Métastase. Pietro Trapassi, musicien du verbe
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- Nombre de pages378
- FormatPDF
- ISBN978-2-7056-7582-0
- EAN9782705675820
- Date de parution06/06/2008
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Pietro Trapassi, dit Metastasio (1698-1782), fut l'un des plus célèbres auteurs du XVIIIe siècle. Aujourd'hui, ce n'est guère que dans le milieu musical que l'on cite parfois son nom, associé à ceux des musiciens qui composèrent sur ses textes : Hasse, Haendel, Vivaldi, Jommelli, Pergolèse, Caldara, Gluck, mais aussi Mozart, Rossini, Beethoven, Schubert ou Gounod. Ami du célèbre castrat Farinelli et de la cantatrice La Romanina, Métastase amena l'art de l'opéra séria on disait alors melodramma à son apogée, à travers vingt-six livrets qui engendrèrent plus d'un millier d'ouvrages lyriques jusque dans les années 1830.
Mais, tout en destinant ses textes à la mise en musique, il se considérait avant tout comme un dramaturge, tentant de conférer au théâtre italien une dignité et une cohérence dignes de celles de son rival français, et à justifier cet art composite qu'est l'opéra par l'exemple antique. Il y parvint, si l'on en croit Stendhal (l'un de ses grands admirateurs, avec Rousseau, Voltaire ou Romain Rolland), qui n'hésita pas à écrire : « il a égalé Shakespeare et Virgile, et surpassé, de bien loin, Racine et tous les autres grands poètes ! ».
Issu de nombreuses années de recherches, ce livre retrace le parcours étonnant de cette figure historique, et propose, pour la première fois, une étude sur « les règles de fabrication » du livret d'opéra. Il est assorti d'un résumé des chacun des vingt-six drames étudiés.
Mais, tout en destinant ses textes à la mise en musique, il se considérait avant tout comme un dramaturge, tentant de conférer au théâtre italien une dignité et une cohérence dignes de celles de son rival français, et à justifier cet art composite qu'est l'opéra par l'exemple antique. Il y parvint, si l'on en croit Stendhal (l'un de ses grands admirateurs, avec Rousseau, Voltaire ou Romain Rolland), qui n'hésita pas à écrire : « il a égalé Shakespeare et Virgile, et surpassé, de bien loin, Racine et tous les autres grands poètes ! ».
Issu de nombreuses années de recherches, ce livre retrace le parcours étonnant de cette figure historique, et propose, pour la première fois, une étude sur « les règles de fabrication » du livret d'opéra. Il est assorti d'un résumé des chacun des vingt-six drames étudiés.
Pietro Trapassi, dit Metastasio (1698-1782), fut l'un des plus célèbres auteurs du XVIIIe siècle. Aujourd'hui, ce n'est guère que dans le milieu musical que l'on cite parfois son nom, associé à ceux des musiciens qui composèrent sur ses textes : Hasse, Haendel, Vivaldi, Jommelli, Pergolèse, Caldara, Gluck, mais aussi Mozart, Rossini, Beethoven, Schubert ou Gounod. Ami du célèbre castrat Farinelli et de la cantatrice La Romanina, Métastase amena l'art de l'opéra séria on disait alors melodramma à son apogée, à travers vingt-six livrets qui engendrèrent plus d'un millier d'ouvrages lyriques jusque dans les années 1830.
Mais, tout en destinant ses textes à la mise en musique, il se considérait avant tout comme un dramaturge, tentant de conférer au théâtre italien une dignité et une cohérence dignes de celles de son rival français, et à justifier cet art composite qu'est l'opéra par l'exemple antique. Il y parvint, si l'on en croit Stendhal (l'un de ses grands admirateurs, avec Rousseau, Voltaire ou Romain Rolland), qui n'hésita pas à écrire : « il a égalé Shakespeare et Virgile, et surpassé, de bien loin, Racine et tous les autres grands poètes ! ».
Issu de nombreuses années de recherches, ce livre retrace le parcours étonnant de cette figure historique, et propose, pour la première fois, une étude sur « les règles de fabrication » du livret d'opéra. Il est assorti d'un résumé des chacun des vingt-six drames étudiés.
Mais, tout en destinant ses textes à la mise en musique, il se considérait avant tout comme un dramaturge, tentant de conférer au théâtre italien une dignité et une cohérence dignes de celles de son rival français, et à justifier cet art composite qu'est l'opéra par l'exemple antique. Il y parvint, si l'on en croit Stendhal (l'un de ses grands admirateurs, avec Rousseau, Voltaire ou Romain Rolland), qui n'hésita pas à écrire : « il a égalé Shakespeare et Virgile, et surpassé, de bien loin, Racine et tous les autres grands poètes ! ».
Issu de nombreuses années de recherches, ce livre retrace le parcours étonnant de cette figure historique, et propose, pour la première fois, une étude sur « les règles de fabrication » du livret d'opéra. Il est assorti d'un résumé des chacun des vingt-six drames étudiés.