Mettre à l’épreuve l’acceptabilité sociale. Partie 1
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-924372-34-0
- EAN9782924372340
- Date de parution30/05/2016
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurLes Éditions en environnement Ve...
Résumé
Alors même que nombre d'acteurs institutionnels et opérationnels la considèrent comme un allant de soi, la notion d'acceptabilité sociale suscite a minima de l'embarras parmi les chercheurs. Cet embarras paraît légitime à propos d'une notion comportant une forte charge normative et par ailleurs encore très peu stabilisée dans le champ scientifique.
Cet embarras place les chercheurs face à un dilemme.
Soit ils rejettent la notion pour créer des termes alternatifs, au risque alors que ces derniers soient repris pour renommer des pratiques ayant elles, peu évolué. Soit ils s'approprient l'expression portée par les acteurs opérationnels et institutionnels, mais tentent alors d'en changer le sens en proposant des définitions, en précisant des cadres d'analyse; ce faisant, ils préservent l'expression a minima comme « mot de passe » leur permettant, entre-autres, d'ouvrir un dialogue avec ces acteurs, ainsi qu'avec les autres disciplines. Pour cette publication de [VertigO], nous avons choisi d'affronter l'embarras que provoque cette notion d'acceptabilité sociale en la mettant à l'épreuve.
Nous proposons de faire le point sur ce que recouvre « l'acceptabilité sociale » (conceptions, approches) pour en saisir toutes les implications (analytiques, politiques), afin, d'une part, d'offrir des repères sur les discours et pratiques menées en son nom, et d'autre part, de comprendre sur quoi reposent les critiques qui la remette en cause.
Soit ils rejettent la notion pour créer des termes alternatifs, au risque alors que ces derniers soient repris pour renommer des pratiques ayant elles, peu évolué. Soit ils s'approprient l'expression portée par les acteurs opérationnels et institutionnels, mais tentent alors d'en changer le sens en proposant des définitions, en précisant des cadres d'analyse; ce faisant, ils préservent l'expression a minima comme « mot de passe » leur permettant, entre-autres, d'ouvrir un dialogue avec ces acteurs, ainsi qu'avec les autres disciplines. Pour cette publication de [VertigO], nous avons choisi d'affronter l'embarras que provoque cette notion d'acceptabilité sociale en la mettant à l'épreuve.
Nous proposons de faire le point sur ce que recouvre « l'acceptabilité sociale » (conceptions, approches) pour en saisir toutes les implications (analytiques, politiques), afin, d'une part, d'offrir des repères sur les discours et pratiques menées en son nom, et d'autre part, de comprendre sur quoi reposent les critiques qui la remette en cause.
Alors même que nombre d'acteurs institutionnels et opérationnels la considèrent comme un allant de soi, la notion d'acceptabilité sociale suscite a minima de l'embarras parmi les chercheurs. Cet embarras paraît légitime à propos d'une notion comportant une forte charge normative et par ailleurs encore très peu stabilisée dans le champ scientifique.
Cet embarras place les chercheurs face à un dilemme.
Soit ils rejettent la notion pour créer des termes alternatifs, au risque alors que ces derniers soient repris pour renommer des pratiques ayant elles, peu évolué. Soit ils s'approprient l'expression portée par les acteurs opérationnels et institutionnels, mais tentent alors d'en changer le sens en proposant des définitions, en précisant des cadres d'analyse; ce faisant, ils préservent l'expression a minima comme « mot de passe » leur permettant, entre-autres, d'ouvrir un dialogue avec ces acteurs, ainsi qu'avec les autres disciplines. Pour cette publication de [VertigO], nous avons choisi d'affronter l'embarras que provoque cette notion d'acceptabilité sociale en la mettant à l'épreuve.
Nous proposons de faire le point sur ce que recouvre « l'acceptabilité sociale » (conceptions, approches) pour en saisir toutes les implications (analytiques, politiques), afin, d'une part, d'offrir des repères sur les discours et pratiques menées en son nom, et d'autre part, de comprendre sur quoi reposent les critiques qui la remette en cause.
Soit ils rejettent la notion pour créer des termes alternatifs, au risque alors que ces derniers soient repris pour renommer des pratiques ayant elles, peu évolué. Soit ils s'approprient l'expression portée par les acteurs opérationnels et institutionnels, mais tentent alors d'en changer le sens en proposant des définitions, en précisant des cadres d'analyse; ce faisant, ils préservent l'expression a minima comme « mot de passe » leur permettant, entre-autres, d'ouvrir un dialogue avec ces acteurs, ainsi qu'avec les autres disciplines. Pour cette publication de [VertigO], nous avons choisi d'affronter l'embarras que provoque cette notion d'acceptabilité sociale en la mettant à l'épreuve.
Nous proposons de faire le point sur ce que recouvre « l'acceptabilité sociale » (conceptions, approches) pour en saisir toutes les implications (analytiques, politiques), afin, d'une part, d'offrir des repères sur les discours et pratiques menées en son nom, et d'autre part, de comprendre sur quoi reposent les critiques qui la remette en cause.