Mathématique et vérité. Une philosophie du nombre
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- Nombre de pages184
- FormatPDF
- ISBN2-296-39195-8
- EAN9782296391956
- Date de parution01/03/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Vivons-nous la fin des certitudes ? La science n'est-elle qu'une illusion ? Le rationalisme, après les essais de Thalès, de Platon, de Descartes et d'Husserl, a-t-il finalement échoué, et doit-il laisser le champ de l'interrogation philosophique (de la détermination des valeurs) à l'intuition, au scepticisme, au retour du spirituel, voire au n'importe quoi érigé en système ? La mathématique - science par excellence - n'est-elle qu'une coquille vide ? Après la perte de nombreux repères religieux, culturels et politiques, l'homme postmoderne va-t-il devoir renoncer à la seule vérité qui lui paraissait certaine, absolue et indestructible, la vérité mathématique ? L'avènement de la théorie des ensembles (Dedekind et Cantor), la découverte des paradoxes ensemblistes (Russell), la crise des fondements (Hilbert), le théorème d'incomplétude (Gddel), l'effondrement de l'entreprise bourbakiste et l'arrivée des nouvelles philosophies américaines niant la vérité mathématique, tout cela nous conduit-il à la certitude de l'impossibilité de savoir et à la négation de toute entreprise philosophique ? L'homme, aujourd'hui, sait-il vraiment qu'il ne saura jamais rien ? C'est à ce questionnement que se livre l'auteur: enjeu de civilisation plus que jeu d'intellectuel.
En parcourant l'histoire de la pensée mathématicienne (d'avant Pythagore jusqu'après Dieudonné), il montre que les découvertes successives du zéro et de l'infini conduisent à une profonde interrogation sur les sources et le sens de tout savoir humain.
En parcourant l'histoire de la pensée mathématicienne (d'avant Pythagore jusqu'après Dieudonné), il montre que les découvertes successives du zéro et de l'infini conduisent à une profonde interrogation sur les sources et le sens de tout savoir humain.
Vivons-nous la fin des certitudes ? La science n'est-elle qu'une illusion ? Le rationalisme, après les essais de Thalès, de Platon, de Descartes et d'Husserl, a-t-il finalement échoué, et doit-il laisser le champ de l'interrogation philosophique (de la détermination des valeurs) à l'intuition, au scepticisme, au retour du spirituel, voire au n'importe quoi érigé en système ? La mathématique - science par excellence - n'est-elle qu'une coquille vide ? Après la perte de nombreux repères religieux, culturels et politiques, l'homme postmoderne va-t-il devoir renoncer à la seule vérité qui lui paraissait certaine, absolue et indestructible, la vérité mathématique ? L'avènement de la théorie des ensembles (Dedekind et Cantor), la découverte des paradoxes ensemblistes (Russell), la crise des fondements (Hilbert), le théorème d'incomplétude (Gddel), l'effondrement de l'entreprise bourbakiste et l'arrivée des nouvelles philosophies américaines niant la vérité mathématique, tout cela nous conduit-il à la certitude de l'impossibilité de savoir et à la négation de toute entreprise philosophique ? L'homme, aujourd'hui, sait-il vraiment qu'il ne saura jamais rien ? C'est à ce questionnement que se livre l'auteur: enjeu de civilisation plus que jeu d'intellectuel.
En parcourant l'histoire de la pensée mathématicienne (d'avant Pythagore jusqu'après Dieudonné), il montre que les découvertes successives du zéro et de l'infini conduisent à une profonde interrogation sur les sources et le sens de tout savoir humain.
En parcourant l'histoire de la pensée mathématicienne (d'avant Pythagore jusqu'après Dieudonné), il montre que les découvertes successives du zéro et de l'infini conduisent à une profonde interrogation sur les sources et le sens de tout savoir humain.