Mémoires. Espagne et Portugal
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- Nombre de pages408
- FormatePub
- ISBN978-2-251-92001-6
- EAN9782251920016
- Date de parution17/05/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
- PréfacierLouis de Saint-Pierre
- PréfacierAntoinette de Saint-Pierre
Résumé
Ses soldats le surnommaient « Bras de fer », tant il exigeait d'eux. C'est sans doute cette opiniâtreté qui permit à Jean de Dieu Soult, duc de Dalmatie, d'être celui des maréchaux de Napoléon qui se maintiendra le plus longtemps dans cette infernale guerre d'Espagne et du Portugal. Quatre longues années retracées dans ces Mémoires qui débutent avec la descente de l'Empereur dans la péninsule à l'automne 1808 afin de reprendre Madrid.
Jean de Dieu Soult est à ses côtés et balaie une partie des troupes britanniques qui doivent rembarquer à la Corogne. Nommé major général des armées en Espagne, il s'empare ensuite de l'Andalousie où il va régner en proconsul mais sans céder un pouce de terrain aux armées anglo-espagnoles qui l'entourent. Beaucoup de critiques ont été émises contre cet homme ambitieux mais aussi redoutable organisateur, administrateur hors pair et que Napoléon, après son action décisive à Austerlitz avait sacré « le meilleur manouvrier d'Europe » : d'avoir voulu, selon certains, se faire sacrer roi de Portugal, de s'être enrichi, de ne pas avoir porté secours à ses camarades comme Masséna, échoué devant les lignes de Torres Vedras qui ont rendu Lisbonne inexpugnable.
Mais comme le dira Napoléon, Soult est la seule « tête militaire » de ce conflit lointain. Les Mémoires du maréchal montrent surtout ce que fut cette guerre cruelle durant laquelle naquit le mot devenu universel de « guérilla » : menée sans moyens, au milieu des intrigues, loin de tout et surtout du regard de l'Empereur qui la méprisait, il fallait effectivement être de fer pour ne pas connaître la défaite.
Un texte indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à l'épopée impériale et à ce terrible conflit, début de sa chute, qui fit plus 100 000 morts côté français.
Jean de Dieu Soult est à ses côtés et balaie une partie des troupes britanniques qui doivent rembarquer à la Corogne. Nommé major général des armées en Espagne, il s'empare ensuite de l'Andalousie où il va régner en proconsul mais sans céder un pouce de terrain aux armées anglo-espagnoles qui l'entourent. Beaucoup de critiques ont été émises contre cet homme ambitieux mais aussi redoutable organisateur, administrateur hors pair et que Napoléon, après son action décisive à Austerlitz avait sacré « le meilleur manouvrier d'Europe » : d'avoir voulu, selon certains, se faire sacrer roi de Portugal, de s'être enrichi, de ne pas avoir porté secours à ses camarades comme Masséna, échoué devant les lignes de Torres Vedras qui ont rendu Lisbonne inexpugnable.
Mais comme le dira Napoléon, Soult est la seule « tête militaire » de ce conflit lointain. Les Mémoires du maréchal montrent surtout ce que fut cette guerre cruelle durant laquelle naquit le mot devenu universel de « guérilla » : menée sans moyens, au milieu des intrigues, loin de tout et surtout du regard de l'Empereur qui la méprisait, il fallait effectivement être de fer pour ne pas connaître la défaite.
Un texte indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à l'épopée impériale et à ce terrible conflit, début de sa chute, qui fit plus 100 000 morts côté français.
Ses soldats le surnommaient « Bras de fer », tant il exigeait d'eux. C'est sans doute cette opiniâtreté qui permit à Jean de Dieu Soult, duc de Dalmatie, d'être celui des maréchaux de Napoléon qui se maintiendra le plus longtemps dans cette infernale guerre d'Espagne et du Portugal. Quatre longues années retracées dans ces Mémoires qui débutent avec la descente de l'Empereur dans la péninsule à l'automne 1808 afin de reprendre Madrid.
Jean de Dieu Soult est à ses côtés et balaie une partie des troupes britanniques qui doivent rembarquer à la Corogne. Nommé major général des armées en Espagne, il s'empare ensuite de l'Andalousie où il va régner en proconsul mais sans céder un pouce de terrain aux armées anglo-espagnoles qui l'entourent. Beaucoup de critiques ont été émises contre cet homme ambitieux mais aussi redoutable organisateur, administrateur hors pair et que Napoléon, après son action décisive à Austerlitz avait sacré « le meilleur manouvrier d'Europe » : d'avoir voulu, selon certains, se faire sacrer roi de Portugal, de s'être enrichi, de ne pas avoir porté secours à ses camarades comme Masséna, échoué devant les lignes de Torres Vedras qui ont rendu Lisbonne inexpugnable.
Mais comme le dira Napoléon, Soult est la seule « tête militaire » de ce conflit lointain. Les Mémoires du maréchal montrent surtout ce que fut cette guerre cruelle durant laquelle naquit le mot devenu universel de « guérilla » : menée sans moyens, au milieu des intrigues, loin de tout et surtout du regard de l'Empereur qui la méprisait, il fallait effectivement être de fer pour ne pas connaître la défaite.
Un texte indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à l'épopée impériale et à ce terrible conflit, début de sa chute, qui fit plus 100 000 morts côté français.
Jean de Dieu Soult est à ses côtés et balaie une partie des troupes britanniques qui doivent rembarquer à la Corogne. Nommé major général des armées en Espagne, il s'empare ensuite de l'Andalousie où il va régner en proconsul mais sans céder un pouce de terrain aux armées anglo-espagnoles qui l'entourent. Beaucoup de critiques ont été émises contre cet homme ambitieux mais aussi redoutable organisateur, administrateur hors pair et que Napoléon, après son action décisive à Austerlitz avait sacré « le meilleur manouvrier d'Europe » : d'avoir voulu, selon certains, se faire sacrer roi de Portugal, de s'être enrichi, de ne pas avoir porté secours à ses camarades comme Masséna, échoué devant les lignes de Torres Vedras qui ont rendu Lisbonne inexpugnable.
Mais comme le dira Napoléon, Soult est la seule « tête militaire » de ce conflit lointain. Les Mémoires du maréchal montrent surtout ce que fut cette guerre cruelle durant laquelle naquit le mot devenu universel de « guérilla » : menée sans moyens, au milieu des intrigues, loin de tout et surtout du regard de l'Empereur qui la méprisait, il fallait effectivement être de fer pour ne pas connaître la défaite.
Un texte indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à l'épopée impériale et à ce terrible conflit, début de sa chute, qui fit plus 100 000 morts côté français.