Mémoires de Duguay-Trouin. Corsaire du Roi-Soleil

Par : René Duguay-Trouin
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  • Nombre de pages224
  • FormatePub
  • ISBN978-2-38094-227-9
  • EAN9782380942279
  • Date de parution07/07/2021
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurNouveau Monde Editions

Résumé

Comme Jean Bart ou Abraham Duquesne, René Trouin, sieur du Guay, dit Duguay-Trouin (1673-1736), appartient à cette catégorie d'officiers généraux de la Marine sans origine noble et issus de la course. Cadet de famille, il était destiné à entrer dans les ordres, mais après ses études chez les Jésuites de Rennes, il part à l'université de Caen où il brille surtout par son esprit batailleur et ses frasques.
Les rendez-vous galants dans les confessionnaux choqueront plus tard le cardinal de Fleury quand il lira le manuscrit des Mémoires en 1725. Duguay pratique les cartes et les dés, jeux d'argent alors interdits dans la Marine. C'est « un vrai libertin », comme il l'écrira plus tard. Volontaire dans la marine marchande corsaire, il devient très vite un expert dans l'abordage. Il monte en grade et commande des navires de plus en plus importants.
Il attaque tout ce qui est anglais, mais aussi les flottilles de pêche ; il saisit poisson, sucre, tabac. Le pouvoir royal et les armateurs apprécient cette Marine qui rapporte. Duguay fera 300 prises avant d'entrer dans la Marine royale. En 1693, il participe à des armements en course financés par le Roi, mais il est fait prisonnier par les Anglais et se retrouve à Plymouth, d'où il réussit à s'enfuir.
La paix de Ryswick en 1697 le réduit très provisoirement au chômage, car la guerre de Succession d'Espagne s'annonce. Le Roi le récompense d'une « épée d'honneur », prélude à l'anoblissement qui lui sera accordé en 1709. On lui pardonne ses écarts et sa vie libertine, qu'il qualifie lui-même de « vie si honteuse ». En 1711 il fait le coup d'éclat qui sera sa gloire la plus durable : une descente à Rio de Janeiro pour libérer 500 Français retenus en otage.
Il en profite pour piller la ville et en rapporte un butin considérable. En 1715,  Louis XIV le fait « chef d'escadre de l'Amérique », en souvenir de l'affaire de Rio. Les Mémoires sont une suite de combats navals entrecoupés des aventures personnelles de Duguay, mort à Paris en 1736, célibataire.
Comme Jean Bart ou Abraham Duquesne, René Trouin, sieur du Guay, dit Duguay-Trouin (1673-1736), appartient à cette catégorie d'officiers généraux de la Marine sans origine noble et issus de la course. Cadet de famille, il était destiné à entrer dans les ordres, mais après ses études chez les Jésuites de Rennes, il part à l'université de Caen où il brille surtout par son esprit batailleur et ses frasques.
Les rendez-vous galants dans les confessionnaux choqueront plus tard le cardinal de Fleury quand il lira le manuscrit des Mémoires en 1725. Duguay pratique les cartes et les dés, jeux d'argent alors interdits dans la Marine. C'est « un vrai libertin », comme il l'écrira plus tard. Volontaire dans la marine marchande corsaire, il devient très vite un expert dans l'abordage. Il monte en grade et commande des navires de plus en plus importants.
Il attaque tout ce qui est anglais, mais aussi les flottilles de pêche ; il saisit poisson, sucre, tabac. Le pouvoir royal et les armateurs apprécient cette Marine qui rapporte. Duguay fera 300 prises avant d'entrer dans la Marine royale. En 1693, il participe à des armements en course financés par le Roi, mais il est fait prisonnier par les Anglais et se retrouve à Plymouth, d'où il réussit à s'enfuir.
La paix de Ryswick en 1697 le réduit très provisoirement au chômage, car la guerre de Succession d'Espagne s'annonce. Le Roi le récompense d'une « épée d'honneur », prélude à l'anoblissement qui lui sera accordé en 1709. On lui pardonne ses écarts et sa vie libertine, qu'il qualifie lui-même de « vie si honteuse ». En 1711 il fait le coup d'éclat qui sera sa gloire la plus durable : une descente à Rio de Janeiro pour libérer 500 Français retenus en otage.
Il en profite pour piller la ville et en rapporte un butin considérable. En 1715,  Louis XIV le fait « chef d'escadre de l'Amérique », en souvenir de l'affaire de Rio. Les Mémoires sont une suite de combats navals entrecoupés des aventures personnelles de Duguay, mort à Paris en 1736, célibataire.