Marie de Hautefort. Le grand amour de Louis XIII
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- Nombre de pages268
- FormatePub
- ISBN2-262-08887-X
- EAN9782262088873
- Date de parution01/01/2000
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1004 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPerrin (réédition numérique Feni...
Résumé
Très belle, altière, intrépide, spirituelle et railleuse, Marie de Hautefort fut, pendant cinquante ans, au cour de la grande et de la petite histoire de la cour de France. Cette Périgordine, née au château de Hautefort en 1616, inspira, dès l'âge de quatorze ans, une violente et longue passion platonique à Louis XIII. Fille d'honneur de Marie de Médicis, puis d'Anne d'Autriche, c'est à cette dernière qu'elle fut constamment attachée - et non au roi soupirant qu'elle ne cessa de picoter pendant près de dix ans.
Ainsi épousa-t-elle toutes les intrigues de la reine contre Richelieu, qui ne cessa de l'espionner et de tenter de la remplacer - notamment par Cinq-Mars - dans le cour de Louis. Bien que, par la suite, elle ait intrigué contre Mazarin, Louis XIV la tint en haute estime. Exilée deux fois, et deux fois rentrée en grâce, elle finit par se marier (à vingt-huit ans !) au maréchal de Schomberg, duc d'Halluin.
Celle qui fut, pour les poètes, une « divine Aurore », une Hermione souveraine, participa - sans reniement ni compromission - à la conjuration des Importants et à la « révolution culturelle » des salons. Elle patronna Paul Scarron, et donna sa première chance à Bossuet. En nous contant la vie de l'ingouvernable Marie, Jacques Magne nous promène au cour des règnes de Louis XIII, de Louis XIV et de leurs cardinaux-ministres.
Ainsi épousa-t-elle toutes les intrigues de la reine contre Richelieu, qui ne cessa de l'espionner et de tenter de la remplacer - notamment par Cinq-Mars - dans le cour de Louis. Bien que, par la suite, elle ait intrigué contre Mazarin, Louis XIV la tint en haute estime. Exilée deux fois, et deux fois rentrée en grâce, elle finit par se marier (à vingt-huit ans !) au maréchal de Schomberg, duc d'Halluin.
Celle qui fut, pour les poètes, une « divine Aurore », une Hermione souveraine, participa - sans reniement ni compromission - à la conjuration des Importants et à la « révolution culturelle » des salons. Elle patronna Paul Scarron, et donna sa première chance à Bossuet. En nous contant la vie de l'ingouvernable Marie, Jacques Magne nous promène au cour des règnes de Louis XIII, de Louis XIV et de leurs cardinaux-ministres.
Très belle, altière, intrépide, spirituelle et railleuse, Marie de Hautefort fut, pendant cinquante ans, au cour de la grande et de la petite histoire de la cour de France. Cette Périgordine, née au château de Hautefort en 1616, inspira, dès l'âge de quatorze ans, une violente et longue passion platonique à Louis XIII. Fille d'honneur de Marie de Médicis, puis d'Anne d'Autriche, c'est à cette dernière qu'elle fut constamment attachée - et non au roi soupirant qu'elle ne cessa de picoter pendant près de dix ans.
Ainsi épousa-t-elle toutes les intrigues de la reine contre Richelieu, qui ne cessa de l'espionner et de tenter de la remplacer - notamment par Cinq-Mars - dans le cour de Louis. Bien que, par la suite, elle ait intrigué contre Mazarin, Louis XIV la tint en haute estime. Exilée deux fois, et deux fois rentrée en grâce, elle finit par se marier (à vingt-huit ans !) au maréchal de Schomberg, duc d'Halluin.
Celle qui fut, pour les poètes, une « divine Aurore », une Hermione souveraine, participa - sans reniement ni compromission - à la conjuration des Importants et à la « révolution culturelle » des salons. Elle patronna Paul Scarron, et donna sa première chance à Bossuet. En nous contant la vie de l'ingouvernable Marie, Jacques Magne nous promène au cour des règnes de Louis XIII, de Louis XIV et de leurs cardinaux-ministres.
Ainsi épousa-t-elle toutes les intrigues de la reine contre Richelieu, qui ne cessa de l'espionner et de tenter de la remplacer - notamment par Cinq-Mars - dans le cour de Louis. Bien que, par la suite, elle ait intrigué contre Mazarin, Louis XIV la tint en haute estime. Exilée deux fois, et deux fois rentrée en grâce, elle finit par se marier (à vingt-huit ans !) au maréchal de Schomberg, duc d'Halluin.
Celle qui fut, pour les poètes, une « divine Aurore », une Hermione souveraine, participa - sans reniement ni compromission - à la conjuration des Importants et à la « révolution culturelle » des salons. Elle patronna Paul Scarron, et donna sa première chance à Bossuet. En nous contant la vie de l'ingouvernable Marie, Jacques Magne nous promène au cour des règnes de Louis XIII, de Louis XIV et de leurs cardinaux-ministres.