Mayas, Aztèques et extraterrestres
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- Nombre de pages208
- FormatePub
- ISBN2-307-25178-2
- EAN9782307251781
- Date de parution01/01/1979
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (De V...
Résumé
Fidèle à la démarche rigoureuse qui lui permit d'annoncer - dans "Ulysse au triangle des Bermudes" - bien avant l'heure, l'existence, d'une part, de mondes souterrains mayas, ceux-là même qui ont été mis à jour par l'équipe des archéologues français Michel Siffre et Daniel Dreux et, d'autre part, la présence de constructions mayas immergées au large des Bahamas, révélées au monde par le célèbre chercheur américain Charles Berlitz.
J-Y Casgha continue ici son méticuleux travail de sape d'une connaissance que l'on fait semblant de croire à jamais définitive. En effet, au-delà des preuves qu'il apporte de contacts entre les civilisations précolombiennes et des êtres qu'une information tendancieuse veut "étranges et belliqueux", l'auteur veut surtout nous réveiller, nous tirer d'une profonde léthargie socio-historique, qui tend systématiquement à nous faire admettre qu'avant nous, magnifiques et glorieux Occidentaux de l'Histoire dite "moderne", il n'y avait rien, rien sinon des primitifs qui se battaient à coups de mauvaises pierres mal taillées, et tiraient leurs épouses par les cheveux ! Et toute la recherche de J-Y Casgha nous révèle un monde bien surprenant mais qui, pourtant, selon lui, n'a rien d'étrange : pourquoi donc les "OVNI" ou les "extra-terrestres" seraient-ils plus étonnants pour nous, que ne le furent les caravelles de Christophe Colomb pour les Aztèques, ou les avions japonais et américains pour les indigènes du Pacifique ? Car, à la fin de ce livre, c'est incontestable, les "extra-terrestres", pas plus que les "OVNI", non seulement ne sont pas un "mythe moderne", fondé sur l'observation "hallucinatoire" de Kenneth Arnold, le mardi 24 juin 1947, dans les Montagnes Rocheuses, mais encore ont pris des contacts précis, réels et attestés, à une époque qui fut l'antiquité de notre Antiquité et que J-Y Casgha baptise "palaïoté".
Et quand, enfin, on referme la dernière page de l'ouvrage, le vertige de la lecture laisse percer un curieux sentiment de malaise : nous, hommes si fiers d'un passé que nous voulons certain, qui sommes-nous réellement ?
J-Y Casgha continue ici son méticuleux travail de sape d'une connaissance que l'on fait semblant de croire à jamais définitive. En effet, au-delà des preuves qu'il apporte de contacts entre les civilisations précolombiennes et des êtres qu'une information tendancieuse veut "étranges et belliqueux", l'auteur veut surtout nous réveiller, nous tirer d'une profonde léthargie socio-historique, qui tend systématiquement à nous faire admettre qu'avant nous, magnifiques et glorieux Occidentaux de l'Histoire dite "moderne", il n'y avait rien, rien sinon des primitifs qui se battaient à coups de mauvaises pierres mal taillées, et tiraient leurs épouses par les cheveux ! Et toute la recherche de J-Y Casgha nous révèle un monde bien surprenant mais qui, pourtant, selon lui, n'a rien d'étrange : pourquoi donc les "OVNI" ou les "extra-terrestres" seraient-ils plus étonnants pour nous, que ne le furent les caravelles de Christophe Colomb pour les Aztèques, ou les avions japonais et américains pour les indigènes du Pacifique ? Car, à la fin de ce livre, c'est incontestable, les "extra-terrestres", pas plus que les "OVNI", non seulement ne sont pas un "mythe moderne", fondé sur l'observation "hallucinatoire" de Kenneth Arnold, le mardi 24 juin 1947, dans les Montagnes Rocheuses, mais encore ont pris des contacts précis, réels et attestés, à une époque qui fut l'antiquité de notre Antiquité et que J-Y Casgha baptise "palaïoté".
Et quand, enfin, on referme la dernière page de l'ouvrage, le vertige de la lecture laisse percer un curieux sentiment de malaise : nous, hommes si fiers d'un passé que nous voulons certain, qui sommes-nous réellement ?
Fidèle à la démarche rigoureuse qui lui permit d'annoncer - dans "Ulysse au triangle des Bermudes" - bien avant l'heure, l'existence, d'une part, de mondes souterrains mayas, ceux-là même qui ont été mis à jour par l'équipe des archéologues français Michel Siffre et Daniel Dreux et, d'autre part, la présence de constructions mayas immergées au large des Bahamas, révélées au monde par le célèbre chercheur américain Charles Berlitz.
J-Y Casgha continue ici son méticuleux travail de sape d'une connaissance que l'on fait semblant de croire à jamais définitive. En effet, au-delà des preuves qu'il apporte de contacts entre les civilisations précolombiennes et des êtres qu'une information tendancieuse veut "étranges et belliqueux", l'auteur veut surtout nous réveiller, nous tirer d'une profonde léthargie socio-historique, qui tend systématiquement à nous faire admettre qu'avant nous, magnifiques et glorieux Occidentaux de l'Histoire dite "moderne", il n'y avait rien, rien sinon des primitifs qui se battaient à coups de mauvaises pierres mal taillées, et tiraient leurs épouses par les cheveux ! Et toute la recherche de J-Y Casgha nous révèle un monde bien surprenant mais qui, pourtant, selon lui, n'a rien d'étrange : pourquoi donc les "OVNI" ou les "extra-terrestres" seraient-ils plus étonnants pour nous, que ne le furent les caravelles de Christophe Colomb pour les Aztèques, ou les avions japonais et américains pour les indigènes du Pacifique ? Car, à la fin de ce livre, c'est incontestable, les "extra-terrestres", pas plus que les "OVNI", non seulement ne sont pas un "mythe moderne", fondé sur l'observation "hallucinatoire" de Kenneth Arnold, le mardi 24 juin 1947, dans les Montagnes Rocheuses, mais encore ont pris des contacts précis, réels et attestés, à une époque qui fut l'antiquité de notre Antiquité et que J-Y Casgha baptise "palaïoté".
Et quand, enfin, on referme la dernière page de l'ouvrage, le vertige de la lecture laisse percer un curieux sentiment de malaise : nous, hommes si fiers d'un passé que nous voulons certain, qui sommes-nous réellement ?
J-Y Casgha continue ici son méticuleux travail de sape d'une connaissance que l'on fait semblant de croire à jamais définitive. En effet, au-delà des preuves qu'il apporte de contacts entre les civilisations précolombiennes et des êtres qu'une information tendancieuse veut "étranges et belliqueux", l'auteur veut surtout nous réveiller, nous tirer d'une profonde léthargie socio-historique, qui tend systématiquement à nous faire admettre qu'avant nous, magnifiques et glorieux Occidentaux de l'Histoire dite "moderne", il n'y avait rien, rien sinon des primitifs qui se battaient à coups de mauvaises pierres mal taillées, et tiraient leurs épouses par les cheveux ! Et toute la recherche de J-Y Casgha nous révèle un monde bien surprenant mais qui, pourtant, selon lui, n'a rien d'étrange : pourquoi donc les "OVNI" ou les "extra-terrestres" seraient-ils plus étonnants pour nous, que ne le furent les caravelles de Christophe Colomb pour les Aztèques, ou les avions japonais et américains pour les indigènes du Pacifique ? Car, à la fin de ce livre, c'est incontestable, les "extra-terrestres", pas plus que les "OVNI", non seulement ne sont pas un "mythe moderne", fondé sur l'observation "hallucinatoire" de Kenneth Arnold, le mardi 24 juin 1947, dans les Montagnes Rocheuses, mais encore ont pris des contacts précis, réels et attestés, à une époque qui fut l'antiquité de notre Antiquité et que J-Y Casgha baptise "palaïoté".
Et quand, enfin, on referme la dernière page de l'ouvrage, le vertige de la lecture laisse percer un curieux sentiment de malaise : nous, hommes si fiers d'un passé que nous voulons certain, qui sommes-nous réellement ?