Marx et la sociologie. Colloque de Cerisy la - Salle, 14 - 21 septembre 1968

Par : V. L. Allen, T. H. Bottomore, Victor Fay

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  • Nombre de pages292
  • FormatePub
  • ISBN2-402-31877-5
  • EAN9782402318778
  • Date de parution01/01/1968
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille768 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Édit...

Résumé

Marx évoque son travail en ces termes : 1) "c'est le résultat de 15 années de recherches, donc de la meilleure partie de ma vie ; 2) j'y expose pour la première fois de manière systématique et scientifique, les rapports fondamentaux de la société. Je dois au Parti de ne pas en gâcher la forme par des tics d'écriture secs et noueux, propres à un foie malade." On trouve en effet dans les Fondements la tentative la plus systématique pour dégager les éléments moteurs de l'évolution historique de la société en général et du capitalisme en particulier.
Il ne s'agit nullement ici d'une description de ce mécanisme, mais de l'explication de sa dynamique. Jamais, dans aucun de ses écrits ultérieurs, Marx n'a approfondi si avant le concept fondamental du capital, avec ses contradictions et son unité que le mouvement historique détruit et recrée sans cesse sous une forme nouvelle. Partant des notions fondamentales de valeur, argent, division du travail, productivité, Marx montre comment elles trouvent une synthèse en devenir incessant dans la forme historique du capital qui les développe jusqu'à leur paroxysme et leur négation.
Découverts en 1923 par D. Riazanov dans le fonds Marx-Engels, les manuscrits des Grundrisse devaient prendre place dans les 15 volumes destinés à regrouper toutes leurs ouvres économiques. Publiés en 1941, ils n'ont été diffusés qu'en 1953. Leur traduction en français permet enfin au lecteur francophone l'accès à cette ouvre de première importance pour la connaissance de la pensée de Marx. "On peut affirmer sans hésiter, écrit Eric Hobsbawm, que tout débat marxiste sur l'histoire négligeant les Grundrisse, c'est à dire tout débat théorique antérieur à 1941 et - hélas - bien d'autres depuis, devraient être repris à la lumière de cet ouvrage."
Marx évoque son travail en ces termes : 1) "c'est le résultat de 15 années de recherches, donc de la meilleure partie de ma vie ; 2) j'y expose pour la première fois de manière systématique et scientifique, les rapports fondamentaux de la société. Je dois au Parti de ne pas en gâcher la forme par des tics d'écriture secs et noueux, propres à un foie malade." On trouve en effet dans les Fondements la tentative la plus systématique pour dégager les éléments moteurs de l'évolution historique de la société en général et du capitalisme en particulier.
Il ne s'agit nullement ici d'une description de ce mécanisme, mais de l'explication de sa dynamique. Jamais, dans aucun de ses écrits ultérieurs, Marx n'a approfondi si avant le concept fondamental du capital, avec ses contradictions et son unité que le mouvement historique détruit et recrée sans cesse sous une forme nouvelle. Partant des notions fondamentales de valeur, argent, division du travail, productivité, Marx montre comment elles trouvent une synthèse en devenir incessant dans la forme historique du capital qui les développe jusqu'à leur paroxysme et leur négation.
Découverts en 1923 par D. Riazanov dans le fonds Marx-Engels, les manuscrits des Grundrisse devaient prendre place dans les 15 volumes destinés à regrouper toutes leurs ouvres économiques. Publiés en 1941, ils n'ont été diffusés qu'en 1953. Leur traduction en français permet enfin au lecteur francophone l'accès à cette ouvre de première importance pour la connaissance de la pensée de Marx. "On peut affirmer sans hésiter, écrit Eric Hobsbawm, que tout débat marxiste sur l'histoire négligeant les Grundrisse, c'est à dire tout débat théorique antérieur à 1941 et - hélas - bien d'autres depuis, devraient être repris à la lumière de cet ouvrage."