révolution », autant de dilemmes et de choix auxquels est confronté ce colonel francophile, qui refuse tout d'abord la capitulation de son pays.
On a pu parler, en prenant en compte les insurrections populaires de diverses régions yougoslaves, à l'été et l'automne 1941, de première guérilla de résistance en Europe occupée. Mihailovic est notamment élu « homme de l'année » par le magazine américain Time, en décembre 1942. On sait que c'est le mouvement communiste et Tito qui prennent les rênes du pouvoir en Yougoslavie au sortir de la guerre.
Que se passe-t-il entre-temps ? Qu'est-ce qui soutient la volonté initiale de Mihailovic de poursuivre la guerre ? La « question politique » s'est-elle effacée quand il s'est agi de s'opposer à l'occupation du pays puis d'oeuvrer à sa libération ? « Unité nationale ou non, Grande Serbie ou nouvelle Yougoslavie, indépendance ou alignement à l'égard des Puissances, restauration ou révolution », autant de dilemmes et de choix auxquels est confronté ce colonel francophile, qui refuse tout d'abord la capitulation de son pays.