Marie - Laure de Malivert
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- Nombre de pages192
- FormatePub
- ISBN2-09-263338-4
- EAN9782092633380
- Date de parution01/01/1975
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille614 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurNathan (réédition numérique Feni...
Résumé
A la veille de la Révolution, la société qui reposait sur l'inégalité se divisait en trois ordres : clergé, noblesse et tiers état. Les deux premiers étaient des ordres privilégiés, c'est-à-dire pourvus de droits qui leur étaient propres ; le tiers état groupait les bourgeois, les artisans et les paysans.
A l'époque où commence ce récit, les députés des trois ordres avaient gagné Versailles où bientôt les états généraux se proclamèrent Assemblée nationale constituante.
Puis ce fut le 14 juillet 1789, la prise de la Bastille qui détermina dans tout le pays une panique générale, la « Grande Peur ». La nuit du 28 au 29 juillet, des châteaux furent brûlés ou pillés par les paysans. Heureusement, les violences contre les personnes furent rares. Dans la plupart des cas, on s'en prit aux archives et aux chartriers qui contenaient les titres féodaux.
Puis ce fut le 14 juillet 1789, la prise de la Bastille qui détermina dans tout le pays une panique générale, la « Grande Peur ». La nuit du 28 au 29 juillet, des châteaux furent brûlés ou pillés par les paysans. Heureusement, les violences contre les personnes furent rares. Dans la plupart des cas, on s'en prit aux archives et aux chartriers qui contenaient les titres féodaux.
A la veille de la Révolution, la société qui reposait sur l'inégalité se divisait en trois ordres : clergé, noblesse et tiers état. Les deux premiers étaient des ordres privilégiés, c'est-à-dire pourvus de droits qui leur étaient propres ; le tiers état groupait les bourgeois, les artisans et les paysans.
A l'époque où commence ce récit, les députés des trois ordres avaient gagné Versailles où bientôt les états généraux se proclamèrent Assemblée nationale constituante.
Puis ce fut le 14 juillet 1789, la prise de la Bastille qui détermina dans tout le pays une panique générale, la « Grande Peur ». La nuit du 28 au 29 juillet, des châteaux furent brûlés ou pillés par les paysans. Heureusement, les violences contre les personnes furent rares. Dans la plupart des cas, on s'en prit aux archives et aux chartriers qui contenaient les titres féodaux.
Puis ce fut le 14 juillet 1789, la prise de la Bastille qui détermina dans tout le pays une panique générale, la « Grande Peur ». La nuit du 28 au 29 juillet, des châteaux furent brûlés ou pillés par les paysans. Heureusement, les violences contre les personnes furent rares. Dans la plupart des cas, on s'en prit aux archives et aux chartriers qui contenaient les titres féodaux.
A propos de Pierre Debresse
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