Métaphysique et psychologie (1890)
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- Nombre de pages136
- FormatPDF
- ISBN2-296-41720-5
- EAN9782296417205
- Date de parution01/11/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'ouvrage du philosophe et psychologue suisse Théodore Flournoy (1854-1920) est une sorte de commentaire, de développement à la portée de tous concernant la question des rapports entre le cerveau et l'esprit. Il montre que la psychologie doit renoncer à toutes les discussions métaphysiques si elle veut s'émanciper en tant que science car elle ne retirerait aucun profit à chercher à analyser comment l'âme agit sur le corps et le corps sur l'âme.
Flournoy montre que la psychologie scientifique s'appuie sur le principe de parallélisme psychophysique qui doit l'empêcher de tomber dans les abîmes de la métaphysique. Le principe de parallélisme psychophysique consiste dans l'affirmation que tout phénomène psychique a un concomitant physique déterminé, l'inverse n'est point supposé. L'objectif de la psychologie est donc de découvrir les lois du parallélisme en s'appuyant sur les observations psychologiques et sur les données physiologiques.
A ce principe de parallélisme est attaché l'axiome d'hétérogénéité selon lequel le corps et l'esprit, la conscience et le mouvement moléculaire cérébral, le fait psychique et le fait physique, tout en étant simultanés, sont disparates et irréductibles. Ce dualisme psychophysique s'en tient à la reconnaissance de deux catégories de phénomènes et ne s'inquiète pas des diverses hypothèses métaphysiques sur l'union de l'âme et du corps.
En examinant justement les différentes solutions qu'on a tâché de donner de l'union des phénomènes psychiques et physiques (spiritualisme, matérialisme, phénoménisme, monisme), il en montre les faiblesses. Sa critique est souvent juste, presque toujours vive, nette et précise. Nous reproduisons ici en fac simile l'édition originale (1890) du livre de Flournoy : Métaphysique et psychologie. Seule la lecture de ce petit ouvrage peut rendre hommage à son exceptionnelle qualité.
On n'a jamais vu des questions si obscures traitées d'une façon si lumineuse. Il est vrai que la lecture de ce livre constitue un véritable stimulant pour l'esprit que l'on peut continuer par celle des écrits de Bergson et de Binet avant d'aborder des auteurs plus récents qui se sont intéressés au thème des rapports entre le cerveau et l'esprit. Ce livre s'adresse aux philosophes, aux psychologues, aux savants et aux étudiants intéressés par la question des rapports entre le cerveau et l'esprit et qui recherchent un petit livre clair sur le sujet.
Flournoy montre que la psychologie scientifique s'appuie sur le principe de parallélisme psychophysique qui doit l'empêcher de tomber dans les abîmes de la métaphysique. Le principe de parallélisme psychophysique consiste dans l'affirmation que tout phénomène psychique a un concomitant physique déterminé, l'inverse n'est point supposé. L'objectif de la psychologie est donc de découvrir les lois du parallélisme en s'appuyant sur les observations psychologiques et sur les données physiologiques.
A ce principe de parallélisme est attaché l'axiome d'hétérogénéité selon lequel le corps et l'esprit, la conscience et le mouvement moléculaire cérébral, le fait psychique et le fait physique, tout en étant simultanés, sont disparates et irréductibles. Ce dualisme psychophysique s'en tient à la reconnaissance de deux catégories de phénomènes et ne s'inquiète pas des diverses hypothèses métaphysiques sur l'union de l'âme et du corps.
En examinant justement les différentes solutions qu'on a tâché de donner de l'union des phénomènes psychiques et physiques (spiritualisme, matérialisme, phénoménisme, monisme), il en montre les faiblesses. Sa critique est souvent juste, presque toujours vive, nette et précise. Nous reproduisons ici en fac simile l'édition originale (1890) du livre de Flournoy : Métaphysique et psychologie. Seule la lecture de ce petit ouvrage peut rendre hommage à son exceptionnelle qualité.
On n'a jamais vu des questions si obscures traitées d'une façon si lumineuse. Il est vrai que la lecture de ce livre constitue un véritable stimulant pour l'esprit que l'on peut continuer par celle des écrits de Bergson et de Binet avant d'aborder des auteurs plus récents qui se sont intéressés au thème des rapports entre le cerveau et l'esprit. Ce livre s'adresse aux philosophes, aux psychologues, aux savants et aux étudiants intéressés par la question des rapports entre le cerveau et l'esprit et qui recherchent un petit livre clair sur le sujet.
L'ouvrage du philosophe et psychologue suisse Théodore Flournoy (1854-1920) est une sorte de commentaire, de développement à la portée de tous concernant la question des rapports entre le cerveau et l'esprit. Il montre que la psychologie doit renoncer à toutes les discussions métaphysiques si elle veut s'émanciper en tant que science car elle ne retirerait aucun profit à chercher à analyser comment l'âme agit sur le corps et le corps sur l'âme.
Flournoy montre que la psychologie scientifique s'appuie sur le principe de parallélisme psychophysique qui doit l'empêcher de tomber dans les abîmes de la métaphysique. Le principe de parallélisme psychophysique consiste dans l'affirmation que tout phénomène psychique a un concomitant physique déterminé, l'inverse n'est point supposé. L'objectif de la psychologie est donc de découvrir les lois du parallélisme en s'appuyant sur les observations psychologiques et sur les données physiologiques.
A ce principe de parallélisme est attaché l'axiome d'hétérogénéité selon lequel le corps et l'esprit, la conscience et le mouvement moléculaire cérébral, le fait psychique et le fait physique, tout en étant simultanés, sont disparates et irréductibles. Ce dualisme psychophysique s'en tient à la reconnaissance de deux catégories de phénomènes et ne s'inquiète pas des diverses hypothèses métaphysiques sur l'union de l'âme et du corps.
En examinant justement les différentes solutions qu'on a tâché de donner de l'union des phénomènes psychiques et physiques (spiritualisme, matérialisme, phénoménisme, monisme), il en montre les faiblesses. Sa critique est souvent juste, presque toujours vive, nette et précise. Nous reproduisons ici en fac simile l'édition originale (1890) du livre de Flournoy : Métaphysique et psychologie. Seule la lecture de ce petit ouvrage peut rendre hommage à son exceptionnelle qualité.
On n'a jamais vu des questions si obscures traitées d'une façon si lumineuse. Il est vrai que la lecture de ce livre constitue un véritable stimulant pour l'esprit que l'on peut continuer par celle des écrits de Bergson et de Binet avant d'aborder des auteurs plus récents qui se sont intéressés au thème des rapports entre le cerveau et l'esprit. Ce livre s'adresse aux philosophes, aux psychologues, aux savants et aux étudiants intéressés par la question des rapports entre le cerveau et l'esprit et qui recherchent un petit livre clair sur le sujet.
Flournoy montre que la psychologie scientifique s'appuie sur le principe de parallélisme psychophysique qui doit l'empêcher de tomber dans les abîmes de la métaphysique. Le principe de parallélisme psychophysique consiste dans l'affirmation que tout phénomène psychique a un concomitant physique déterminé, l'inverse n'est point supposé. L'objectif de la psychologie est donc de découvrir les lois du parallélisme en s'appuyant sur les observations psychologiques et sur les données physiologiques.
A ce principe de parallélisme est attaché l'axiome d'hétérogénéité selon lequel le corps et l'esprit, la conscience et le mouvement moléculaire cérébral, le fait psychique et le fait physique, tout en étant simultanés, sont disparates et irréductibles. Ce dualisme psychophysique s'en tient à la reconnaissance de deux catégories de phénomènes et ne s'inquiète pas des diverses hypothèses métaphysiques sur l'union de l'âme et du corps.
En examinant justement les différentes solutions qu'on a tâché de donner de l'union des phénomènes psychiques et physiques (spiritualisme, matérialisme, phénoménisme, monisme), il en montre les faiblesses. Sa critique est souvent juste, presque toujours vive, nette et précise. Nous reproduisons ici en fac simile l'édition originale (1890) du livre de Flournoy : Métaphysique et psychologie. Seule la lecture de ce petit ouvrage peut rendre hommage à son exceptionnelle qualité.
On n'a jamais vu des questions si obscures traitées d'une façon si lumineuse. Il est vrai que la lecture de ce livre constitue un véritable stimulant pour l'esprit que l'on peut continuer par celle des écrits de Bergson et de Binet avant d'aborder des auteurs plus récents qui se sont intéressés au thème des rapports entre le cerveau et l'esprit. Ce livre s'adresse aux philosophes, aux psychologues, aux savants et aux étudiants intéressés par la question des rapports entre le cerveau et l'esprit et qui recherchent un petit livre clair sur le sujet.