Michel Leiris, Marcel Jouhandeau. Correspondance (1923-1977)

Par : Michel Leiris, Marcel Jouhandeau

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  • Nombre de pages288
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-07-284799-8
  • EAN9782072847998
  • Date de parution21/01/2021
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille2 Mo
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurEditions Gallimard
  • PréfacierDenis Hollier
  • Directeur de publicationLouis Yvert

Résumé

Cette courte correspondance inédite et inattendue entre Michel Leiris et Marcel Jouhandeau (94 lettres) s'étale de 1923 à 1977 ; l'essentiel des lettres occupant les années vingt et trente. Elle révèle une relation peu connue entre les deux grands écrivains. Les deux hommes se sont rencontrés en 1923 dans l'appartement d'André Masson où Max Jacob, qui donne des conseils poétiques au jeune Leiris (22 ans), emmène son ami Jouhandeau (35 ans).
Dans la nuit du 26 au 27 mars 1924, épris d'alcool et de lyrisme, ils vivront une union « mystique » qui se traduira concrètement par une relation homosexuelle. Assez rapidement, Leiris comprend que Jouhandeau est amoureux de lui et replace leur relation en termes d'amitié. Leiris admire Monsieur Godeau intime qui vient de paraître en revue et envoie des poèmes que Jouhandeau juge trop influencés par Mallarmé.
Jouhandeau se confie sur l'espérance, la foi et l'amour et revient sur le « merveilleux » de leur rencontre. Tandis que Jouhandeau vit une relation orageuse avec sa femme Élise dite Caryathis, Leiris trouve un emploi comme secrétaire à la revue Documents de Georges Bataille. En 1936, Jouhandeau se sent blessé par les extraits sibyllins de l'Age d'homme qui le concernent, mais quelques temps plus tard c'est Leiris qui rompt à cause de la profession de foi antisémite de Jouhandeau dans l' Action française.
Ils renouent en 1937, « l'amitié sous la cendre » n'est pas morte, écrit Jouhandeau. En 1940, Leiris est mobilisé en Algérie et donne des nouvelles. Suite à une rupture plus grave avec la guerre, la correspondance s'interrompt jusqu'en 1966. Malgré tout, le souvenir et l'affection demeurent, les deux hommes échangent une dizaine de lettres entre 66 et 77. Édition établie par Denis Hollier et Louis YvertPréface de Denis Hollier.
Cette courte correspondance inédite et inattendue entre Michel Leiris et Marcel Jouhandeau (94 lettres) s'étale de 1923 à 1977 ; l'essentiel des lettres occupant les années vingt et trente. Elle révèle une relation peu connue entre les deux grands écrivains. Les deux hommes se sont rencontrés en 1923 dans l'appartement d'André Masson où Max Jacob, qui donne des conseils poétiques au jeune Leiris (22 ans), emmène son ami Jouhandeau (35 ans).
Dans la nuit du 26 au 27 mars 1924, épris d'alcool et de lyrisme, ils vivront une union « mystique » qui se traduira concrètement par une relation homosexuelle. Assez rapidement, Leiris comprend que Jouhandeau est amoureux de lui et replace leur relation en termes d'amitié. Leiris admire Monsieur Godeau intime qui vient de paraître en revue et envoie des poèmes que Jouhandeau juge trop influencés par Mallarmé.
Jouhandeau se confie sur l'espérance, la foi et l'amour et revient sur le « merveilleux » de leur rencontre. Tandis que Jouhandeau vit une relation orageuse avec sa femme Élise dite Caryathis, Leiris trouve un emploi comme secrétaire à la revue Documents de Georges Bataille. En 1936, Jouhandeau se sent blessé par les extraits sibyllins de l'Age d'homme qui le concernent, mais quelques temps plus tard c'est Leiris qui rompt à cause de la profession de foi antisémite de Jouhandeau dans l' Action française.
Ils renouent en 1937, « l'amitié sous la cendre » n'est pas morte, écrit Jouhandeau. En 1940, Leiris est mobilisé en Algérie et donne des nouvelles. Suite à une rupture plus grave avec la guerre, la correspondance s'interrompt jusqu'en 1966. Malgré tout, le souvenir et l'affection demeurent, les deux hommes échangent une dizaine de lettres entre 66 et 77. Édition établie par Denis Hollier et Louis YvertPréface de Denis Hollier.
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