Mémoires de Duncan Grant
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- Nombre de pages266
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7483-7161-1
- EAN9782748371611
- Date de parution29/11/2011
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurPublibook/Société écrivains
Résumé
Ce livre est la lettre post mortem d'un homme à sa fille. Cet homme, c'est le peintre anglais Duncan Grant. Il écrit pour expliquer ce que fut sa vie: son enfance passée dans la campagne anglo-saxonne, ses relations amoureuses complexes et anticonformistes, son amitié avec les grands artistes de l'époque (dont Virginia Woolf et Lytton Strachey), et tous les événements, rencontres ou instants qui marquèrent son parcours esthétique.
Car l'art reste le centre de son existence. Rien n'a plus d'importance pour lui que de saisir ce qu'il voit - une lumière, un mouvement, un regard - guidé qu'il est par le sentiment que "rien n'est permanent, sauf l'instant présent". Pour cette biographie, Christian Soleil a eu l'idée originale de laisser le peintre se raconter dans une lettre fictive. Un moyen habile de se glisser dans l'intimité du sujet, d'être au plus près de ses pensées et sentiments tout en explorant son rapport vital à l'art.
Si ce récit comporte une part de fiction, il est toutefois basé sur des faits et des témoignages bien réels qui permettent à l'auteur de recréer avec justesse le personnage de Duncan Grant et la société de Bloomsbury, aux mours libérées.
Car l'art reste le centre de son existence. Rien n'a plus d'importance pour lui que de saisir ce qu'il voit - une lumière, un mouvement, un regard - guidé qu'il est par le sentiment que "rien n'est permanent, sauf l'instant présent". Pour cette biographie, Christian Soleil a eu l'idée originale de laisser le peintre se raconter dans une lettre fictive. Un moyen habile de se glisser dans l'intimité du sujet, d'être au plus près de ses pensées et sentiments tout en explorant son rapport vital à l'art.
Si ce récit comporte une part de fiction, il est toutefois basé sur des faits et des témoignages bien réels qui permettent à l'auteur de recréer avec justesse le personnage de Duncan Grant et la société de Bloomsbury, aux mours libérées.
Ce livre est la lettre post mortem d'un homme à sa fille. Cet homme, c'est le peintre anglais Duncan Grant. Il écrit pour expliquer ce que fut sa vie: son enfance passée dans la campagne anglo-saxonne, ses relations amoureuses complexes et anticonformistes, son amitié avec les grands artistes de l'époque (dont Virginia Woolf et Lytton Strachey), et tous les événements, rencontres ou instants qui marquèrent son parcours esthétique.
Car l'art reste le centre de son existence. Rien n'a plus d'importance pour lui que de saisir ce qu'il voit - une lumière, un mouvement, un regard - guidé qu'il est par le sentiment que "rien n'est permanent, sauf l'instant présent". Pour cette biographie, Christian Soleil a eu l'idée originale de laisser le peintre se raconter dans une lettre fictive. Un moyen habile de se glisser dans l'intimité du sujet, d'être au plus près de ses pensées et sentiments tout en explorant son rapport vital à l'art.
Si ce récit comporte une part de fiction, il est toutefois basé sur des faits et des témoignages bien réels qui permettent à l'auteur de recréer avec justesse le personnage de Duncan Grant et la société de Bloomsbury, aux mours libérées.
Car l'art reste le centre de son existence. Rien n'a plus d'importance pour lui que de saisir ce qu'il voit - une lumière, un mouvement, un regard - guidé qu'il est par le sentiment que "rien n'est permanent, sauf l'instant présent". Pour cette biographie, Christian Soleil a eu l'idée originale de laisser le peintre se raconter dans une lettre fictive. Un moyen habile de se glisser dans l'intimité du sujet, d'être au plus près de ses pensées et sentiments tout en explorant son rapport vital à l'art.
Si ce récit comporte une part de fiction, il est toutefois basé sur des faits et des témoignages bien réels qui permettent à l'auteur de recréer avec justesse le personnage de Duncan Grant et la société de Bloomsbury, aux mours libérées.