Métamorphoses. D'Actéon au posthumanisme
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages240
- FormatePub
- ISBN978-2-251-90747-5
- EAN9782251907475
- Date de parution09/03/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
- Personne interviewéeChristophe Honoré
Résumé
Actéon le chasseur transformé en cerf, Daphné en laurier, Zeus en taureau. les métamorphoses sont partout dans la littérature grecque et latine. Qu'elles expliquent la naissance du monde, l'apparition des plantes ou des astres, elles content une autre histoire naturelle, non biologique mais poétique, nourrie des aspirations humaines les plus essentielles : dieux et hommes se métamorphosent, ou métamorphosent les autres, par vengeance, punition, jalousie ou convoitise.
Pourquoi ces métamorphoses nous parlent-elles tant ? C'est qu'elles disent notre secret désir de vivre une autre vie, sous une autre identité. Ces très anciens récits nous plongent dans les origines de nos grands questionnements sur la séparation entre l'homme et l'animal, sur la question des genres masculin et féminin, et sur le dépassement des frontières entre humain et machine. La centaine de textes réunis ici trace un pont entre les métamorphoses grecques et latines et le XXIe siècle du posthumanisme, et nous rappelle que les robots de demain sont les Protée d'hier.
Pourquoi ces métamorphoses nous parlent-elles tant ? C'est qu'elles disent notre secret désir de vivre une autre vie, sous une autre identité. Ces très anciens récits nous plongent dans les origines de nos grands questionnements sur la séparation entre l'homme et l'animal, sur la question des genres masculin et féminin, et sur le dépassement des frontières entre humain et machine. La centaine de textes réunis ici trace un pont entre les métamorphoses grecques et latines et le XXIe siècle du posthumanisme, et nous rappelle que les robots de demain sont les Protée d'hier.
Actéon le chasseur transformé en cerf, Daphné en laurier, Zeus en taureau. les métamorphoses sont partout dans la littérature grecque et latine. Qu'elles expliquent la naissance du monde, l'apparition des plantes ou des astres, elles content une autre histoire naturelle, non biologique mais poétique, nourrie des aspirations humaines les plus essentielles : dieux et hommes se métamorphosent, ou métamorphosent les autres, par vengeance, punition, jalousie ou convoitise.
Pourquoi ces métamorphoses nous parlent-elles tant ? C'est qu'elles disent notre secret désir de vivre une autre vie, sous une autre identité. Ces très anciens récits nous plongent dans les origines de nos grands questionnements sur la séparation entre l'homme et l'animal, sur la question des genres masculin et féminin, et sur le dépassement des frontières entre humain et machine. La centaine de textes réunis ici trace un pont entre les métamorphoses grecques et latines et le XXIe siècle du posthumanisme, et nous rappelle que les robots de demain sont les Protée d'hier.
Pourquoi ces métamorphoses nous parlent-elles tant ? C'est qu'elles disent notre secret désir de vivre une autre vie, sous une autre identité. Ces très anciens récits nous plongent dans les origines de nos grands questionnements sur la séparation entre l'homme et l'animal, sur la question des genres masculin et féminin, et sur le dépassement des frontières entre humain et machine. La centaine de textes réunis ici trace un pont entre les métamorphoses grecques et latines et le XXIe siècle du posthumanisme, et nous rappelle que les robots de demain sont les Protée d'hier.