Médiocratie française
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- Nombre de pages191
- FormatePub
- ISBN2-259-23717-7
- EAN9782259237178
- Date de parution01/01/1996
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille236 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPlon (réédition numérique FeniXX...
Résumé
Après vingt-cinq ans de télévision, Louis Bériot pensait avoir tout vu. Il était loin d'imaginer l'aventure, puis la galère, où l'entraîneraient trente mois de présidence Elkabbach. Les raconter, soit ; en dénoncer les errements, mieux ; en méditer la leçon, encore mieux. Tel est le pari de ce pamphlet. Louis Bériot étale l'inconséquence, alliée à la couardise, d'une classe politique perdue dans ses tractations secrètes et ses manouvres de déstabilisation.
Il expose la suffisante incompétence de la haute administration, qui juge et décide de tout, sans rien connaître en détail. Il raconte l'histoire des négociations avec les stars de la télé, la guerre avec TF1 et les enjeux de la télévision de demain. Sans oublier, bien sûr, l'affaire des contrats, ses dessous financiers, ses implications politiques, jusqu'à la crise finale. Le tout, devant le regard désabusé d'une opinion lasse et des médias complaisants.
Mais la télévision n'est pas que le champ clos des manouvres, petites ou grandes. C'est un miroir. Et l'image qu'elle renvoie aux Français est celle d'une société en voie de décomposition lente. Le constat de Louis Bériot mérite d'être lu et médité ; nous sommes entrés dans l'ère de la médiocratie.
Il expose la suffisante incompétence de la haute administration, qui juge et décide de tout, sans rien connaître en détail. Il raconte l'histoire des négociations avec les stars de la télé, la guerre avec TF1 et les enjeux de la télévision de demain. Sans oublier, bien sûr, l'affaire des contrats, ses dessous financiers, ses implications politiques, jusqu'à la crise finale. Le tout, devant le regard désabusé d'une opinion lasse et des médias complaisants.
Mais la télévision n'est pas que le champ clos des manouvres, petites ou grandes. C'est un miroir. Et l'image qu'elle renvoie aux Français est celle d'une société en voie de décomposition lente. Le constat de Louis Bériot mérite d'être lu et médité ; nous sommes entrés dans l'ère de la médiocratie.
Après vingt-cinq ans de télévision, Louis Bériot pensait avoir tout vu. Il était loin d'imaginer l'aventure, puis la galère, où l'entraîneraient trente mois de présidence Elkabbach. Les raconter, soit ; en dénoncer les errements, mieux ; en méditer la leçon, encore mieux. Tel est le pari de ce pamphlet. Louis Bériot étale l'inconséquence, alliée à la couardise, d'une classe politique perdue dans ses tractations secrètes et ses manouvres de déstabilisation.
Il expose la suffisante incompétence de la haute administration, qui juge et décide de tout, sans rien connaître en détail. Il raconte l'histoire des négociations avec les stars de la télé, la guerre avec TF1 et les enjeux de la télévision de demain. Sans oublier, bien sûr, l'affaire des contrats, ses dessous financiers, ses implications politiques, jusqu'à la crise finale. Le tout, devant le regard désabusé d'une opinion lasse et des médias complaisants.
Mais la télévision n'est pas que le champ clos des manouvres, petites ou grandes. C'est un miroir. Et l'image qu'elle renvoie aux Français est celle d'une société en voie de décomposition lente. Le constat de Louis Bériot mérite d'être lu et médité ; nous sommes entrés dans l'ère de la médiocratie.
Il expose la suffisante incompétence de la haute administration, qui juge et décide de tout, sans rien connaître en détail. Il raconte l'histoire des négociations avec les stars de la télé, la guerre avec TF1 et les enjeux de la télévision de demain. Sans oublier, bien sûr, l'affaire des contrats, ses dessous financiers, ses implications politiques, jusqu'à la crise finale. Le tout, devant le regard désabusé d'une opinion lasse et des médias complaisants.
Mais la télévision n'est pas que le champ clos des manouvres, petites ou grandes. C'est un miroir. Et l'image qu'elle renvoie aux Français est celle d'une société en voie de décomposition lente. Le constat de Louis Bériot mérite d'être lu et médité ; nous sommes entrés dans l'ère de la médiocratie.


















