En cours de chargement...
« D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais voulu être mère. Cette conviction a toujours été ancrée au plus profond de mon être. À l'inverse de ces femmes qui ont la certitude, dès leur plus jeune âge, qu'elles donneront un jour la vie, j'ai très tôt su que je n'aurais jamais cette envie. Une position difficile à assumer quand on constate à quel point ce mantra est bourré dans le crâne de toutes les petites filles du monde - "Tu seras mère, ma fille".
»Le témoignage bouleversant d'Ali Leonardi secoue nos plus intimes convictions. C'est au long de son douloureux parcours que la jeune femme cherche les raisons de l'impensable : celui d'une mère qui « abandonne ». Comment peut-on en venir à renoncer à ses droits parentaux ? Quel est ce prétendu instinct maternel que l'on exige des femmes dès leur plus jeune âge ? Ne pas le ressentir est une source d'infamie.
Ce livre lève le voile sur un tabou absolu. Ali Leonardi a aujourd'hui 24 ans et vit à Strasbourg. Après avoir été journaliste pour « Les Maternelles » sur France 5, Mathieu Habasque a rejoint la rédaction de Konbini.
Une honte à l'état pur !
Oui visiblement madame n'a jamais voulu être mère mais elle a toujours voulu faire de la télé. Pas possible de faire autant de plateau, autant d'interview pour faire la promotion de son livre.
Elle a abandonné un enfant et elle en parle tranquillement à la télé sans la moindre émotion comme si elle avait abandonné une chaussette sur le bas-côté de la route sur une aire de péage.
Je connais quelqu'un qui a dû abandonné son chat à la spa à cause d'une promotion à l'étranger qui parle de cet abandon avec beaucoup plus de culpabilité que celle là.
Madame n'a jamais voulu d'enfant donc elle se permet de l'abandonner lâchement alors que lui n'a sans doute jamais voulu être orphelin. Ou comment faire supporter aux autres nos propres erreurs ! La différence fondamentale c'est que elle, elle a fait des choix. elle avait le choix de se protéger, elle avait le choix d'avorter parce qu'on est en France et l'avortement elle légale.
Mais quelle preuve de nombrilisme que de dire qu'elle a abandonné son enfant pour son propre confort à elle.
Elle ne s'est visiblement pas renseigner sur la violence qu'il y a dans les foyers sociaux, sur la violence qu'il y a dans les familles d'accueil. Elle a livré son enfant à une vie semée d'embûches de solitude et de tristesse et a la vindicte des enfants dépaysé et sans repère. Parce que Madame ne sait pas projeté et ne sait pas assumer ses décisions et ses responsabilités.
Et avec ça l'excuse de la pression sociale comme si la pression sociale pour un abandon d'enfant n'était pas largement plus forte que la pression sociale pour un avortement. C'est des balivernes !
Ma mère paix à son âme n'est même pas ma mère ! Ma mère biologique est morte de dépression quand mon père est décédé lors de la guerre d'Algérie. Et ma tante qui est devenue ma mère a dû, du jour au lendemain, se retrouver avec 3 enfants sur les bras et elle les a assumer jusqu'à la fin parce qu'il y a l'amour du sang.
N'achetez pas ce livre pour ne pas récompenser cette femme dénué de coeur et de responsabilité et son acte odieux. Et pour ne pas soutenir le nombrilisme et le narcissisme qui sont des plaies de notre société.
La France devrait abandonner cette femme d'une lâcheté sans nom !