Mémoires de Lorenzo Da Ponte. Librettiste de Mozart
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages400
- FormatePub
- ISBN978-2-7152-4656-0
- EAN9782715246560
- Date de parution31/08/2017
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille891 Ko
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurLe Mercure de France
- TraducteurM-C-D de La Chavanne
Résumé
La gloire de Lorenzo Da Ponte est d'avoir conçu le texte des trois chefs-d'ouvre de Mozart : Les Noces de Figaro, Don Juan, Cosi fan tutte. Lorsque l'abbé Da Ponte, obligé de quitter Venise où il s'était conduit trop mal avec des femmes, arriva à Vienne à l'âge de trente-deux ans, rien ne l'obligeait à distinguer, parmi les musiciens, Mozart plus qu'un autre. C'est ce qu'il fit, et à présent les chefs d'orchestre, les metteurs en scène n'ont qu'une voix pour affirmer que la part du librettiste fut déterminante : Da Ponte a réinventé avec génie, pour l'opéra, les pièces que Mozart a mises en musique.
Quand l'empereur qui protégeait Da Ponte meurt, notre abbé va devoir s'exiler de nouveau. Après mille aventures il se retrouvera professeur d'italien à New York. C'est Lamartine qui découvrit dans cette ville les extraordinaires Mémoires de Da Ponte. Il les envoya aussitôt à Paris, disant qu'il fallait traduire d'urgence "les Mémoires les plus originaux et les plus anecdotiques que l'Italie ait jamais offerts à la curiosité publique".
Quand l'empereur qui protégeait Da Ponte meurt, notre abbé va devoir s'exiler de nouveau. Après mille aventures il se retrouvera professeur d'italien à New York. C'est Lamartine qui découvrit dans cette ville les extraordinaires Mémoires de Da Ponte. Il les envoya aussitôt à Paris, disant qu'il fallait traduire d'urgence "les Mémoires les plus originaux et les plus anecdotiques que l'Italie ait jamais offerts à la curiosité publique".
La gloire de Lorenzo Da Ponte est d'avoir conçu le texte des trois chefs-d'ouvre de Mozart : Les Noces de Figaro, Don Juan, Cosi fan tutte. Lorsque l'abbé Da Ponte, obligé de quitter Venise où il s'était conduit trop mal avec des femmes, arriva à Vienne à l'âge de trente-deux ans, rien ne l'obligeait à distinguer, parmi les musiciens, Mozart plus qu'un autre. C'est ce qu'il fit, et à présent les chefs d'orchestre, les metteurs en scène n'ont qu'une voix pour affirmer que la part du librettiste fut déterminante : Da Ponte a réinventé avec génie, pour l'opéra, les pièces que Mozart a mises en musique.
Quand l'empereur qui protégeait Da Ponte meurt, notre abbé va devoir s'exiler de nouveau. Après mille aventures il se retrouvera professeur d'italien à New York. C'est Lamartine qui découvrit dans cette ville les extraordinaires Mémoires de Da Ponte. Il les envoya aussitôt à Paris, disant qu'il fallait traduire d'urgence "les Mémoires les plus originaux et les plus anecdotiques que l'Italie ait jamais offerts à la curiosité publique".
Quand l'empereur qui protégeait Da Ponte meurt, notre abbé va devoir s'exiler de nouveau. Après mille aventures il se retrouvera professeur d'italien à New York. C'est Lamartine qui découvrit dans cette ville les extraordinaires Mémoires de Da Ponte. Il les envoya aussitôt à Paris, disant qu'il fallait traduire d'urgence "les Mémoires les plus originaux et les plus anecdotiques que l'Italie ait jamais offerts à la curiosité publique".