Mémoire de paix pour temps de guerre
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages672
- FormatePub
- ISBN978-2-246-85972-7
- EAN9782246859727
- Date de parution09/11/2016
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille875 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGrasset
Résumé
« Depuis quinze ans, le monde semble emporté dans une folle course à la guerre. Le Moyen Orient est pris dans une spirale suicidaire sans fin, le terrorisme international nous défie, de grands empires entrent en confrontation. Le virus de la guerre est en nous, rendu plus agressif par les peurs, les humiliations et les colères. La crispation des nations occidentales sur leurs privilèges et sur une vision du monde dépassée ne peut qu'aggraver les maux.
Toute ma vie durant, j'ai voulu mettre le travail de la paix au cour de mon action. En 2003, auprès de Jacques Chirac, j'ai mené le combat de la paix à l'ONU contre l'intervention américaine en Irak, conscient des dangers de la vision néoconservatrice du monde. Nous devons apprendre à regarder le monde et à en comprendre les métamorphoses. A nous d'entendre ce qui anime aujourd'hui les peuples et les nations, en Russie, aux Etats-Unis, comme en Chine, en Turquie, en Côte d'Ivoire ou en Colombie.
C'est au plus près de la réalité que nous pourrons mesurer la faillite des Etats-Nations et le jeu des revendications identitaires dans une mondialisation qui semble condamnée à l'accélération perpétuelle. Le moment est venu de s'atteler au travail de la paix, d'ouvrir les yeux sur les blessures du monde et de nous doter des outils pour construire un nouvel ordre, stable et juste. Des solutions existent, mais elles nécessitent de la patience, de l'imagination, de la volonté.
Pour contrer les épopées mensongères de la guerre, nous avons besoin d'un récit de la paix, qui constitue le grand défi, le seul héroïsme possible de notre temps, adapté à un monde fragile aux identités blessées, en mal de réconciliation. J'ai la conviction que la France a un rôle à jouer dans ce nouveau monde, à condition de retrouver sa vocation d'initiative, de médiation et de dialogue, fidèle à son message et à son histoire. » D.
d V.
Toute ma vie durant, j'ai voulu mettre le travail de la paix au cour de mon action. En 2003, auprès de Jacques Chirac, j'ai mené le combat de la paix à l'ONU contre l'intervention américaine en Irak, conscient des dangers de la vision néoconservatrice du monde. Nous devons apprendre à regarder le monde et à en comprendre les métamorphoses. A nous d'entendre ce qui anime aujourd'hui les peuples et les nations, en Russie, aux Etats-Unis, comme en Chine, en Turquie, en Côte d'Ivoire ou en Colombie.
C'est au plus près de la réalité que nous pourrons mesurer la faillite des Etats-Nations et le jeu des revendications identitaires dans une mondialisation qui semble condamnée à l'accélération perpétuelle. Le moment est venu de s'atteler au travail de la paix, d'ouvrir les yeux sur les blessures du monde et de nous doter des outils pour construire un nouvel ordre, stable et juste. Des solutions existent, mais elles nécessitent de la patience, de l'imagination, de la volonté.
Pour contrer les épopées mensongères de la guerre, nous avons besoin d'un récit de la paix, qui constitue le grand défi, le seul héroïsme possible de notre temps, adapté à un monde fragile aux identités blessées, en mal de réconciliation. J'ai la conviction que la France a un rôle à jouer dans ce nouveau monde, à condition de retrouver sa vocation d'initiative, de médiation et de dialogue, fidèle à son message et à son histoire. » D.
d V.
« Depuis quinze ans, le monde semble emporté dans une folle course à la guerre. Le Moyen Orient est pris dans une spirale suicidaire sans fin, le terrorisme international nous défie, de grands empires entrent en confrontation. Le virus de la guerre est en nous, rendu plus agressif par les peurs, les humiliations et les colères. La crispation des nations occidentales sur leurs privilèges et sur une vision du monde dépassée ne peut qu'aggraver les maux.
Toute ma vie durant, j'ai voulu mettre le travail de la paix au cour de mon action. En 2003, auprès de Jacques Chirac, j'ai mené le combat de la paix à l'ONU contre l'intervention américaine en Irak, conscient des dangers de la vision néoconservatrice du monde. Nous devons apprendre à regarder le monde et à en comprendre les métamorphoses. A nous d'entendre ce qui anime aujourd'hui les peuples et les nations, en Russie, aux Etats-Unis, comme en Chine, en Turquie, en Côte d'Ivoire ou en Colombie.
C'est au plus près de la réalité que nous pourrons mesurer la faillite des Etats-Nations et le jeu des revendications identitaires dans une mondialisation qui semble condamnée à l'accélération perpétuelle. Le moment est venu de s'atteler au travail de la paix, d'ouvrir les yeux sur les blessures du monde et de nous doter des outils pour construire un nouvel ordre, stable et juste. Des solutions existent, mais elles nécessitent de la patience, de l'imagination, de la volonté.
Pour contrer les épopées mensongères de la guerre, nous avons besoin d'un récit de la paix, qui constitue le grand défi, le seul héroïsme possible de notre temps, adapté à un monde fragile aux identités blessées, en mal de réconciliation. J'ai la conviction que la France a un rôle à jouer dans ce nouveau monde, à condition de retrouver sa vocation d'initiative, de médiation et de dialogue, fidèle à son message et à son histoire. » D.
d V.
Toute ma vie durant, j'ai voulu mettre le travail de la paix au cour de mon action. En 2003, auprès de Jacques Chirac, j'ai mené le combat de la paix à l'ONU contre l'intervention américaine en Irak, conscient des dangers de la vision néoconservatrice du monde. Nous devons apprendre à regarder le monde et à en comprendre les métamorphoses. A nous d'entendre ce qui anime aujourd'hui les peuples et les nations, en Russie, aux Etats-Unis, comme en Chine, en Turquie, en Côte d'Ivoire ou en Colombie.
C'est au plus près de la réalité que nous pourrons mesurer la faillite des Etats-Nations et le jeu des revendications identitaires dans une mondialisation qui semble condamnée à l'accélération perpétuelle. Le moment est venu de s'atteler au travail de la paix, d'ouvrir les yeux sur les blessures du monde et de nous doter des outils pour construire un nouvel ordre, stable et juste. Des solutions existent, mais elles nécessitent de la patience, de l'imagination, de la volonté.
Pour contrer les épopées mensongères de la guerre, nous avons besoin d'un récit de la paix, qui constitue le grand défi, le seul héroïsme possible de notre temps, adapté à un monde fragile aux identités blessées, en mal de réconciliation. J'ai la conviction que la France a un rôle à jouer dans ce nouveau monde, à condition de retrouver sa vocation d'initiative, de médiation et de dialogue, fidèle à son message et à son histoire. » D.
d V.