MASSACRE DU BOIS DU THOURAUD (GESTE) - 7 SEPTEMBRE 1943 (COLL. HISTOIRE et; RECITS
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- Nombre de pages232
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-353-2808-5
- EAN9791035328085
- Date de parution05/05/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurLa Geste
- AuteurChristian Penot
- AuteurChristophe Moreigne
- AuteurGuy Avizou
Résumé
Le massacre du bois du Thouraud survenu le 7 septembre 1943 est un des évènements marquants de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale en Limousin.
Cet ouvrage de Christian Penot, Guy Avizou et Christophe Moreigne permet une immersion dans l'atmosphère qui règne en cette fin d'été 1943. Il fait découvrir ou redécouvrir l'enchaînement des faits et les multiples protagonistes, au centre d'une matinée tragique.
En effet ce jour-là, pour la première fois dans la région, des unités allemandes anéantissent un groupe de patriotes. Les forces d'occupation attaquent un petit groupe de jeunes gens qui se cachent depuis quelques semaines dans un repli de terrain boisé situé entre Sardent et Maisonnisses au sud de Guéret. Cet évènement a profondément choqué la population. La plupart des victimes de cette répression sont des enfants du pays, par ailleurs relativement peu armés.
Il marque un tournant dans le positionnement de l'opinion vis-à-vis de l'occupant et du régime de Vichy. À partir de cette époque, les affiches de propagande des organisations collaborationnistes sont systématiquement lacérées ou maculées de graffitis. Quatre-vingts ans plus tard, il est encore difficile de donner une explication simple et définitive à cet événement.
En effet ce jour-là, pour la première fois dans la région, des unités allemandes anéantissent un groupe de patriotes. Les forces d'occupation attaquent un petit groupe de jeunes gens qui se cachent depuis quelques semaines dans un repli de terrain boisé situé entre Sardent et Maisonnisses au sud de Guéret. Cet évènement a profondément choqué la population. La plupart des victimes de cette répression sont des enfants du pays, par ailleurs relativement peu armés.
Il marque un tournant dans le positionnement de l'opinion vis-à-vis de l'occupant et du régime de Vichy. À partir de cette époque, les affiches de propagande des organisations collaborationnistes sont systématiquement lacérées ou maculées de graffitis. Quatre-vingts ans plus tard, il est encore difficile de donner une explication simple et définitive à cet événement.
Le massacre du bois du Thouraud survenu le 7 septembre 1943 est un des évènements marquants de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale en Limousin.
Cet ouvrage de Christian Penot, Guy Avizou et Christophe Moreigne permet une immersion dans l'atmosphère qui règne en cette fin d'été 1943. Il fait découvrir ou redécouvrir l'enchaînement des faits et les multiples protagonistes, au centre d'une matinée tragique.
En effet ce jour-là, pour la première fois dans la région, des unités allemandes anéantissent un groupe de patriotes. Les forces d'occupation attaquent un petit groupe de jeunes gens qui se cachent depuis quelques semaines dans un repli de terrain boisé situé entre Sardent et Maisonnisses au sud de Guéret. Cet évènement a profondément choqué la population. La plupart des victimes de cette répression sont des enfants du pays, par ailleurs relativement peu armés.
Il marque un tournant dans le positionnement de l'opinion vis-à-vis de l'occupant et du régime de Vichy. À partir de cette époque, les affiches de propagande des organisations collaborationnistes sont systématiquement lacérées ou maculées de graffitis. Quatre-vingts ans plus tard, il est encore difficile de donner une explication simple et définitive à cet événement.
En effet ce jour-là, pour la première fois dans la région, des unités allemandes anéantissent un groupe de patriotes. Les forces d'occupation attaquent un petit groupe de jeunes gens qui se cachent depuis quelques semaines dans un repli de terrain boisé situé entre Sardent et Maisonnisses au sud de Guéret. Cet évènement a profondément choqué la population. La plupart des victimes de cette répression sont des enfants du pays, par ailleurs relativement peu armés.
Il marque un tournant dans le positionnement de l'opinion vis-à-vis de l'occupant et du régime de Vichy. À partir de cette époque, les affiches de propagande des organisations collaborationnistes sont systématiquement lacérées ou maculées de graffitis. Quatre-vingts ans plus tard, il est encore difficile de donner une explication simple et définitive à cet événement.