Marina Tsvetaeva. Une ferveur tragique
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- Nombre de pages250
- FormatePub
- ISBN2-402-01027-4
- EAN9782402010276
- Date de parution01/01/1997
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille512 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Plon...
Résumé
Tout le monde connaît Pasternak, Maïakovski, Anna Akhmatova, Mandelstam. Mais Marina Tsvetaeva ? Celle qui fut l'amie - ou la compagne - de ces grands poètes, poète elle-même, demeure peu connue en France où pourtant elle trouva un refuge d'exilée pendant quatorze ans, de 1925 à 1939. Son itinéraire nous conduit de la scène de famille, de la petite fille née en Russie tsariste et destinée par sa mère à la musique, jusqu'à son exil tragique, son errance dans la pauvreté la plus sordide, jusqu'à son retour dans sa patrie défigurée et sanguinaire où son dernier écrit sera une demande de poste de fille de vaisselle, avant son suicide, à 49 ans.
Ses ouvres inédites, recopiées à la main, éclatent maintenant au grand jour. Intimement liés à sa vie, puisés dans le continent noir du désir féminin, ses poèmes constituent comme les pièces d'un immense portrait. C'est ce portrait singulier que Claude Delay, nous entraînant au cour du secret biographique, a tracé, celui d'un des plus grands poètes dont Brodsky disait : « Jamais une voix plus passionnée n'a retenti dans la poésie russe du XXe siècle. »
Ses ouvres inédites, recopiées à la main, éclatent maintenant au grand jour. Intimement liés à sa vie, puisés dans le continent noir du désir féminin, ses poèmes constituent comme les pièces d'un immense portrait. C'est ce portrait singulier que Claude Delay, nous entraînant au cour du secret biographique, a tracé, celui d'un des plus grands poètes dont Brodsky disait : « Jamais une voix plus passionnée n'a retenti dans la poésie russe du XXe siècle. »
Tout le monde connaît Pasternak, Maïakovski, Anna Akhmatova, Mandelstam. Mais Marina Tsvetaeva ? Celle qui fut l'amie - ou la compagne - de ces grands poètes, poète elle-même, demeure peu connue en France où pourtant elle trouva un refuge d'exilée pendant quatorze ans, de 1925 à 1939. Son itinéraire nous conduit de la scène de famille, de la petite fille née en Russie tsariste et destinée par sa mère à la musique, jusqu'à son exil tragique, son errance dans la pauvreté la plus sordide, jusqu'à son retour dans sa patrie défigurée et sanguinaire où son dernier écrit sera une demande de poste de fille de vaisselle, avant son suicide, à 49 ans.
Ses ouvres inédites, recopiées à la main, éclatent maintenant au grand jour. Intimement liés à sa vie, puisés dans le continent noir du désir féminin, ses poèmes constituent comme les pièces d'un immense portrait. C'est ce portrait singulier que Claude Delay, nous entraînant au cour du secret biographique, a tracé, celui d'un des plus grands poètes dont Brodsky disait : « Jamais une voix plus passionnée n'a retenti dans la poésie russe du XXe siècle. »
Ses ouvres inédites, recopiées à la main, éclatent maintenant au grand jour. Intimement liés à sa vie, puisés dans le continent noir du désir féminin, ses poèmes constituent comme les pièces d'un immense portrait. C'est ce portrait singulier que Claude Delay, nous entraînant au cour du secret biographique, a tracé, celui d'un des plus grands poètes dont Brodsky disait : « Jamais une voix plus passionnée n'a retenti dans la poésie russe du XXe siècle. »