Mémoires d'outre siècle. Tome 1, D'une résistance à l'autre
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- Nombre de pages400
- FormatePub
- ISBN978-2-87858-768-5
- EAN9782878587685
- Date de parution06/03/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille840 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurViviane Hamy
Résumé
André Mandouze est l'exacte antithèse de ces tièdes stigmatisés par l'Écriture : proche de Bernanos par le tempérament, sinon par toutes les idées, il a gardé une alacrité et une verdeur que pourraient lui envier beaucoup de ses cadets, comme en témoigne le premier volume de ses Mémoires, document important sur un demi-siècle de vie intellectuelle française. Le Figaro littéraire
Ce volume des
Mémoires d'outre-siècle couvre la première partie (1916-1962) de la vie de l'auteur.
Pour illustrer la couverture, il a choisi la caricature qui ouvrait un article de Témoignage Chrétien de décembre 1945 annonçant la démission et le départ en Algérie de son rédacteur en chef initial : lui-même en l'occurrence. André Mandouze passait ainsi d'une résistance à l'autre , de la lutte contre le nazisme à la lutte contre le colonialisme. Le seul mobile admissible de la démarche autobiographique, c'est l'intérêt d'êtres vivants et de problèmes réels qui n'ont cessé d'accompagner ou qui ont un moment rencontré une existence singulière et dont l'importance et la portée n'ont pu échapper à l'auteur non moins vivant et réel.
Ces êtres vivants , ces problèmes réels sont ceux qu'a connus ce chrétien de gauche, normalien, professeur de latin, spécialiste de saint Augustin... mais en même temps le mari, père de famille et initiateur de méthodes d'enseignement peu académiques... Garants de la fidélité de cette mise en mémoire(s), les textes écrits au cours de sa vie auxquels Mandouze se réfère sans cesse, comme en un dialogue entre l'octogénaire qu'il est et celui qu'il fut, plus jeune. Et cette promenade si fertile en événements fait apparaître une cohérence sans faille : la foi et l'engagement se vivent dans l'action, au quotidien.
La générosité alliée à une lucidité hors pair ont propulsé notre mémorialiste aux avant-postes de tous les combats pour le respect de l'homme, pour la défense de l'esprit et en ont fait un témoin capital de notre siècle. Ce commentaire de l'article qu'il écrivit dans la fièvre pour célébrer la Libération de Paris donne une idée de la personne et de son livre : Encore aujourd'hui quand je me relis, je suis plutôt heureux d'avoir, à un moment de ma vie, pu écrire cela.
L'orgueil ici n'a rien à faire. Mais la confiance en la vie, oui, est bien ce à quoi, en dépit de tout -; et même si notre patience est mise à rude épreuve et si demain' n'a pas de limite -; je reste par-dessus tout attaché. Mandouze, rebelle à tous les conformismes de pensée comme à toutes les compromissions, le second tome de ses Mémoires, À gauche toute, bon Dieu ! -; à paraître en l'an 2000 -; donnera, si nécessaire, de cette constante aventure, une preuve supplémentaire.
Pour illustrer la couverture, il a choisi la caricature qui ouvrait un article de Témoignage Chrétien de décembre 1945 annonçant la démission et le départ en Algérie de son rédacteur en chef initial : lui-même en l'occurrence. André Mandouze passait ainsi d'une résistance à l'autre , de la lutte contre le nazisme à la lutte contre le colonialisme. Le seul mobile admissible de la démarche autobiographique, c'est l'intérêt d'êtres vivants et de problèmes réels qui n'ont cessé d'accompagner ou qui ont un moment rencontré une existence singulière et dont l'importance et la portée n'ont pu échapper à l'auteur non moins vivant et réel.
Ces êtres vivants , ces problèmes réels sont ceux qu'a connus ce chrétien de gauche, normalien, professeur de latin, spécialiste de saint Augustin... mais en même temps le mari, père de famille et initiateur de méthodes d'enseignement peu académiques... Garants de la fidélité de cette mise en mémoire(s), les textes écrits au cours de sa vie auxquels Mandouze se réfère sans cesse, comme en un dialogue entre l'octogénaire qu'il est et celui qu'il fut, plus jeune. Et cette promenade si fertile en événements fait apparaître une cohérence sans faille : la foi et l'engagement se vivent dans l'action, au quotidien.
La générosité alliée à une lucidité hors pair ont propulsé notre mémorialiste aux avant-postes de tous les combats pour le respect de l'homme, pour la défense de l'esprit et en ont fait un témoin capital de notre siècle. Ce commentaire de l'article qu'il écrivit dans la fièvre pour célébrer la Libération de Paris donne une idée de la personne et de son livre : Encore aujourd'hui quand je me relis, je suis plutôt heureux d'avoir, à un moment de ma vie, pu écrire cela.
L'orgueil ici n'a rien à faire. Mais la confiance en la vie, oui, est bien ce à quoi, en dépit de tout -; et même si notre patience est mise à rude épreuve et si demain' n'a pas de limite -; je reste par-dessus tout attaché. Mandouze, rebelle à tous les conformismes de pensée comme à toutes les compromissions, le second tome de ses Mémoires, À gauche toute, bon Dieu ! -; à paraître en l'an 2000 -; donnera, si nécessaire, de cette constante aventure, une preuve supplémentaire.
André Mandouze est l'exacte antithèse de ces tièdes stigmatisés par l'Écriture : proche de Bernanos par le tempérament, sinon par toutes les idées, il a gardé une alacrité et une verdeur que pourraient lui envier beaucoup de ses cadets, comme en témoigne le premier volume de ses Mémoires, document important sur un demi-siècle de vie intellectuelle française. Le Figaro littéraire
Ce volume des
Mémoires d'outre-siècle couvre la première partie (1916-1962) de la vie de l'auteur.
Pour illustrer la couverture, il a choisi la caricature qui ouvrait un article de Témoignage Chrétien de décembre 1945 annonçant la démission et le départ en Algérie de son rédacteur en chef initial : lui-même en l'occurrence. André Mandouze passait ainsi d'une résistance à l'autre , de la lutte contre le nazisme à la lutte contre le colonialisme. Le seul mobile admissible de la démarche autobiographique, c'est l'intérêt d'êtres vivants et de problèmes réels qui n'ont cessé d'accompagner ou qui ont un moment rencontré une existence singulière et dont l'importance et la portée n'ont pu échapper à l'auteur non moins vivant et réel.
Ces êtres vivants , ces problèmes réels sont ceux qu'a connus ce chrétien de gauche, normalien, professeur de latin, spécialiste de saint Augustin... mais en même temps le mari, père de famille et initiateur de méthodes d'enseignement peu académiques... Garants de la fidélité de cette mise en mémoire(s), les textes écrits au cours de sa vie auxquels Mandouze se réfère sans cesse, comme en un dialogue entre l'octogénaire qu'il est et celui qu'il fut, plus jeune. Et cette promenade si fertile en événements fait apparaître une cohérence sans faille : la foi et l'engagement se vivent dans l'action, au quotidien.
La générosité alliée à une lucidité hors pair ont propulsé notre mémorialiste aux avant-postes de tous les combats pour le respect de l'homme, pour la défense de l'esprit et en ont fait un témoin capital de notre siècle. Ce commentaire de l'article qu'il écrivit dans la fièvre pour célébrer la Libération de Paris donne une idée de la personne et de son livre : Encore aujourd'hui quand je me relis, je suis plutôt heureux d'avoir, à un moment de ma vie, pu écrire cela.
L'orgueil ici n'a rien à faire. Mais la confiance en la vie, oui, est bien ce à quoi, en dépit de tout -; et même si notre patience est mise à rude épreuve et si demain' n'a pas de limite -; je reste par-dessus tout attaché. Mandouze, rebelle à tous les conformismes de pensée comme à toutes les compromissions, le second tome de ses Mémoires, À gauche toute, bon Dieu ! -; à paraître en l'an 2000 -; donnera, si nécessaire, de cette constante aventure, une preuve supplémentaire.
Pour illustrer la couverture, il a choisi la caricature qui ouvrait un article de Témoignage Chrétien de décembre 1945 annonçant la démission et le départ en Algérie de son rédacteur en chef initial : lui-même en l'occurrence. André Mandouze passait ainsi d'une résistance à l'autre , de la lutte contre le nazisme à la lutte contre le colonialisme. Le seul mobile admissible de la démarche autobiographique, c'est l'intérêt d'êtres vivants et de problèmes réels qui n'ont cessé d'accompagner ou qui ont un moment rencontré une existence singulière et dont l'importance et la portée n'ont pu échapper à l'auteur non moins vivant et réel.
Ces êtres vivants , ces problèmes réels sont ceux qu'a connus ce chrétien de gauche, normalien, professeur de latin, spécialiste de saint Augustin... mais en même temps le mari, père de famille et initiateur de méthodes d'enseignement peu académiques... Garants de la fidélité de cette mise en mémoire(s), les textes écrits au cours de sa vie auxquels Mandouze se réfère sans cesse, comme en un dialogue entre l'octogénaire qu'il est et celui qu'il fut, plus jeune. Et cette promenade si fertile en événements fait apparaître une cohérence sans faille : la foi et l'engagement se vivent dans l'action, au quotidien.
La générosité alliée à une lucidité hors pair ont propulsé notre mémorialiste aux avant-postes de tous les combats pour le respect de l'homme, pour la défense de l'esprit et en ont fait un témoin capital de notre siècle. Ce commentaire de l'article qu'il écrivit dans la fièvre pour célébrer la Libération de Paris donne une idée de la personne et de son livre : Encore aujourd'hui quand je me relis, je suis plutôt heureux d'avoir, à un moment de ma vie, pu écrire cela.
L'orgueil ici n'a rien à faire. Mais la confiance en la vie, oui, est bien ce à quoi, en dépit de tout -; et même si notre patience est mise à rude épreuve et si demain' n'a pas de limite -; je reste par-dessus tout attaché. Mandouze, rebelle à tous les conformismes de pensée comme à toutes les compromissions, le second tome de ses Mémoires, À gauche toute, bon Dieu ! -; à paraître en l'an 2000 -; donnera, si nécessaire, de cette constante aventure, une preuve supplémentaire.